Lors de la 70ème session de l’Assemblée Générale de l’ONU, le Maroc a annoncé, à deux reprises en octobre et novembre, son total appui au droit du peuple kabyle à son autodétermination.
Cette reconnaissance officielle du droit inaliénable et légitime du peuple kabyle à disposer de lui-même a été accueilli avec satisfaction par le le Gouvernement provisoire kabyle (Anavad) qui considère ce soutien comme une grande victoire sur le chemin du recouvrement de l'indépendance de la Kabylie.
Mais cette position franche et courageuse ne semble visiblement pas être partagée pas deux partis panarabistes marocains, réputés de gauche radicale et absents du parlement marocain.
Ainsi, depuis Rabat, le bureau politique du parti de l'avant-garde démocratique et socialiste (PADS) a été le premier à exprimer son « opposition » en mettant en garde contre « les conséquences désastreuses sur l’ensemble de la région maghrébine » d’un tel appui du royaume à « une cause perdue » (sic).
Puis le 06 décembre, c'était au tour du conseil national du parti socialiste unifié (PSU), qui se fait l’avocat d’une totale intégration maghrébine, de plaider plutôt pour le respect du « principe de l’unité des peuples » et « le bon voisinage », affirmant que « la démocratie est la solution idoine à tous les problèmes et aux situations similaires » (re-sic), faisant référence à la question kabyle.
wbw
SIWEL 121304 DEC 15
Cette reconnaissance officielle du droit inaliénable et légitime du peuple kabyle à disposer de lui-même a été accueilli avec satisfaction par le le Gouvernement provisoire kabyle (Anavad) qui considère ce soutien comme une grande victoire sur le chemin du recouvrement de l'indépendance de la Kabylie.
Mais cette position franche et courageuse ne semble visiblement pas être partagée pas deux partis panarabistes marocains, réputés de gauche radicale et absents du parlement marocain.
Ainsi, depuis Rabat, le bureau politique du parti de l'avant-garde démocratique et socialiste (PADS) a été le premier à exprimer son « opposition » en mettant en garde contre « les conséquences désastreuses sur l’ensemble de la région maghrébine » d’un tel appui du royaume à « une cause perdue » (sic).
Puis le 06 décembre, c'était au tour du conseil national du parti socialiste unifié (PSU), qui se fait l’avocat d’une totale intégration maghrébine, de plaider plutôt pour le respect du « principe de l’unité des peuples » et « le bon voisinage », affirmant que « la démocratie est la solution idoine à tous les problèmes et aux situations similaires » (re-sic), faisant référence à la question kabyle.
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