Les militants du MAK (Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie) entendaient protester contre « l'insécurité et la terreur entretenues en Kabylie ».
La manifestation a démarré du lycée Mohand Ouharoun "ex Hafsa" pour atteindre la place centrale d'Akbou.
Des slogans hostiles au pouvoir et à la présence des militaires dans la région et d'autres favorables au Gouvernement provisoire kabyle présidé par Ferhat Mehenni à Paris ont été criés.
Arrivés à la mairie d'Akbou, les organisateurs ont pris la parole pour dénoncer « le climat de terreur imposé au peuple kabyle ». D'après des cadres du MAK, « tout est fait par le régime pour normaliser la région ».
Ils ont mis en relief les dernières "bavures" avec la répression sanglante du printemps noir pour conclure que « seule une large autonomie » pourrait régler les problèmes des Kabyles liés à l'insécurité, au terrorisme et à la crise économique qui sévissent dans la région.
D'après eux, « les Kabyles doivent s'organiser pour assurer leur propre sécurité ». Ils ont réitéré leur appel en direction des forces politiques locales à savoir le Rassemblement pour la culture et la démocratie de Saïd Sadi et le Front des forces socialistes de Hocine Ait Ahmed pour un « front uni » contre l'insécurité.
Les manifestants se sont dispersés dans le calme a-t-on constaté.
uz
SIWEL 261344 SEPT 11
La manifestation a démarré du lycée Mohand Ouharoun "ex Hafsa" pour atteindre la place centrale d'Akbou.
Des slogans hostiles au pouvoir et à la présence des militaires dans la région et d'autres favorables au Gouvernement provisoire kabyle présidé par Ferhat Mehenni à Paris ont été criés.
Arrivés à la mairie d'Akbou, les organisateurs ont pris la parole pour dénoncer « le climat de terreur imposé au peuple kabyle ». D'après des cadres du MAK, « tout est fait par le régime pour normaliser la région ».
Ils ont mis en relief les dernières "bavures" avec la répression sanglante du printemps noir pour conclure que « seule une large autonomie » pourrait régler les problèmes des Kabyles liés à l'insécurité, au terrorisme et à la crise économique qui sévissent dans la région.
D'après eux, « les Kabyles doivent s'organiser pour assurer leur propre sécurité ». Ils ont réitéré leur appel en direction des forces politiques locales à savoir le Rassemblement pour la culture et la démocratie de Saïd Sadi et le Front des forces socialistes de Hocine Ait Ahmed pour un « front uni » contre l'insécurité.
Les manifestants se sont dispersés dans le calme a-t-on constaté.
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SIWEL 261344 SEPT 11