Les forces antiémeutes à la place du 1er mai à Alger (PH/I.Y)
« Au sommet de l'Etat, c'est la panique générale, il donne, et l'Algérien ne veut plus »", a ajouté ce directeur du laboratoire du changement social à l'université Alger-II, en référence à la multiplication des annonces d'aides sociales faites par le pouvoir algérien pour contenir le mécontentement social.
Mais, pour M. Hakiki, « il n'y a pas d'autre solution pour s'en sortir et échapper aux mouvements de violence que de mettre en place un processus démocratique ».
Cela passe, explique-t-il, par « des élus choisis par les citoyens et capables de leur tenir un discours de vérité ». « Mais la génération qui a accaparé le pouvoir depuis l'indépendance ne veut pas le comprendre », a-t-il déploré.
uz
SIWEL 010900 OCT 11
Mais, pour M. Hakiki, « il n'y a pas d'autre solution pour s'en sortir et échapper aux mouvements de violence que de mettre en place un processus démocratique ».
Cela passe, explique-t-il, par « des élus choisis par les citoyens et capables de leur tenir un discours de vérité ». « Mais la génération qui a accaparé le pouvoir depuis l'indépendance ne veut pas le comprendre », a-t-il déploré.
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SIWEL 010900 OCT 11