Ahmed Ouyahia (Photo Rio - Siwel)
Ahmed Ouyahia, Premier ministre algérien, a reçu, ce matin, son homologue malien, Cheikh Modibo Diarra, pour un entretien à Alger, où il est en visite de deux jours.
La discussion a tourné, essentiellement autour du conflit malien.
Le Premier ministre malien de transition, un gouvernement issu du putsch du 22 mars, a déclaré que « lorsque le Mali vit des situations telle que celle que nous connaissons aujourd'hui, la première étape de notre gouvernement, consiste à venir consulter en premier lieu nos voisins, amis et frères afin de pouvoir réfléchir à la voie à suivre et résoudre les difficultés que nous vivons ». Et d’ajouter que « la situation au Mali et au Sahel ainsi que sur l'état de la coopération bilatérale et les perspectives de sa redynamisation et consolidation, sont au centre des discussions ».
A signaler que depuis le début du conflit malien et la libération du territoire touarègue par le Mouvement nationale pour la libération de l’Azawad, Alger a adopté une position de soutien aux putschistes maliens. Des groupes terroristes islamistes ont été même injectés dans la région et soutenus en moyens militaires et logistiques par l’Algérie et le Qatar, dans le but d’amoindrir la portée du nouvel Etat amazigh azawadien. Alger n'a pas reconnu le nouvel Etat de l'Azawad.
L’entretien entre les deux hommes s’est déroulé en présence du ministre algérien des Affaires étrangères, du ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, Abdelmalek Guenaizia et du ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel ainsi que des membres de la délégation malienne.
aai
SIWEL 13 1453 JUIN12
La discussion a tourné, essentiellement autour du conflit malien.
Le Premier ministre malien de transition, un gouvernement issu du putsch du 22 mars, a déclaré que « lorsque le Mali vit des situations telle que celle que nous connaissons aujourd'hui, la première étape de notre gouvernement, consiste à venir consulter en premier lieu nos voisins, amis et frères afin de pouvoir réfléchir à la voie à suivre et résoudre les difficultés que nous vivons ». Et d’ajouter que « la situation au Mali et au Sahel ainsi que sur l'état de la coopération bilatérale et les perspectives de sa redynamisation et consolidation, sont au centre des discussions ».
A signaler que depuis le début du conflit malien et la libération du territoire touarègue par le Mouvement nationale pour la libération de l’Azawad, Alger a adopté une position de soutien aux putschistes maliens. Des groupes terroristes islamistes ont été même injectés dans la région et soutenus en moyens militaires et logistiques par l’Algérie et le Qatar, dans le but d’amoindrir la portée du nouvel Etat amazigh azawadien. Alger n'a pas reconnu le nouvel Etat de l'Azawad.
L’entretien entre les deux hommes s’est déroulé en présence du ministre algérien des Affaires étrangères, du ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, Abdelmalek Guenaizia et du ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel ainsi que des membres de la délégation malienne.
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