Le pseudo-« journaliste » Mohamed TIJJINI s'en prend au drapeau du Rif et aux militants « séparatistes » qui l'ont exhibé « en toute impunité » lors de la rencontre sur la « Diversité culturelle : la culture amazighe aux Pays-Bas », le 9 juin 2014 à Amsterdam ( Pays Bas) dans le cadre de ce que le journaliste makhzénien appelle la « mascarade du festival TWIZA » (PH/DR)
Contribution de Rachid Oufkir :
Mohamed TIJJINI, l’amazighité et le drapeau de la République du RIF
Dans une émission, où il prétendait faire écho d’un appel de détresse d’une femme marocaine maltraitée par son mari saoudien, le « journaliste » Mohamed TIJJINI a trouvé là la bonne approche pour mieux prendre d’assaut le drapeau de la République du Rif, et tous les militants taxés de « séparatistes » qui ont eu l’outrecuidance, selon lui, de l’ exhiber « en toute impunité » lors de la mascarade de festival « TWIZA » , organisé récemment à Amsterdam, par le régime marocain, dans l’intention de séduire et d’encadrer la diaspora dans son propre giron.
Ce « journaliste » populiste Mohamed TIJJINI de la chaine Al Maghreb TV et du Mouvement Réformateur belge, a soulevé, dans son talk, de nombreuses questions. Et ce n’est ni anodin ni anecdotique. Il fait systématiquement feu de tout bois pour distiller subtilement et avec véhémence des piques qui visent l’amazighité dans tous ses symboles et ses expressions. Ce coup-ci ce fut le tour du drapeau de la République du RIF (1921-1927) qui arbore des emblèmes identitaires et politiques forts, celui de la révolution, de la lutte contre l’impérialisme et il représente, de plus, une charge symbolique très ancrée dans la mémoire collective de tous les Rifains et tous ceux qui croient à l’émancipation des peuples. M.T le soumet à la vindicte populaire et il y met le paquet. Sa spécialité est de ne rater aucune occasion pour faire dans l’excès de zèle en jouant sur la partition nationaliste, et moralisatrice, devenue pour lui un fond de commerce. On connaît ce penchant pathologique chez tous ceux qui aspirent à être cooptés dans la sphère de faiseurs d’opinion et cherchent à attirer les bonnes grâces du makhzen marocain. Une technique très prisée, somme toute.
Tous les moyens sont bons pour ce « journaliste », « libéral » notoirement proche de l’ambassade marocaine à Bruxelles, opportuniste et prosélyte, pour casser du Rifain dans l’intention de plaire, à tout prix, au régime marocain, et satisfaire son calendrier politique, en y mettant en avant son assiduité à servir la grande corporation dont il fait partie. Non pas celle la presse libre, mais celle du makhzen tentaculaire. La Belgique, et Bruxelles en particulier, fourmille d’indicateurs et de mouchards, grands serviteurs de la cause nationale makhzenienne. Il en est un élément. Sa démarche est éminemment intéressée. Et le dénigrement de l’affichage, décomplexé et assumé, du drapeau rifain reste une bonne opportunité pour lui, en vue d’étaler son discours et ses idées, où l’on reconnaît facilement sa sensibilité politique.
Tout un détour par l ‘Arabie saoudite, pour mieux remettre en question d’abord le festival amazigh, et tout l’argent qui y est investi , ainsi que pour interpeller les responsables qui ont laissé le drapeau de la République du RIF s’afficher sans réaction officielle. Voilà un exemple typique de l’instrumentalisation de la détresse des uns pour mieux faire passer son propre message politique. Il n’y a aucun doute à ce que ce « journaliste » n’accorde qu’un intérêt marginal à cette femme MRE ( Marocains Résidents à l’Etranger), dont la détresse est reléguée au second plan, mais ce qui lui tient véritablement à cœur, c’est critiquer ces Rifains qui affichent trop leur particularisme dont leur drapeau. La détresse de cette femme est à ce “journaliste”, ce que ce festival est au régime marocain, un tremplin ni plus ni moins pour mieux mettre en valeur la propagande officielle. Un cas de désinformation caractérisée et de manipulation de l’opinion publique au profit des thèses officielles marocaines, qui est fait, de plus , dans un cynisme journalistique qui déshonore le métier.
Des femmes et des hommes MRE en détresse, il y en a partout. Pourquoi aller jusqu’en Arabie Saoudite et s’indigner d’un tel sort réservé à une ressortissante marocaine, soit disant négligée par le CCME (Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger) ? Pourquoi ne pas dénoncer directement et sans complaisance, cette même Arabie Saoudite qui prive les femmes de toute considération humaine et pire, les épouses marocaines des hommes saoudiens y sont traitées telles du bétail ,tout au plus comme des femmes de ménage et souvent des femmes à satisfaire exclusivement les besoins de leurs maitres saoudiens en mal de sensation.
On aimerait bien entendre ce même “journaliste” nous parler un tant soit peu de ceux qui bataillent contre les irresponsables prestations des représentations consulaires marocaines en Europe , à Milan, et ailleurs, où règne la corruption systématique, la violence verbale et même physique, le clientélisme et où des administrateurs se transforment en maffiosi , nous parler de l’ assassinat de karim Lachqar, des prisonniers politiques qui croupissent dans les prisons marocaines, des malades cancéreux dans le RIF….
Pour rappel le Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger (CCME) est un organe officiellement chargé de venir en aide à la diaspora marocaine, mais officieusement il est chargé de domestiquer cette communauté, de la récupérer de l’orienter dans le droit chemin makhzenien , dans la voie de la soumission, de la docilité, et de l’aliénation`. Cet organe agit tout comme ce pseudo « journaliste » et sa chaine, autrement dit tel un suppôt du pouvoir.
Pour ce « journalise » il s’agit de faire d’une pierre TROIS coups, d’abord le festival TWIZA, l’amazighité, enfin la communauté rifaine, notamment ceux d’entre eux qui ne veulent pas rentrer dans la moule de la « nation marocaine ».
Critiquer le festival de TWIZA, est tout a fait ordinaire pour tout journaliste qui croit à la liberté d’expression et d’autant plus quand il est organisé par un organe de l’appareil makhzenien dont on connait les intentions profondes en matière de gestion de l’immigration : récupérer tout ce qui bouge ,pourvu que cela serve ses intérêts : artistes, footballeurs, écrivains , journalistes et j’en passe et des meilleurs. Par ailleurs le public amazigh et rifain a tout compris de cette manœuvre et il l’a fait savoir lors de ce festival, qui a échoué dans son projet. Sauf que, ce n est pas le but premier de mass Tijinni.
Sous prétexte que ce festival dilapide les deniers publics , ce qui est vrai, ce « journaliste » , vise en premier l’attribut amazigh de ce festival Twiza, (Solidarité en tamazight) consacré à la culture amazighe. C’est cela qu’il ne digère pas (À voir les occurrences des mots « amazighité » et « amazighs »). C’est à peine dissimulé derrière des mimiques, des formules bien tournées, policées, une mise en scène savamment orchestrée et tout un cortège de sensibleries ridicules. Tout bon connaisseur de la culture makhzenienne marocaine peut reconnaitre aisément les soubresauts d’une telle communication. En définitive, il camoufle mal ses arrières pensées antiamazighes , antirifaines, et son panarabisme qui se reflète dans la chaine elle-même , ses émissions et les éléments de langage de son discours habituel.
Mohamed TIJJINI, l’amazighité et le drapeau de la République du RIF
Dans une émission, où il prétendait faire écho d’un appel de détresse d’une femme marocaine maltraitée par son mari saoudien, le « journaliste » Mohamed TIJJINI a trouvé là la bonne approche pour mieux prendre d’assaut le drapeau de la République du Rif, et tous les militants taxés de « séparatistes » qui ont eu l’outrecuidance, selon lui, de l’ exhiber « en toute impunité » lors de la mascarade de festival « TWIZA » , organisé récemment à Amsterdam, par le régime marocain, dans l’intention de séduire et d’encadrer la diaspora dans son propre giron.
Ce « journaliste » populiste Mohamed TIJJINI de la chaine Al Maghreb TV et du Mouvement Réformateur belge, a soulevé, dans son talk, de nombreuses questions. Et ce n’est ni anodin ni anecdotique. Il fait systématiquement feu de tout bois pour distiller subtilement et avec véhémence des piques qui visent l’amazighité dans tous ses symboles et ses expressions. Ce coup-ci ce fut le tour du drapeau de la République du RIF (1921-1927) qui arbore des emblèmes identitaires et politiques forts, celui de la révolution, de la lutte contre l’impérialisme et il représente, de plus, une charge symbolique très ancrée dans la mémoire collective de tous les Rifains et tous ceux qui croient à l’émancipation des peuples. M.T le soumet à la vindicte populaire et il y met le paquet. Sa spécialité est de ne rater aucune occasion pour faire dans l’excès de zèle en jouant sur la partition nationaliste, et moralisatrice, devenue pour lui un fond de commerce. On connaît ce penchant pathologique chez tous ceux qui aspirent à être cooptés dans la sphère de faiseurs d’opinion et cherchent à attirer les bonnes grâces du makhzen marocain. Une technique très prisée, somme toute.
Tous les moyens sont bons pour ce « journaliste », « libéral » notoirement proche de l’ambassade marocaine à Bruxelles, opportuniste et prosélyte, pour casser du Rifain dans l’intention de plaire, à tout prix, au régime marocain, et satisfaire son calendrier politique, en y mettant en avant son assiduité à servir la grande corporation dont il fait partie. Non pas celle la presse libre, mais celle du makhzen tentaculaire. La Belgique, et Bruxelles en particulier, fourmille d’indicateurs et de mouchards, grands serviteurs de la cause nationale makhzenienne. Il en est un élément. Sa démarche est éminemment intéressée. Et le dénigrement de l’affichage, décomplexé et assumé, du drapeau rifain reste une bonne opportunité pour lui, en vue d’étaler son discours et ses idées, où l’on reconnaît facilement sa sensibilité politique.
Tout un détour par l ‘Arabie saoudite, pour mieux remettre en question d’abord le festival amazigh, et tout l’argent qui y est investi , ainsi que pour interpeller les responsables qui ont laissé le drapeau de la République du RIF s’afficher sans réaction officielle. Voilà un exemple typique de l’instrumentalisation de la détresse des uns pour mieux faire passer son propre message politique. Il n’y a aucun doute à ce que ce « journaliste » n’accorde qu’un intérêt marginal à cette femme MRE ( Marocains Résidents à l’Etranger), dont la détresse est reléguée au second plan, mais ce qui lui tient véritablement à cœur, c’est critiquer ces Rifains qui affichent trop leur particularisme dont leur drapeau. La détresse de cette femme est à ce “journaliste”, ce que ce festival est au régime marocain, un tremplin ni plus ni moins pour mieux mettre en valeur la propagande officielle. Un cas de désinformation caractérisée et de manipulation de l’opinion publique au profit des thèses officielles marocaines, qui est fait, de plus , dans un cynisme journalistique qui déshonore le métier.
Des femmes et des hommes MRE en détresse, il y en a partout. Pourquoi aller jusqu’en Arabie Saoudite et s’indigner d’un tel sort réservé à une ressortissante marocaine, soit disant négligée par le CCME (Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger) ? Pourquoi ne pas dénoncer directement et sans complaisance, cette même Arabie Saoudite qui prive les femmes de toute considération humaine et pire, les épouses marocaines des hommes saoudiens y sont traitées telles du bétail ,tout au plus comme des femmes de ménage et souvent des femmes à satisfaire exclusivement les besoins de leurs maitres saoudiens en mal de sensation.
On aimerait bien entendre ce même “journaliste” nous parler un tant soit peu de ceux qui bataillent contre les irresponsables prestations des représentations consulaires marocaines en Europe , à Milan, et ailleurs, où règne la corruption systématique, la violence verbale et même physique, le clientélisme et où des administrateurs se transforment en maffiosi , nous parler de l’ assassinat de karim Lachqar, des prisonniers politiques qui croupissent dans les prisons marocaines, des malades cancéreux dans le RIF….
Pour rappel le Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger (CCME) est un organe officiellement chargé de venir en aide à la diaspora marocaine, mais officieusement il est chargé de domestiquer cette communauté, de la récupérer de l’orienter dans le droit chemin makhzenien , dans la voie de la soumission, de la docilité, et de l’aliénation`. Cet organe agit tout comme ce pseudo « journaliste » et sa chaine, autrement dit tel un suppôt du pouvoir.
Pour ce « journalise » il s’agit de faire d’une pierre TROIS coups, d’abord le festival TWIZA, l’amazighité, enfin la communauté rifaine, notamment ceux d’entre eux qui ne veulent pas rentrer dans la moule de la « nation marocaine ».
Critiquer le festival de TWIZA, est tout a fait ordinaire pour tout journaliste qui croit à la liberté d’expression et d’autant plus quand il est organisé par un organe de l’appareil makhzenien dont on connait les intentions profondes en matière de gestion de l’immigration : récupérer tout ce qui bouge ,pourvu que cela serve ses intérêts : artistes, footballeurs, écrivains , journalistes et j’en passe et des meilleurs. Par ailleurs le public amazigh et rifain a tout compris de cette manœuvre et il l’a fait savoir lors de ce festival, qui a échoué dans son projet. Sauf que, ce n est pas le but premier de mass Tijinni.
Sous prétexte que ce festival dilapide les deniers publics , ce qui est vrai, ce « journaliste » , vise en premier l’attribut amazigh de ce festival Twiza, (Solidarité en tamazight) consacré à la culture amazighe. C’est cela qu’il ne digère pas (À voir les occurrences des mots « amazighité » et « amazighs »). C’est à peine dissimulé derrière des mimiques, des formules bien tournées, policées, une mise en scène savamment orchestrée et tout un cortège de sensibleries ridicules. Tout bon connaisseur de la culture makhzenienne marocaine peut reconnaitre aisément les soubresauts d’une telle communication. En définitive, il camoufle mal ses arrières pensées antiamazighes , antirifaines, et son panarabisme qui se reflète dans la chaine elle-même , ses émissions et les éléments de langage de son discours habituel.
Quand on veut faire du bon journalisme, et quand on s’estime un journaliste indépendant et démocrate, on invite les intéressés sur le plateau et on leur pose toutes les questions possibles sur les motivations de leur acte : Qu’est ce qu’ils les poussent à afficher le drapeau de la République du Rif ? Quelles sont leurs revendications etc… On essaie de comprendre et on laisse le public faire sa propre opinion, dans un cadre parfaitement limpide et un esprit de devoir de transmettre librement et proprement l’information. Mais faire une couverture unidimentionnelle, dénier la légitimité à ceux qui adhérent à des idées anticonformistes , parler à la troisième personne, sur un ton condescendant et arrogant, en profitant de tous les avantages que lui offre la tribune que représente la chaine, et sans contradicteur, est un aveu de manque de rigueur, manque d’objectivité, de pluralisme , de l’absence de la distance critique, et d’indépendance d’esprit - Les principes de base du journalisme -et laisse à penser que cette chaîne est une formation politique en soi qui défends un point de vue bien déterminé , que cette chaine a été montée de toute pièce pour mettre , et de façon hégémonique , la main sur la diaspora marocaine largement présente en Belgique ( 285.000 âmes) à laquelle la propagande lui est destinée .
Un député et un ancien journaliste belge Jean-Claude Defossé, a relevé les carences dans le traitement d’information de cette chaine et a pointé la méthode TIJJINI en disant "L'éditeur de service Maghreb TV est clairement polémiste et incontrôlable » Par ailleurs, d’aucuns ont relevé une insuffisance dans le traitement d’information, la méconnaissance du « journaliste » de la plupart des dossiers qu’il traite tels que la politique intérieure, la diplomatie, l’affaire du Sahara, du dossier des MRE.
Il est à rappeler que la télévision est un outil parfait de control social et un mécanisme d’aliénation de la masse populaire par l’Etat, en l’occurrence les services de l’ambassade se servent de ce type de chaine comme un vecteur de la diffusion des idées makhzeniennes pour endoctriner les masses et reluire son image en Europe. " Une information c’est quelque chose qui dérange, quelque chose que quelqu’un, quelque part, ne veut pas voir publié. Tout le reste n’est que publicité " écrivait William Randolm Heast, un magnat de la presse américaine
Natif de Berkane, cette grande ville amazighe du RIF, ce « journaliste » aliéné, renie ses origines rifaines et amazighes et n’hésite pas à faire dans la provocation et l’anti-rifanisme primaire, trait de caractère invétéré chez tous ces faux patriotes, ces éternels nationalistes de la dernière heure.
Un pantin télévisuel tel que ce « journaliste » n ‘est pas une exception. Il est le modèle parfait de la bien-pensence
Ce bourrage de crâne est terriblement efficace et toxique .il impose tout d’abord la nécessité d’avoir des canaux de transmission d’information libre, des voix libres, des chaines de télévisions pour contrecarrer ces méthodes cyniques et faire passer la parole libre, ferme et non complaisante. Par ailleurs, il ne faut pas hésiter aussi à dénoncer cette chaine-comédie, courroie de transmission du pouvoir marocain, ce canal d’aliénation des masses, la boycotter et le faire savoir partout. J’ai l’optimisme de penser que c ‘est possible. A l’ère de l’information open-source, les sources d’information sont abondantes à et c’est aux spectateurs de tirer leurs propres conclusions en regardant d’autres canaux plus libres et pluriels. Nous ne sommes pas obligés de voir ce constat comme une fatalité. Si nous décidons de nous libérer de nos fers , nous pourrons.
Je finis sur une citation d’Abraham Lincoln que je trouve hautement parlante, même de notre temps « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps »
Rachid OUFKIR
Un député et un ancien journaliste belge Jean-Claude Defossé, a relevé les carences dans le traitement d’information de cette chaine et a pointé la méthode TIJJINI en disant "L'éditeur de service Maghreb TV est clairement polémiste et incontrôlable » Par ailleurs, d’aucuns ont relevé une insuffisance dans le traitement d’information, la méconnaissance du « journaliste » de la plupart des dossiers qu’il traite tels que la politique intérieure, la diplomatie, l’affaire du Sahara, du dossier des MRE.
Il est à rappeler que la télévision est un outil parfait de control social et un mécanisme d’aliénation de la masse populaire par l’Etat, en l’occurrence les services de l’ambassade se servent de ce type de chaine comme un vecteur de la diffusion des idées makhzeniennes pour endoctriner les masses et reluire son image en Europe. " Une information c’est quelque chose qui dérange, quelque chose que quelqu’un, quelque part, ne veut pas voir publié. Tout le reste n’est que publicité " écrivait William Randolm Heast, un magnat de la presse américaine
Natif de Berkane, cette grande ville amazighe du RIF, ce « journaliste » aliéné, renie ses origines rifaines et amazighes et n’hésite pas à faire dans la provocation et l’anti-rifanisme primaire, trait de caractère invétéré chez tous ces faux patriotes, ces éternels nationalistes de la dernière heure.
Un pantin télévisuel tel que ce « journaliste » n ‘est pas une exception. Il est le modèle parfait de la bien-pensence
Ce bourrage de crâne est terriblement efficace et toxique .il impose tout d’abord la nécessité d’avoir des canaux de transmission d’information libre, des voix libres, des chaines de télévisions pour contrecarrer ces méthodes cyniques et faire passer la parole libre, ferme et non complaisante. Par ailleurs, il ne faut pas hésiter aussi à dénoncer cette chaine-comédie, courroie de transmission du pouvoir marocain, ce canal d’aliénation des masses, la boycotter et le faire savoir partout. J’ai l’optimisme de penser que c ‘est possible. A l’ère de l’information open-source, les sources d’information sont abondantes à et c’est aux spectateurs de tirer leurs propres conclusions en regardant d’autres canaux plus libres et pluriels. Nous ne sommes pas obligés de voir ce constat comme une fatalité. Si nous décidons de nous libérer de nos fers , nous pourrons.
Je finis sur une citation d’Abraham Lincoln que je trouve hautement parlante, même de notre temps « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps »
Rachid OUFKIR