Hélas, mille fois hélas, le joueur camerounais Albert Ebossé a fait les frais de la violence ambiante qui règne en Algérie (PH/DR)
...
Contribution :
Disqualifier l’Algérie, condamner Hannachi et dissoudre la JSK !
Par Amayas Nat Mlikech
En Algérie, les stades sont des défouloirs pour les jeunes qui sont livrés dès leur plus tendre enfance à la violence qui est érigée en valeur et en instrument de pouvoir. Cette violence est enseignée aux enfants de manière exclusive dès la première année primaire, à travers un enseignement intégriste. Oui, en Algérie, c’est en première année primaire que l’on apprend par cœur les supplices de la tombe endurés par les mécréants, que l’on apprend comment laver les morts, ou encore comment lapider les femmes. À 6 ans, le système éducatif algérien commence le formatage des cerveaux en inculquant la violence comme seul référent.
En Algérie, la violence n’est pas une tare mais une valeur et c’est une valeur sure ! La preuve, il suffit de voir comment les assassins sont amnistiés, protégés et même dédommagés par l’Etat algérien au détriment de leurs victimes. Oui, l’Algérie est le seul pays au monde à avoir créé une loi qui place les assassins au-dessus des victimes ! La loi algérienne d’amnistie du terrorisme est un acte sans précédent d’apologie du crime et de la violence. En Algérie, la violence n’a jamais été sanctionnée et ne peut pas l’être parce qu’elle est institutionnelle, parce qu’elle est volontairement inculquée dès la plus tendre enfance, qu’elle est l’unique mode de gouvernance et qu’elle constitue l’unique moyen d’ascension social.
Dès lors, il n’y a pas lieu de s’étonner de l’ampleur de la violence en Algérie, y compris à Tizi-Ouzou qui n’échappe pas à la règle puisque toutes les tares de l’Etat algérien s’exercent en priorité sur la Kabylie. Tizi-Ouzou, qui a de tout temps été le cauchemar de l’arabo-islamisme algérien retient toute l’attention du régime d’Alger qui ne pardonne pas à la Kabylie de résister à son dictat. Et la Kabylie le paie chère ! Très cher même ! Un concentré de fléaux s’abat sur elle ! Rien ne lui est épargné : islamisme, terrorisme, banditisme, kidnapping, chômage, incendie criminel des forets, des oliveraies, pollution, pillage du sable et de l’eau ! C’est la razzia générale ! une œuvre de destruction totale !
Tizi-Ouzou, jadis capitale de la lutte pour la liberté et la démocratie, est devenu le repère des voyous où la racaille déracinée règne en maitre absolue grâce à la corruption et à la voyoucratie algérienne qui gouverne ce pays! Des bandes de jeunes voyous passent des accords avec le directeur de campagne de Bouteflika, à savoir ce traitre de Ould Ali El Hadi. Il faut le dire et le redire : la racaille de Tizi-Ouzou est grassement récompensée par la clique à Said Bouteflika, dont Ould Ali El Hadi est le vil exécutant, qui leur a octroyé toutes sortes des licences de commerces. Les petites boutiques de vente de téléphone, de puces et autres recharges appartiennent toutes à cette nouvelle racaille tizi-ouzienne et cela grâce aux racailles d’une autre espèce et d’une autre envergure que sont les Ould Ali El Hadi et les Hannachi qui ont pris en otage la Kabylie toute entière ! N’est-ce pas ces oiseaux de mauvais augure qui ont vendus les billets de la finale de coupe d'Algérie aux supporters qui ont voté pour Bouteflika.
Ould Ali El Hadi a pris en otage Tizi-Ouzou et tous ses symboles culturels, Hannachi, lui a pris en otage le club Phare de la Kabylie, la JSK. La jeunesse sportive de Kabylie n’est plus ce qu’elle était et depuis longtemps déjà ! La JSK est devenu un club comme n’importe quel autre club algérien. Il ne véhicule plus rien et n’est plus le phare de quoi que ce soit, si ce n’est de la violence, de la corruption, de l’incompétence, de l’irresponsabilité, il n’existe pas de mots assez fort pour exprimer la déliquescence qui caractérise tout ce qui est administré de près ou de loin par l’Etat algérien !
La violence est la première caractéristique de l’Etat algérien où elle n’est pas une tare mais une valeur. Les stades de foot ne sont que les lieux d’expression de masse de cette violence! D’année en année, les agressions sont de plus en plus graves : En 2001, deux joueurs du CRB sont agressés à l’arme blanche par des supporters. Le premier est poignardé à l’abdomen et le second reste plusieurs heures dans le coma ; En 2010, au stade du 5 juillet à Alger, un jeune supporter de 19 ans meurt… poignardé ! En 2012, à Saida, les joueurs de l’USMA sont attaqués à l’arme blanche par les supporters de l’autre équipe. Laifaoui, un des joueurs de l’USMA, est poignardé. Cinq autres joueurs et un dirigeant du club sont hospitalisés ; En 2014 : Hocine Achiou, un joueur de l’USMB est agressé à l’entrée des vestiaires par des supporters. La même année, un match opposant deux équipes algériennes à Bel Abbes est arrêté à la 77’ minute à cause de l’envahissement du terrain par des supporters qui blessent alors trois joueurs. A chaque fois qu’il y a un match de football, il y a des agressions, des actes de vandalisme et des attaques à l’arme blanche.
Depuis une dizaine d’années, des sabres, des couteaux et des haches sont introduits dans les stades… Et on se demande bien comment se fait-il que des armes blanches soient si facilement introduites dans les stades quand on n’arrive même pas à faire entrer un drapeau qui n’est pas conforme au bon vouloir du régime algérien ? Comment se fait-il que des supporters arrivent à entrer dans les stades avec des grosses pierres alors que les vrais amoureux de la JSK n’arrivent pas à entrer avec des drapeaux amazighs ?
Le comble de l’horreur, a été atteint avec la mort d’Albert Ebossé, ce jeune et talentueux joueur camerounais de la JSK, tué par un jet de projectile par des supporters ! La mort tragique d’Albert Ebossé est un désastre inacceptable pour la Kabylie. La JSK, qui n’est plus, et depuis longtemps, le club phare d’antan, doit être dissous. La JSK n’a plus aucune raison d’être en Kabylie et ne représente plus la Kabylie depuis que le mafioso Hannachi en a pris possession. Les dirigeants de la JSK, comme les responsables du football algérien croient qu’avec l’argent, ils peuvent tout acheter, y compris la vie des joueurs qu’ils exposent délibérément à la furie d’une jeunesse livrée dès le berceau à la violence.
Les supporters algérien sont pires que les plus enragés des hooligans et ont déjà été pointé du doigt par les instances africaines et internationales du Football à cause, notamment, des jets de projectiles par les supporters algériens lors du match contre le Burkina Faso à Blida et après les matchs disputés par l’Algérie contre la Belgique, la Corée du Sud et la Russie pendant le Mondial au Brésil.
La France, principal soutien de l’Etat algérien, est aussi le principal pays où la violence des supportes algériens s'exerce. A chaque fois que l’Algérie joue un match à l’international, Paris est quadrillé par la police pour éviter la casse et limiter les dégâts. Ce pays est une véritable malédiction ! Un monstre crée de toute pièce et auquel il convient rapidement de mettre un terme. Sa nuisance est loin de se limiter aux limites territoriales dessinées par les vicissitudes d'une Histoire qu'il faut absolument corriger.
Amayas Nat Mlikech
SIWEL 261712 AOU 14
Contribution :
Disqualifier l’Algérie, condamner Hannachi et dissoudre la JSK !
Par Amayas Nat Mlikech
En Algérie, les stades sont des défouloirs pour les jeunes qui sont livrés dès leur plus tendre enfance à la violence qui est érigée en valeur et en instrument de pouvoir. Cette violence est enseignée aux enfants de manière exclusive dès la première année primaire, à travers un enseignement intégriste. Oui, en Algérie, c’est en première année primaire que l’on apprend par cœur les supplices de la tombe endurés par les mécréants, que l’on apprend comment laver les morts, ou encore comment lapider les femmes. À 6 ans, le système éducatif algérien commence le formatage des cerveaux en inculquant la violence comme seul référent.
En Algérie, la violence n’est pas une tare mais une valeur et c’est une valeur sure ! La preuve, il suffit de voir comment les assassins sont amnistiés, protégés et même dédommagés par l’Etat algérien au détriment de leurs victimes. Oui, l’Algérie est le seul pays au monde à avoir créé une loi qui place les assassins au-dessus des victimes ! La loi algérienne d’amnistie du terrorisme est un acte sans précédent d’apologie du crime et de la violence. En Algérie, la violence n’a jamais été sanctionnée et ne peut pas l’être parce qu’elle est institutionnelle, parce qu’elle est volontairement inculquée dès la plus tendre enfance, qu’elle est l’unique mode de gouvernance et qu’elle constitue l’unique moyen d’ascension social.
Dès lors, il n’y a pas lieu de s’étonner de l’ampleur de la violence en Algérie, y compris à Tizi-Ouzou qui n’échappe pas à la règle puisque toutes les tares de l’Etat algérien s’exercent en priorité sur la Kabylie. Tizi-Ouzou, qui a de tout temps été le cauchemar de l’arabo-islamisme algérien retient toute l’attention du régime d’Alger qui ne pardonne pas à la Kabylie de résister à son dictat. Et la Kabylie le paie chère ! Très cher même ! Un concentré de fléaux s’abat sur elle ! Rien ne lui est épargné : islamisme, terrorisme, banditisme, kidnapping, chômage, incendie criminel des forets, des oliveraies, pollution, pillage du sable et de l’eau ! C’est la razzia générale ! une œuvre de destruction totale !
Tizi-Ouzou, jadis capitale de la lutte pour la liberté et la démocratie, est devenu le repère des voyous où la racaille déracinée règne en maitre absolue grâce à la corruption et à la voyoucratie algérienne qui gouverne ce pays! Des bandes de jeunes voyous passent des accords avec le directeur de campagne de Bouteflika, à savoir ce traitre de Ould Ali El Hadi. Il faut le dire et le redire : la racaille de Tizi-Ouzou est grassement récompensée par la clique à Said Bouteflika, dont Ould Ali El Hadi est le vil exécutant, qui leur a octroyé toutes sortes des licences de commerces. Les petites boutiques de vente de téléphone, de puces et autres recharges appartiennent toutes à cette nouvelle racaille tizi-ouzienne et cela grâce aux racailles d’une autre espèce et d’une autre envergure que sont les Ould Ali El Hadi et les Hannachi qui ont pris en otage la Kabylie toute entière ! N’est-ce pas ces oiseaux de mauvais augure qui ont vendus les billets de la finale de coupe d'Algérie aux supporters qui ont voté pour Bouteflika.
Ould Ali El Hadi a pris en otage Tizi-Ouzou et tous ses symboles culturels, Hannachi, lui a pris en otage le club Phare de la Kabylie, la JSK. La jeunesse sportive de Kabylie n’est plus ce qu’elle était et depuis longtemps déjà ! La JSK est devenu un club comme n’importe quel autre club algérien. Il ne véhicule plus rien et n’est plus le phare de quoi que ce soit, si ce n’est de la violence, de la corruption, de l’incompétence, de l’irresponsabilité, il n’existe pas de mots assez fort pour exprimer la déliquescence qui caractérise tout ce qui est administré de près ou de loin par l’Etat algérien !
La violence est la première caractéristique de l’Etat algérien où elle n’est pas une tare mais une valeur. Les stades de foot ne sont que les lieux d’expression de masse de cette violence! D’année en année, les agressions sont de plus en plus graves : En 2001, deux joueurs du CRB sont agressés à l’arme blanche par des supporters. Le premier est poignardé à l’abdomen et le second reste plusieurs heures dans le coma ; En 2010, au stade du 5 juillet à Alger, un jeune supporter de 19 ans meurt… poignardé ! En 2012, à Saida, les joueurs de l’USMA sont attaqués à l’arme blanche par les supporters de l’autre équipe. Laifaoui, un des joueurs de l’USMA, est poignardé. Cinq autres joueurs et un dirigeant du club sont hospitalisés ; En 2014 : Hocine Achiou, un joueur de l’USMB est agressé à l’entrée des vestiaires par des supporters. La même année, un match opposant deux équipes algériennes à Bel Abbes est arrêté à la 77’ minute à cause de l’envahissement du terrain par des supporters qui blessent alors trois joueurs. A chaque fois qu’il y a un match de football, il y a des agressions, des actes de vandalisme et des attaques à l’arme blanche.
Depuis une dizaine d’années, des sabres, des couteaux et des haches sont introduits dans les stades… Et on se demande bien comment se fait-il que des armes blanches soient si facilement introduites dans les stades quand on n’arrive même pas à faire entrer un drapeau qui n’est pas conforme au bon vouloir du régime algérien ? Comment se fait-il que des supporters arrivent à entrer dans les stades avec des grosses pierres alors que les vrais amoureux de la JSK n’arrivent pas à entrer avec des drapeaux amazighs ?
Le comble de l’horreur, a été atteint avec la mort d’Albert Ebossé, ce jeune et talentueux joueur camerounais de la JSK, tué par un jet de projectile par des supporters ! La mort tragique d’Albert Ebossé est un désastre inacceptable pour la Kabylie. La JSK, qui n’est plus, et depuis longtemps, le club phare d’antan, doit être dissous. La JSK n’a plus aucune raison d’être en Kabylie et ne représente plus la Kabylie depuis que le mafioso Hannachi en a pris possession. Les dirigeants de la JSK, comme les responsables du football algérien croient qu’avec l’argent, ils peuvent tout acheter, y compris la vie des joueurs qu’ils exposent délibérément à la furie d’une jeunesse livrée dès le berceau à la violence.
Les supporters algérien sont pires que les plus enragés des hooligans et ont déjà été pointé du doigt par les instances africaines et internationales du Football à cause, notamment, des jets de projectiles par les supporters algériens lors du match contre le Burkina Faso à Blida et après les matchs disputés par l’Algérie contre la Belgique, la Corée du Sud et la Russie pendant le Mondial au Brésil.
La France, principal soutien de l’Etat algérien, est aussi le principal pays où la violence des supportes algériens s'exerce. A chaque fois que l’Algérie joue un match à l’international, Paris est quadrillé par la police pour éviter la casse et limiter les dégâts. Ce pays est une véritable malédiction ! Un monstre crée de toute pièce et auquel il convient rapidement de mettre un terme. Sa nuisance est loin de se limiter aux limites territoriales dessinées par les vicissitudes d'une Histoire qu'il faut absolument corriger.
Amayas Nat Mlikech
SIWEL 261712 AOU 14