Les membres de la CNCD, lors de la conférence de presse. PH/Siwel
Lors de la conférence organisée, dimanche matin à l’hôtel Sofitel d’Alger, aucun représentant de mission diplomatique à Alger n’a été présent, comme annoncé auparavant par les responsables de la CNCD, ont relevé les journaliste présents.
Dans son discours d’ouverture, Ali Yahia Abdenour, porte-parole de la Coordination, a déclaré que « l’indépendance a été confisquée au profit d’un pouvoir honni qui s’est accaparé les richesses et le pouvoir depuis 50 ans ».
Pour ce militant, « il est urgent de changer le système politique algérien et non pas un changement dans le système ». Pour les animateurs de la CNCD, « la fraude électorale est omniprésente dans les élections algériennes », ce qui est en soi, « un vol du pouvoir ».
« Le changement est inévitable devant une situation catastrophique après 12années de règne de Bouteflika qui a mis le pays à genoux », ajoute-t-on encore.
« Les atteintes aux libertés et à la dignité des Algériens ont fait que le peuple se soulève d’un manière sporadique. Ce qui a fait que le pays enregistre 11.000 émeutes l’an dernier », ont annoncé les conférenciers, qui rejettent « les appels de ceux qui veulent le changement dans le système ».
« L’Armée doit assumer sa responsabilité, elle qui a ramené Bouteflika au pouvoir » a souligné Me. Ali Yahia.
Dans la plate-forme de revendications de la CNCD, les animateurs appellent à la mise sur pied d’une « Conférence nationale pour désigner un Conseil nationale de transition démocratique, CNTD ». Ce conseil aura pour mission « de placer sous son autorité tous les services de sécurité, dissoudre les institution élues et préparer des élections libres et transparentes ».
Le CNTD aura aussi « de nommer un gouvernement de transition pour gérer les affaires courantes », préparer aussi « pour engager le pays dans une refondation nationale dont la clé de voûte sera la rédaction d’une constitution qui sera proposée au peuple algérien par voie référendaire ».
aai
SIWEL 241557 AVR 11
Dans son discours d’ouverture, Ali Yahia Abdenour, porte-parole de la Coordination, a déclaré que « l’indépendance a été confisquée au profit d’un pouvoir honni qui s’est accaparé les richesses et le pouvoir depuis 50 ans ».
Pour ce militant, « il est urgent de changer le système politique algérien et non pas un changement dans le système ». Pour les animateurs de la CNCD, « la fraude électorale est omniprésente dans les élections algériennes », ce qui est en soi, « un vol du pouvoir ».
« Le changement est inévitable devant une situation catastrophique après 12années de règne de Bouteflika qui a mis le pays à genoux », ajoute-t-on encore.
« Les atteintes aux libertés et à la dignité des Algériens ont fait que le peuple se soulève d’un manière sporadique. Ce qui a fait que le pays enregistre 11.000 émeutes l’an dernier », ont annoncé les conférenciers, qui rejettent « les appels de ceux qui veulent le changement dans le système ».
« L’Armée doit assumer sa responsabilité, elle qui a ramené Bouteflika au pouvoir » a souligné Me. Ali Yahia.
Dans la plate-forme de revendications de la CNCD, les animateurs appellent à la mise sur pied d’une « Conférence nationale pour désigner un Conseil nationale de transition démocratique, CNTD ». Ce conseil aura pour mission « de placer sous son autorité tous les services de sécurité, dissoudre les institution élues et préparer des élections libres et transparentes ».
Le CNTD aura aussi « de nommer un gouvernement de transition pour gérer les affaires courantes », préparer aussi « pour engager le pays dans une refondation nationale dont la clé de voûte sera la rédaction d’une constitution qui sera proposée au peuple algérien par voie référendaire ».
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