Sur place, on trouve plusieurs photos de victimes mozabites, dont certains remontent aux évènements de Berriane en 1990. Plusieurs affiches sont brandies sur le lieu du sit-in, on peut notamment y lire les slogans suivants : « silence, on tue à Ghardaia », « pouvoir algérien, pouvoir raciste », « citoyens mozabites agressés, pouvoir algérien impliqué », « l’Algérie siège à la CHD de l’ONU, opprime et torture à Ghardaia ».
C’est sur des airs du rebelle assassiné Matoub Lounes qu’a été entamé le sit-in, puis il y eu une succession de prise de parole pour dénoncer les crimes commis par l’Etat algérien contre le peuple mozabite. Parmi les intervenants, outre le Collectif des Amazighs en France, il y a eu bon nombre de militants amazighs du Rif, du Moyen Atlas, de Tunisie, des Aures et même un jeune homme du Mzab.
Il y a eu aussi des artistes tels que Rezki Rabia et Akli D et des représentants de diverses associations. Le Gouvernement provisoire kabyle, qui n’était pas présent devant l’ambassade d’Algérie dont il ne reconnait pas la légitimité, a néanmoins envoyé un message de soutien au rassemblement de dénonciation, organisé par le Collectif des amazighs en France.
Ce sont essentiellement Nadia Ould Said et Rachid Oufkir qui ont animé le sit-in du Collectif des Amazighs en France (C.A.F.).
Bon nombre de slogan, tels que « Pouvoir assassin, pouvoir raciste » ont été scandés par Nadia Ould said qui a également lu la déclaration de Kameleddine Fekhar faite à la suite de l’assassinat de Hadj khaled Said. Yasmina Oubouzar a quant à elle ,lu la déclaration du Collectif des Amazighs en France, avant que la parole ne soit successivement donnée à un militant amazigh du Rif, au poète kabyle Rezki Rabia, à Ahviv Mekdam , président de l’association Akal-pour la Kabylie, à Gaya Izenaxen, président du Réseau Anavad, au représentant du Collectif solidarité Mzab, au célèbre Akli D ainsi qu’à des militants amazighs Chaoui , du Moyen Atlas et de Tunisie.
Le Collectif des Amazighs a ensuite directement contacté le Dr Fekhar par téléphone, et malgré une mauvaise sonorisation, on a pu entendre le Dr Fekhar faire état des crimes commis par le pouvoir algérien contre les mozabites. Il a notamment dit que les massacres se poursuivaient après l’enterrement de Hadj khaled Said agressé par des châambas et achevé par la police algérienne ; que des centaines de familles avaient été déplacées suite aux incendies de leurs demeures et qu’il ne restait plus aucune solution pour les mozabites en dehors d’une intervention internationale. Il a tenu à remercier la solidarité des amazighs qui restaient le « dernier espoir des mozabites ».
Nous publions ci-après un reportage photo,
C’est sur des airs du rebelle assassiné Matoub Lounes qu’a été entamé le sit-in, puis il y eu une succession de prise de parole pour dénoncer les crimes commis par l’Etat algérien contre le peuple mozabite. Parmi les intervenants, outre le Collectif des Amazighs en France, il y a eu bon nombre de militants amazighs du Rif, du Moyen Atlas, de Tunisie, des Aures et même un jeune homme du Mzab.
Il y a eu aussi des artistes tels que Rezki Rabia et Akli D et des représentants de diverses associations. Le Gouvernement provisoire kabyle, qui n’était pas présent devant l’ambassade d’Algérie dont il ne reconnait pas la légitimité, a néanmoins envoyé un message de soutien au rassemblement de dénonciation, organisé par le Collectif des amazighs en France.
Ce sont essentiellement Nadia Ould Said et Rachid Oufkir qui ont animé le sit-in du Collectif des Amazighs en France (C.A.F.).
Bon nombre de slogan, tels que « Pouvoir assassin, pouvoir raciste » ont été scandés par Nadia Ould said qui a également lu la déclaration de Kameleddine Fekhar faite à la suite de l’assassinat de Hadj khaled Said. Yasmina Oubouzar a quant à elle ,lu la déclaration du Collectif des Amazighs en France, avant que la parole ne soit successivement donnée à un militant amazigh du Rif, au poète kabyle Rezki Rabia, à Ahviv Mekdam , président de l’association Akal-pour la Kabylie, à Gaya Izenaxen, président du Réseau Anavad, au représentant du Collectif solidarité Mzab, au célèbre Akli D ainsi qu’à des militants amazighs Chaoui , du Moyen Atlas et de Tunisie.
Le Collectif des Amazighs a ensuite directement contacté le Dr Fekhar par téléphone, et malgré une mauvaise sonorisation, on a pu entendre le Dr Fekhar faire état des crimes commis par le pouvoir algérien contre les mozabites. Il a notamment dit que les massacres se poursuivaient après l’enterrement de Hadj khaled Said agressé par des châambas et achevé par la police algérienne ; que des centaines de familles avaient été déplacées suite aux incendies de leurs demeures et qu’il ne restait plus aucune solution pour les mozabites en dehors d’une intervention internationale. Il a tenu à remercier la solidarité des amazighs qui restaient le « dernier espoir des mozabites ».
Nous publions ci-après un reportage photo,
le militant Hakim du Collectif des Amazighs prenant les noms des personnes qui souhaitant intervenir (PH/DR)
Cette pancarte qui avait servi au rassemblement du Trocadéro a connu des évolution malheureuses, le mot "réprime" a du être remplacé par le mot " tue" ( PH/DR)