Cinq accusations ont été retenues contre les victime de l'arbitraire de l'Algérie coloniale : incitation et fermeture du siège de la Daïra de Chemini, empêchement aux fonctionnaires et citoyens d’accéder au siège de la Daïra et affichage nocturne.
Cette plainte, a été introduite suite à un rapport accablant adressé par le premier responsable de l’administration coloniale à Chemini à son hiérarchie désignant ces personnes « nuisibles à la société et une menace aux intérêts de la mafia et de l’oligarchie locale ».
Les faits remontent au Sit-in observé par la population en date du 29 Mars 2016, dénonçant le chef de Daira qui a interdit aux militants associatifs de tenir une réunion publique à la maison de jeunes Farid ZADI à Chemini, qualifiant cette interdiction d’une atteinte à l’activité associative.
« Cette plainte vise à étouffer toute voix résistante qui reste sur le terrain à Chemini , et cette démarche entreprise par l’administration nous motive d’avantage à aller loin dans notre combat » nous déclare un des accusés et d’ajouter d’un air menaçant « nous réservons au premier responsable de l’administration locale des surprises dans les jours à venir » .
La coordination MAK de Chemini apporte son soutien indéfectible à ces militants associatifs dont le seul crime dont ils sont coupable c'est d'avoir refusé l'injustice et la soumission.
Contacté par Siwel, Farid Djenadi, secrétaire général , a de son côté appelé l'ensemble des militants et des citoyens à se solidariser et à se mobiliser aux côté des victimes pour que l'injustice et l'arbitraire cessent en Kabylie. " Ce qui vient de se passer à Chemini nous renseigne sur la volonté de l'administration coloniale algérienne d'étouffer la voix de la jeunesse car elle sait pertinemment que les jeunes kabyles sont déterminés à résister à la substitution identitaire et à poursuivre le combat jusqu'à l'aboutissement: la libération de la Kabylie du joug arabo-islamique de l'Algérie. Rien ni personne n'arrêtera la jeunesse kabyle sur la voie de sa propre émancipation" . A-t-il déclaré.
Source : Bejaia06.com
cdb,
SIWEL 081408 JUN 16
Cette plainte, a été introduite suite à un rapport accablant adressé par le premier responsable de l’administration coloniale à Chemini à son hiérarchie désignant ces personnes « nuisibles à la société et une menace aux intérêts de la mafia et de l’oligarchie locale ».
Les faits remontent au Sit-in observé par la population en date du 29 Mars 2016, dénonçant le chef de Daira qui a interdit aux militants associatifs de tenir une réunion publique à la maison de jeunes Farid ZADI à Chemini, qualifiant cette interdiction d’une atteinte à l’activité associative.
« Cette plainte vise à étouffer toute voix résistante qui reste sur le terrain à Chemini , et cette démarche entreprise par l’administration nous motive d’avantage à aller loin dans notre combat » nous déclare un des accusés et d’ajouter d’un air menaçant « nous réservons au premier responsable de l’administration locale des surprises dans les jours à venir » .
La coordination MAK de Chemini apporte son soutien indéfectible à ces militants associatifs dont le seul crime dont ils sont coupable c'est d'avoir refusé l'injustice et la soumission.
Contacté par Siwel, Farid Djenadi, secrétaire général , a de son côté appelé l'ensemble des militants et des citoyens à se solidariser et à se mobiliser aux côté des victimes pour que l'injustice et l'arbitraire cessent en Kabylie. " Ce qui vient de se passer à Chemini nous renseigne sur la volonté de l'administration coloniale algérienne d'étouffer la voix de la jeunesse car elle sait pertinemment que les jeunes kabyles sont déterminés à résister à la substitution identitaire et à poursuivre le combat jusqu'à l'aboutissement: la libération de la Kabylie du joug arabo-islamique de l'Algérie. Rien ni personne n'arrêtera la jeunesse kabyle sur la voie de sa propre émancipation" . A-t-il déclaré.
Source : Bejaia06.com
cdb,
SIWEL 081408 JUN 16