Le boxeur kabyle Karim Achour sacré champion de l'Union européenne ce 31/10/2015 (PH/DR)
Après un repos de courte durée, soit moins d'un mois après sa victoire le 3 octobre dernier contre le champion espagnol de la catégorie, José Yebes (36 ans), le boxeur kabyle licencié au BCO de Pont-Sainte-Maxence (Oise), a affronté ce samedi 31 octobre, dans le cadre du Championnat de l'Union européenne, Moez Fhima, 33 ans, boxeur d'origine tunisienne, du club de Louvroil (Nord).
Encouragé par ses supporters brandissant l'emblème kabyle, le "guerrier kabyle" au short portant l'inscription AZA symbôle des Hommes libres, supérieur physiquement, est monté en puissance au fil du combat et a fait la différence au 9ème round où Fhima est allé au tapis, en faillant tomber du ring, d'où l'arrêt de l'arbitre au 10eme round.
Les deux hommes s'étaient déjà rencontrés le 13 février dernier, mais n'ayant pu se départager à l'issue des 10 rounds (95-94 en faveur d'Achour, 94-97 pour Fhima, 95-95 selon le troisième juge), le championnat s'est soldé par un match nul qui a profité au guerrier kabyle qui avait, ainsi démontrer qu'il régnait toujours sur l’échiquier national français des poids moyens.
Le kabyle originaire d'Ighil Imula (le village de Ali Zamoum), installé en Picardie, à Cambronne les-Ribécourt près de Thourotte où il a commencé la boxe, 61ème champion de France, a décidé de se tourner vers l'Europe, puisqu'il est actuellement challenger officiel au championnat de l'Union européenne dans sa catégorie. « Devenir champion d’Europe, c’est mon rêve. Je suis patient mais déterminé ».
Avant de se consacrer entièrement à la boxe, suite à son arrivée en France à l’âge de onze ans, Karim Achour pratiquait déjà un sport de combat en Kabylie, le Yoseikan Budo. Il est aujourd'hui titulaire d’une licence en STAPS (Sciences et techniques des activités physiques et sportives) et d’un master d’entraînement sportif et handisport.
wbw
SIWEL 312338 OCT 15
Encouragé par ses supporters brandissant l'emblème kabyle, le "guerrier kabyle" au short portant l'inscription AZA symbôle des Hommes libres, supérieur physiquement, est monté en puissance au fil du combat et a fait la différence au 9ème round où Fhima est allé au tapis, en faillant tomber du ring, d'où l'arrêt de l'arbitre au 10eme round.
Les deux hommes s'étaient déjà rencontrés le 13 février dernier, mais n'ayant pu se départager à l'issue des 10 rounds (95-94 en faveur d'Achour, 94-97 pour Fhima, 95-95 selon le troisième juge), le championnat s'est soldé par un match nul qui a profité au guerrier kabyle qui avait, ainsi démontrer qu'il régnait toujours sur l’échiquier national français des poids moyens.
Le kabyle originaire d'Ighil Imula (le village de Ali Zamoum), installé en Picardie, à Cambronne les-Ribécourt près de Thourotte où il a commencé la boxe, 61ème champion de France, a décidé de se tourner vers l'Europe, puisqu'il est actuellement challenger officiel au championnat de l'Union européenne dans sa catégorie. « Devenir champion d’Europe, c’est mon rêve. Je suis patient mais déterminé ».
Avant de se consacrer entièrement à la boxe, suite à son arrivée en France à l’âge de onze ans, Karim Achour pratiquait déjà un sport de combat en Kabylie, le Yoseikan Budo. Il est aujourd'hui titulaire d’une licence en STAPS (Sciences et techniques des activités physiques et sportives) et d’un master d’entraînement sportif et handisport.
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Le champion kabyle toujours fier d'arborer sur son short le signe AZA des Hommes libres (PH/DR)