"Ca s'est passé dans une maison", déclare un habitant de Kidal.
Le porte-parole de l'armée malienne, Souleymane Maïga, précise qu'il s'agit de celle "d'un colonel du MNLA qui se prénomme Malick".
Il s'agirait du colonel Malick Ag Acherif qui avait déserté les rangs de l'armée malienne le 25 mars 2012 avec 30 de ses hommes pour rejoindre le MNLA.
« Le kamikaze attendait quelqu'un dans la maison du colonel quand il a été surpris par des jeunes et a déclenché sa charge. Lui-même est mort et il y a un blessé », poursuit le porte-parole, ajoutant que l'armée malienne pensait que ce chef militaire du MNLA pourrait être "un informateur" de l'armée française présente à Kidal.
Située à 1.500 km au nord-est de Bamako, Kidal abrite des bases des armées française et tchadienne qui en assurent la sécurité, la ville étant gérée par le MNLA qui s'oppose à la présence de l'armée malienne dans cette zone.
wbw
SIWEL 041547 JUIN 13
Le porte-parole de l'armée malienne, Souleymane Maïga, précise qu'il s'agit de celle "d'un colonel du MNLA qui se prénomme Malick".
Il s'agirait du colonel Malick Ag Acherif qui avait déserté les rangs de l'armée malienne le 25 mars 2012 avec 30 de ses hommes pour rejoindre le MNLA.
« Le kamikaze attendait quelqu'un dans la maison du colonel quand il a été surpris par des jeunes et a déclenché sa charge. Lui-même est mort et il y a un blessé », poursuit le porte-parole, ajoutant que l'armée malienne pensait que ce chef militaire du MNLA pourrait être "un informateur" de l'armée française présente à Kidal.
Située à 1.500 km au nord-est de Bamako, Kidal abrite des bases des armées française et tchadienne qui en assurent la sécurité, la ville étant gérée par le MNLA qui s'oppose à la présence de l'armée malienne dans cette zone.
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