Cette attaque par saturation des serveurs du ministère de l'intérieur algérien augure, à n'en pas douter, d'une escalade des hostilités entre la dictature algérienne et ses très nombreux ennemis, tant en Algérie qu'à l'extérieur.
Toutes les requêtes Ping envoyées vers le site du ministère de l'Intérieur algérien via http://www.watchmouse.com ont été perdues, signe de son inaccessibilité.
À l'instar du web tunisien qui a soutenu la révolte populaire ayant abouti à la fuite du dictateur Ben Ali du pouvoir, le web algérien tente lui aussi d'accompagner la révolte et de précipiter la chute du régime. Le réseau social Facebook est devenu la hantise du régime, comme de toutes les dictatures de la planète.