L'artiste kabyle Salima Ait-Mohamed. PH/DR
Sous le thème « Henné en Tifinagh », l’artiste kabyle Salima Ait Mohamed compte retracer la longue histoire et la culture amazighe, toujours méconnues par les européens, et même parfois les nord-africains, des berbères de l’Afrique.
Le henné, une matière esthétique utilisée plus particulièrement par les femmes depuis les temps plus reculés par les peuples Amazighs, a véhiculé des symboles et toute une culture à travers des siècles. L’expression à travers la peinture constitue pour Salima Aït Mohamed la meilleure manière, et ce, depuis son jeune âge, de faire connaître la culture de ses aïeux aux étrangers d’abord, mais surtout à ses concitoyens et émigrés en l’Europe et qui sont souvent déracinés de leur culture et vaguent sans repère identitaire.
L’autre évènement culturel de ce mois auquel Salima compte prendre part également, est le colloque sur la laïcité qui se tiendra le 29 septembre prochain à Aix-En-Provence. Elle développera le thème comme témoin et propositions. D’autres intellectuels et enseignants français comptent, eux aussi, aborder des sujets et des thèmes liés à la laïcité. Pour rappel, Salima Aït Mohamed est journaliste, écrivain, poète, conférencière et calligraphe kabyle, est née un certain 30 avril à Ath Eurvah, en haute Kabylie. Elle est connue pour son combat infaillible pour la liberté d’expression.
À travers ses œuvres artistiques, elle est restée toujours attachée à sa culture kabyle, en dépit de son éloignement du pays. Salima Aït-Mohamed est connue aussi pour sa détermination et elle ne mâche jamais ses mots lorsqu’il s’agit d’exprimer ses convictions sacralisées. Elle consacre la plupart de son temps à sa langue maternelle la langue Amazigh et les caractères Tifingah.
Cette artiste hors paire, mais qui n’aime pas se montrer, mène un combat sans relâche depuis plusieurs années pour ressusciter son identité. Elle a à son actif plusieurs ouvrages artistiques dont, « Alger, triste soir », poésie, Ed. Autres Temps, Mai 1996, « Écrits d’Algérie, anthologie de poètes algériens », Ed. Autres Temps, septembre 1996, « La cuisine égyptienne des pharaons à nos jours », Ed. Autres Temps, avril 1997, réédition en octobre 1998 et mai 2006, « Contes merveilleux de la Méditerranée », Ed. Autres Temps, mars 1998, « Contes magiques de Haute-Kabylie », Ed. Autres Temps, mai 1999, réédition en mars 2000, « Poésie grecque contemporaine, des îles et des muses », Ed. Autres Temps, mai 2000 et « D’Alger et d’amour », poésie, Ed. Autres Temps, février 2001.
aai/tamurt
SIWEL 121400 SEP 12
Le henné, une matière esthétique utilisée plus particulièrement par les femmes depuis les temps plus reculés par les peuples Amazighs, a véhiculé des symboles et toute une culture à travers des siècles. L’expression à travers la peinture constitue pour Salima Aït Mohamed la meilleure manière, et ce, depuis son jeune âge, de faire connaître la culture de ses aïeux aux étrangers d’abord, mais surtout à ses concitoyens et émigrés en l’Europe et qui sont souvent déracinés de leur culture et vaguent sans repère identitaire.
L’autre évènement culturel de ce mois auquel Salima compte prendre part également, est le colloque sur la laïcité qui se tiendra le 29 septembre prochain à Aix-En-Provence. Elle développera le thème comme témoin et propositions. D’autres intellectuels et enseignants français comptent, eux aussi, aborder des sujets et des thèmes liés à la laïcité. Pour rappel, Salima Aït Mohamed est journaliste, écrivain, poète, conférencière et calligraphe kabyle, est née un certain 30 avril à Ath Eurvah, en haute Kabylie. Elle est connue pour son combat infaillible pour la liberté d’expression.
À travers ses œuvres artistiques, elle est restée toujours attachée à sa culture kabyle, en dépit de son éloignement du pays. Salima Aït-Mohamed est connue aussi pour sa détermination et elle ne mâche jamais ses mots lorsqu’il s’agit d’exprimer ses convictions sacralisées. Elle consacre la plupart de son temps à sa langue maternelle la langue Amazigh et les caractères Tifingah.
Cette artiste hors paire, mais qui n’aime pas se montrer, mène un combat sans relâche depuis plusieurs années pour ressusciter son identité. Elle a à son actif plusieurs ouvrages artistiques dont, « Alger, triste soir », poésie, Ed. Autres Temps, Mai 1996, « Écrits d’Algérie, anthologie de poètes algériens », Ed. Autres Temps, septembre 1996, « La cuisine égyptienne des pharaons à nos jours », Ed. Autres Temps, avril 1997, réédition en octobre 1998 et mai 2006, « Contes merveilleux de la Méditerranée », Ed. Autres Temps, mars 1998, « Contes magiques de Haute-Kabylie », Ed. Autres Temps, mai 1999, réédition en mars 2000, « Poésie grecque contemporaine, des îles et des muses », Ed. Autres Temps, mai 2000 et « D’Alger et d’amour », poésie, Ed. Autres Temps, février 2001.
aai/tamurt
SIWEL 121400 SEP 12