Que les choses soient claires tout de suite ; je ne suis ni du MAK ni de l'Anavad, ce qui n’est pas un scoop en soi puisque beaucoup le savent déjà depuis toujours. Cela étant dit, dans cette conjoncture interne quelque peu remuante, je trouve navrant le manque de maturité chez certains éléments de ce mouvement politique qui n'arrivent même pas à contenir leurs états d'âme et leurs pulsions, réagissant; dans un sens ou dans l'autre; d'une manière totalement instinctive, dépréciative et le pire, sur la place publique.
Le devoir de réserve, la discipline, le bon sens, la maturité politique, l'intelligence; la mise de l'intérêt suprême de la Kabylie au-dessus de tout ego démesuré et de toute autre considération restreinte d'ordre personnel, clanique, revanchard...etc semblent être des denrées inexistantes chez ces impulsifs qui reproduisent machinalement les pratiques apprises jadis dans les partis algériens, ne mesurant même pas la gravité de leur incapacité à faire preuve de retenue ; ce qui, par ailleurs, cache mal une forme de frustration abyssale qui ne dit pas son nom.
La Kabylie a besoin des outils politiques et de tous ses enfants pour la porter intelligemment et pacifiquement vers sa liberté. Cette marche qui surpasse les sigles et qui sera longue, est désormais irréversible.
Je n’ai aucun intérêt à me prononcer sur cette question, même pas le droit de m’immiscer dans les affaires internes d’un mouvement politique auquel je n’appartiens pas mais avec qui je converge néanmoins sur l’idéal d’une Kabylie totalement émancipée ; et c’est seulement en tant que tel, eu égard aux quelques amitiés que j’y compte, que je me permets d’inviter les uns et les autres à faire preuve d’un sens élevé des responsabilités et à ne pas détruire en un seul misérable jet sur les réseaux sociaux, la formidable dynamique populaire qui s’est enclenchée, lentement mais surement, en faveur de l’indépendance de la Kabylie et qui a été rendue possible au prix d’un travail collectif de longue haleine et non sans risques ; mené conjointement en Kabylie et dans sa diaspora.
Allas DI TLELLI
09/10/2016
Le devoir de réserve, la discipline, le bon sens, la maturité politique, l'intelligence; la mise de l'intérêt suprême de la Kabylie au-dessus de tout ego démesuré et de toute autre considération restreinte d'ordre personnel, clanique, revanchard...etc semblent être des denrées inexistantes chez ces impulsifs qui reproduisent machinalement les pratiques apprises jadis dans les partis algériens, ne mesurant même pas la gravité de leur incapacité à faire preuve de retenue ; ce qui, par ailleurs, cache mal une forme de frustration abyssale qui ne dit pas son nom.
La Kabylie a besoin des outils politiques et de tous ses enfants pour la porter intelligemment et pacifiquement vers sa liberté. Cette marche qui surpasse les sigles et qui sera longue, est désormais irréversible.
Je n’ai aucun intérêt à me prononcer sur cette question, même pas le droit de m’immiscer dans les affaires internes d’un mouvement politique auquel je n’appartiens pas mais avec qui je converge néanmoins sur l’idéal d’une Kabylie totalement émancipée ; et c’est seulement en tant que tel, eu égard aux quelques amitiés que j’y compte, que je me permets d’inviter les uns et les autres à faire preuve d’un sens élevé des responsabilités et à ne pas détruire en un seul misérable jet sur les réseaux sociaux, la formidable dynamique populaire qui s’est enclenchée, lentement mais surement, en faveur de l’indépendance de la Kabylie et qui a été rendue possible au prix d’un travail collectif de longue haleine et non sans risques ; mené conjointement en Kabylie et dans sa diaspora.
Allas DI TLELLI
09/10/2016