Abdelaziz Bouteflika, concepteur de la politique diabolique de réconciliation nationale (PH/DR)
Tarek Goulmamine, victime du terroriste "repenti", a succombé à ses blessures quarte jours après avoir été très grièvement agressé à l'arme blanche par un des protégés de l'Etat algérien. La politique dite de réconciliation nationale, une fumisterie unique dans son genre dans l'histoire de l'Humanité vient de franchir un nouveau cap, celui de la récidive. L'Etat algérien, avec à sa tête le président Bouteflika, ainsi que toute une panoplie de "partis d'opposition", y compris l'opposition dite démocratique, a cautionné ce crime inqualifiable qu'est "la réconciliation nationale".
Comment qualifier le fait d'absoudre de leurs crimes une bande d'assassins qui ont mis à sac le pays avec plus de 200 000 victimes à leur palmarès? Ces terroristes ont non seulement été blanchis, avec casiers judiciaires vierges à l'appui, mais ils ont aussi été indemnisé pour avoir quitté le maquis au moyen de jolis petits pactoles en plus de fonds de commerces et de toutes sortes de facilités administratives afin d’exercer des activités de commerces inaccessibles aux honnêtes citoyens.
Ces terroristes ont aussi été assurés d'être "laissé tranquille" par les familles des victimes que l'Etat criminel algérien a rigoureusement sommé de baisser les yeux face aux assassins sous peine de poursuites judiciaires, un comble!... Les terroristes "repentis" bénéficient en outre de la protection de la police et de la gendarmerie au cas où des citoyens ne supporteraient pas l'acte criminels qui a consisté à élever les assassins aux dessus des victimes et des honnêtes gens.
Les terroristes, en usent et en abusent, ils snobent, intimident, poursuivent leur propagande islamiste en toute tranquillité, et ce, jusqu'aux plus hauts sommets de l'Etat. Un des chefs terroristes islamistes se faisant même affectueusement appeler "Monsieur Hattab" par son président Abdelaziz Bouteflika, le terrorisme et sa doctrine islamiste ont de beau jour devant eux d'autant plus que les formations dites démocratiques et la presse dite libre ont apporté leur coupable soutien à la politique criminelle de Bouteflika et continuent de se taire sur la propagande salafiste des terroristes "repentis" allant même jusqu'à se taire face l'ignoble assassinat de l'employé de l'ENTV qu'aucun d'entres-eux n'ose évoquer et encore moins condamner.
zp,
SIWEL 190132 MARS 13
Comment qualifier le fait d'absoudre de leurs crimes une bande d'assassins qui ont mis à sac le pays avec plus de 200 000 victimes à leur palmarès? Ces terroristes ont non seulement été blanchis, avec casiers judiciaires vierges à l'appui, mais ils ont aussi été indemnisé pour avoir quitté le maquis au moyen de jolis petits pactoles en plus de fonds de commerces et de toutes sortes de facilités administratives afin d’exercer des activités de commerces inaccessibles aux honnêtes citoyens.
Ces terroristes ont aussi été assurés d'être "laissé tranquille" par les familles des victimes que l'Etat criminel algérien a rigoureusement sommé de baisser les yeux face aux assassins sous peine de poursuites judiciaires, un comble!... Les terroristes "repentis" bénéficient en outre de la protection de la police et de la gendarmerie au cas où des citoyens ne supporteraient pas l'acte criminels qui a consisté à élever les assassins aux dessus des victimes et des honnêtes gens.
Les terroristes, en usent et en abusent, ils snobent, intimident, poursuivent leur propagande islamiste en toute tranquillité, et ce, jusqu'aux plus hauts sommets de l'Etat. Un des chefs terroristes islamistes se faisant même affectueusement appeler "Monsieur Hattab" par son président Abdelaziz Bouteflika, le terrorisme et sa doctrine islamiste ont de beau jour devant eux d'autant plus que les formations dites démocratiques et la presse dite libre ont apporté leur coupable soutien à la politique criminelle de Bouteflika et continuent de se taire sur la propagande salafiste des terroristes "repentis" allant même jusqu'à se taire face l'ignoble assassinat de l'employé de l'ENTV qu'aucun d'entres-eux n'ose évoquer et encore moins condamner.
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SIWEL 190132 MARS 13