Un islamiste s’étonnant qu’un policier algérien le braque avec une arme crie à ce dernier « Ne tirez pas !!! je ne suis pas kabyle ! » Caricature illustrant le racisme anti-kabyle de l’Etat algérien (PH/Dilem)
Poursuivant ses études à Bilda, ce jeune étudiant kabyle, ultra minoritaire dans un environnement qui lui est résolument hostile, se trouve à la merci des institutions arabo-islamiques de l’école algérienne où il subit toutes sortes de pressions.
Connu de l’administration et des enseignants de l’université de Blida comme le loup blanc en raison de son engagement ouvert et assumé en faveur de sa Kabylie natale qu'il veut voir libre, authentique et souveraine, ce jeune étudiant est à la merci des "enseignants" de cette "université".
Et même s'il défend ses idées par l'échange et la discussion en se réclamant des principes de la démocratie et de la liberté d'opinion face à des contradicteurs pour le moins haineux, il est désigné à la vindicte "nationale" par ces nouveaux "enseignants" algériens, biberonés aux valeurs arabo-islamiques dont on apprécie aujourd'hui les valeurs d'"ouverture" et de "tolérance" dans le monde entier.
En effet, les "enseignants" arabo-islamiques de cette université, qui ne savent pas ce que signifie défendre ses idées, ni encore moins ce que signifie la liberté de penser et d'agir dans le respect des autres, sont allé jusqu’à refuser de corriger ses copies. De plus, et à ce jour, aucun enseignant n’accepte d'encadrer les travaux du mémoire de fin d’étude de cet étudiant, histoire de lui faire payer ses grandes idées de liberté et d'authenticité.
Après 60 années d’endoctrinement arabo-islamique et autant de politique ouvertement anti-kabyle, l’Etat algérien a réussi sa mission : il a inculqué à de très larges franges sociales la haine du kabyle à travers sa politique de fanatisation de la société algérienne qui voit en chaque kabyle un « suppôt de Satan »; parce que le kabyle, non seulement il n'est pas arabe mais il ose en plus refuser de le devenir et pour aggraver davantage son cas, il est en plus laïc, démocrate et ouvert au monde et au progrès.
Le Kabyle est l'anti-thèse de l'arabo-islamisme algérien, par conséquent il est l'ennemi public numéro un de tous les endoctrinés algériens qui se comptent hélas par dizaine de millions et ce jusque dans les universités, c'est à dire ce que l'on appelle "l'élite algérienne".
cdb/zp,
SIWEL 221343 FEV 16
Connu de l’administration et des enseignants de l’université de Blida comme le loup blanc en raison de son engagement ouvert et assumé en faveur de sa Kabylie natale qu'il veut voir libre, authentique et souveraine, ce jeune étudiant est à la merci des "enseignants" de cette "université".
Et même s'il défend ses idées par l'échange et la discussion en se réclamant des principes de la démocratie et de la liberté d'opinion face à des contradicteurs pour le moins haineux, il est désigné à la vindicte "nationale" par ces nouveaux "enseignants" algériens, biberonés aux valeurs arabo-islamiques dont on apprécie aujourd'hui les valeurs d'"ouverture" et de "tolérance" dans le monde entier.
En effet, les "enseignants" arabo-islamiques de cette université, qui ne savent pas ce que signifie défendre ses idées, ni encore moins ce que signifie la liberté de penser et d'agir dans le respect des autres, sont allé jusqu’à refuser de corriger ses copies. De plus, et à ce jour, aucun enseignant n’accepte d'encadrer les travaux du mémoire de fin d’étude de cet étudiant, histoire de lui faire payer ses grandes idées de liberté et d'authenticité.
Après 60 années d’endoctrinement arabo-islamique et autant de politique ouvertement anti-kabyle, l’Etat algérien a réussi sa mission : il a inculqué à de très larges franges sociales la haine du kabyle à travers sa politique de fanatisation de la société algérienne qui voit en chaque kabyle un « suppôt de Satan »; parce que le kabyle, non seulement il n'est pas arabe mais il ose en plus refuser de le devenir et pour aggraver davantage son cas, il est en plus laïc, démocrate et ouvert au monde et au progrès.
Le Kabyle est l'anti-thèse de l'arabo-islamisme algérien, par conséquent il est l'ennemi public numéro un de tous les endoctrinés algériens qui se comptent hélas par dizaine de millions et ce jusque dans les universités, c'est à dire ce que l'on appelle "l'élite algérienne".
cdb/zp,
SIWEL 221343 FEV 16