Avide et assoiffé de pouvoir, pendant longtemps, nombreux étaient ceux du sérail qui lui miroitaient l’avenir d’un futur président de la république. Porté, à trois reprises au poste de 1er ministre, il se rêvait déjà parvenu à son but lui qui croyait représentant du clan des militaires que Bouteflika n’arrêtait de malmener.
Dans une publication « confession d’un général » sur le net et prêtée à un général de l’armée relatant les affres de la décennie noire, l’auteur en question revenait avec force détail sur le zèle de Mr OUYAHIA dans son soutien sans réserve, aux multiples exactions et les horreurs commises par l’armée des généraux. Pendant que toutes les sources avançaient le chiffre de 200 à 300.000 victimes, Ouyahia divisait ce chiffre par 10 pour mieux plaire à ceux qu’il croyait être ses mentors qui l’aideraient à accéder à la fonction suprême de président de la république
Combien de hauts cadres a-t-il mis en préson et qui y croupissent encore ? La liste de ses méfaits est très longue pour la relater ici.
Ci-dessous quelques uns de ses faits d’armes :
« C’est sous l’administration Ouyahia qu’a été promulguée la loi de généralisation de la langue arabe, visant essentiellement à l'arabisation de la Kabylie. Son entrée en vigueur en 1998 ainsi que l'assassinat le 25 juin 1998 du chanteur engagé kabyle Matoub Lounès ont déclenché un soulèvement en Kabylie et créé une vive émotion en Kabylie et dans la diaspora. »
« Il est nommé chef du gouvernement le 24 juin 2008 par le président Bouteflika en vue de la révision de la Constitution, mission accomplie le 13 novembre 2008, permettant ainsi à Bouteflika de briguer un troisième mandat. Il est remplacé par Abdelmalek Sellal en septembre 20127. »
« Le président Bouteflika a été le premier à révéler un chiffre qui se rapproche un tant soit peu de la réalité. Il a parlé de 200 000 morts. Avant lui de quelques semaines, Ouyahia, le chef du gouvernement, un fidèle parmi les fidèles, qui fait montre de beaucoup de zèle à nous servir, parce qu’il rêve de devenir Président de la République, avait déclaré, en pleine conférence de presse, que le nombre de morts ne dépassait pas 35 000, tous imputables aux terroristes. »
Voyez donc les dévoiements de M OUYAHIA qui, croit-il, que c’est au prix de la conspiration et de statut de second couteau qu’il atteindra l’objectif qu’il s’est fixé, celui d’être le futur président et sans livrer le moindre combat.
Il ignore ou feint d’ignorer que ceux qui se renient et trahissent les leurs ne peuvent bénéficier de la confiance des autres. Et les exemples sont légion pour ne pas en citer ici.
Il est arrivé en politique dans les années 1990. Depuis il gravit des échelons sans livrer le moindre combat, sans porter la moindre conviction, sans défendre le plus simple des principes qui fondent une société et, encore moins, porter un quelconque projet de société. Son ascension il l’a doit à son excellence dans les coûts tordus et sa sujétion et son asservissement devant ses maîtres. Ces derniers semblent le lâcher.
En effet l’unique carte qu’il a et vient de perdre est celle que certains lui prêtent, à savoir le soutien du DRS dont il aurait bénéficié sous le règne Toufik MEDIENE. Or ce dernier vient d’être rejeté par les tenants du système comme le fait l’océan de ses victimes noyées qui finissent par trainer aux abords des plages toutes dévêtues et mises à nu, quand elles ne sont pas déchiquetées par les requins et les multiples prédateurs.
Que lui reste-t-il d’autres ? Rien !
Même le statut d’éradicateur du terrorisme islamiste dont il se faisait valoir des années, il vient de le compromettre et le perdre, en même temps. Au service de son maitre BOUTEFLIKA, il n’hésite pas à recevoir le sanguinaire et terroriste, Madani MAZREG à la présidence de la république en lui octroyant, ainsi, le statut de personnalité nationale pendant qu’il menace la classe politique légale et la société civile.
Malin, malin et demi. C’est Bouteflika himself qui lui a ordonné de recevoir Madani MEZRAG, histoire de le noyer et de le discréditer aux yeux de ses soutiens militaires. Ainsi il se fait retirer la dernière carte (l’éradication du terrorisme résiduel comme il aimait à le dire) par laquelle il croit se faire valoir auprès de la société civile démocratique.
Dépourvu de toutes prérogatives régaliennes il s’emploie à trouver des arguments à monnayer pour se maintenir à flot.
Sans trop tarder, et avec peu d’imagination, il trouve les dernières cartes à abattre : les kabyles et à leur tête Ferhat MEHENNI qui hantent son sommeil.
Ignore-t-il pour ne pas le comprendre, sitôt, que sa seule raison d’être là où il est (mais pas pour longtemps) est celle de livrer les siens (les kabyles) et de les brandir comme étant une menace pour leur Algérie. Connaissant l’allergie qu’une partie des algériens éprouvent à l’égard des juifs et de l’Etat d’Israël, il ne manque pas d’instrumentaliser cette haine à l’égard des juifs pour mieux fustiger et diaboliser le président du GPK, en s’appuyant sur la notion des moudjahidines qui fait les choux gras des barons d’Alger chaque fois qu’ils sont acculés.
Ainsi, il ne se gêne pas d’accuser Ferhat MEHENNI de vouloir vendre l’Algérie aux juifs et Israël, tous deux ennemis de l’Algérie !
Dans sa réponse à cet apparatchik d’autres temps, Ferhat MEHENNI lui a apporté les réponses nécessaires et pertinentes à ces propos racistes et ses accusations malhonnêtes et indignes.
Ferhat MEHENNI porte et défend une cause des plus nobles, celle de doter le peuple kabyle d’un pays et d’une patrie à l’instar de tous les autres peuples. Ferhat MEHENNI ne s’est pas réveiller un beau matin et a découvert que le peuple berbère, d’abord, et Kabyle ensuite pour s’apercevoir de cette réalité tangible. Il s’agit de la somme d’un combat et souffrance que ce pouvoir que soutient et défend cet « illustre » Ouyahia. Pour rappel le président du GPK a été des années durant le chantre d’une Algérie authentiqué fière de ses origines Amazigh. Son parcours est là pour témoigner de toutes les luttes qu’il a porté sans répit et sans jamais courber l’échine devant l’injustice qu’il n’a eu de cesse de subir. Harcèlements, arrestations, prisons et, en dernier, assassinats sont le lot que le pouvoir assassin d’Alger lui a toujours réservé. En vain ! Cet homme irréductible n’a jamais plié et poursuit dignement son combat.
M OUYAHIA, qu’a-t-il fait de si utile pour son peuple à mettre en avant, si ce n’est son parcours de supplétif au service de ceux qui ont opprimé le peuple Algérien, qui ont pillé les richesses de l’Algérie et - aujourd’hui pour rester au pouvoir - l’offre au moins disant et non pas au plus offrant comme c’est de tradition.
Toute honte bue, il accuse Ferhat MEHENNI de vendre l’Algérie aux juifs et à Israël. Formé à l’école du panarabisme et du baathisme, incapable de regarder les choses en face, son seul exutoire, comme ses semblables, est la haine de l’étranger, en particulier les juifs. Ainsi pour diaboliser un adversaire, le disqualifier et de le jeter en pâture aux charognards de tout bord, il suffit d’agiter le chiffon rouge de la division du pays, de collision avec la main de l’étranger, de collaboration avec les juifs et le sionisme et d’atteinte à la mémoire de martyres de novembre et la liste est longue encore. En somme tous les méfaits que ce système a occasionnés pour l’Algérie et son peuple, la clique d’OUYAHIA s’en lave les mains et cherche des boucs émissaires. Quand à ces vrais ennemis de l’Algérie ils poursuivent leur forfaiture en violation de tous les principes dont ils se proclament les dépositaires. En vrai, ils sont les vrais fossoyeurs de l’Algérie.
Pour conclure, il convient de rappeler à M OUYAHIA qui entretient, sciemment, l’amalgame entre être juif et l’Etat d’Israël, que ces juifs ont été les porteurs de valises d’hier et au péril de leurs vies pour soutenir la guerre de libération et d’indépendance de l’Algérie à la faveur desquelles ce dernier et sa clique se trouvent là où ils sont aujourd’hui .
A l’inverse de ces juifs nobles, le supplétif OUYAHIA et ses soutiens assurent l’acheminement de valises pleines de devises et d’or de l’Algérie vers les banques situées dans les paradis fiscaux en pillant les richesses de ce pays et de son peuple. Qu’il sache bien que les professionnels du mercenariat politique finissent, toujours, dan les poubelles de l’histoire des peuples et nations.
Ahcene Belkacemi
Dans une publication « confession d’un général » sur le net et prêtée à un général de l’armée relatant les affres de la décennie noire, l’auteur en question revenait avec force détail sur le zèle de Mr OUYAHIA dans son soutien sans réserve, aux multiples exactions et les horreurs commises par l’armée des généraux. Pendant que toutes les sources avançaient le chiffre de 200 à 300.000 victimes, Ouyahia divisait ce chiffre par 10 pour mieux plaire à ceux qu’il croyait être ses mentors qui l’aideraient à accéder à la fonction suprême de président de la république
Combien de hauts cadres a-t-il mis en préson et qui y croupissent encore ? La liste de ses méfaits est très longue pour la relater ici.
Ci-dessous quelques uns de ses faits d’armes :
« C’est sous l’administration Ouyahia qu’a été promulguée la loi de généralisation de la langue arabe, visant essentiellement à l'arabisation de la Kabylie. Son entrée en vigueur en 1998 ainsi que l'assassinat le 25 juin 1998 du chanteur engagé kabyle Matoub Lounès ont déclenché un soulèvement en Kabylie et créé une vive émotion en Kabylie et dans la diaspora. »
« Il est nommé chef du gouvernement le 24 juin 2008 par le président Bouteflika en vue de la révision de la Constitution, mission accomplie le 13 novembre 2008, permettant ainsi à Bouteflika de briguer un troisième mandat. Il est remplacé par Abdelmalek Sellal en septembre 20127. »
« Le président Bouteflika a été le premier à révéler un chiffre qui se rapproche un tant soit peu de la réalité. Il a parlé de 200 000 morts. Avant lui de quelques semaines, Ouyahia, le chef du gouvernement, un fidèle parmi les fidèles, qui fait montre de beaucoup de zèle à nous servir, parce qu’il rêve de devenir Président de la République, avait déclaré, en pleine conférence de presse, que le nombre de morts ne dépassait pas 35 000, tous imputables aux terroristes. »
Voyez donc les dévoiements de M OUYAHIA qui, croit-il, que c’est au prix de la conspiration et de statut de second couteau qu’il atteindra l’objectif qu’il s’est fixé, celui d’être le futur président et sans livrer le moindre combat.
Il ignore ou feint d’ignorer que ceux qui se renient et trahissent les leurs ne peuvent bénéficier de la confiance des autres. Et les exemples sont légion pour ne pas en citer ici.
Il est arrivé en politique dans les années 1990. Depuis il gravit des échelons sans livrer le moindre combat, sans porter la moindre conviction, sans défendre le plus simple des principes qui fondent une société et, encore moins, porter un quelconque projet de société. Son ascension il l’a doit à son excellence dans les coûts tordus et sa sujétion et son asservissement devant ses maîtres. Ces derniers semblent le lâcher.
En effet l’unique carte qu’il a et vient de perdre est celle que certains lui prêtent, à savoir le soutien du DRS dont il aurait bénéficié sous le règne Toufik MEDIENE. Or ce dernier vient d’être rejeté par les tenants du système comme le fait l’océan de ses victimes noyées qui finissent par trainer aux abords des plages toutes dévêtues et mises à nu, quand elles ne sont pas déchiquetées par les requins et les multiples prédateurs.
Que lui reste-t-il d’autres ? Rien !
Même le statut d’éradicateur du terrorisme islamiste dont il se faisait valoir des années, il vient de le compromettre et le perdre, en même temps. Au service de son maitre BOUTEFLIKA, il n’hésite pas à recevoir le sanguinaire et terroriste, Madani MAZREG à la présidence de la république en lui octroyant, ainsi, le statut de personnalité nationale pendant qu’il menace la classe politique légale et la société civile.
Malin, malin et demi. C’est Bouteflika himself qui lui a ordonné de recevoir Madani MEZRAG, histoire de le noyer et de le discréditer aux yeux de ses soutiens militaires. Ainsi il se fait retirer la dernière carte (l’éradication du terrorisme résiduel comme il aimait à le dire) par laquelle il croit se faire valoir auprès de la société civile démocratique.
Dépourvu de toutes prérogatives régaliennes il s’emploie à trouver des arguments à monnayer pour se maintenir à flot.
Sans trop tarder, et avec peu d’imagination, il trouve les dernières cartes à abattre : les kabyles et à leur tête Ferhat MEHENNI qui hantent son sommeil.
Ignore-t-il pour ne pas le comprendre, sitôt, que sa seule raison d’être là où il est (mais pas pour longtemps) est celle de livrer les siens (les kabyles) et de les brandir comme étant une menace pour leur Algérie. Connaissant l’allergie qu’une partie des algériens éprouvent à l’égard des juifs et de l’Etat d’Israël, il ne manque pas d’instrumentaliser cette haine à l’égard des juifs pour mieux fustiger et diaboliser le président du GPK, en s’appuyant sur la notion des moudjahidines qui fait les choux gras des barons d’Alger chaque fois qu’ils sont acculés.
Ainsi, il ne se gêne pas d’accuser Ferhat MEHENNI de vouloir vendre l’Algérie aux juifs et Israël, tous deux ennemis de l’Algérie !
Dans sa réponse à cet apparatchik d’autres temps, Ferhat MEHENNI lui a apporté les réponses nécessaires et pertinentes à ces propos racistes et ses accusations malhonnêtes et indignes.
Ferhat MEHENNI porte et défend une cause des plus nobles, celle de doter le peuple kabyle d’un pays et d’une patrie à l’instar de tous les autres peuples. Ferhat MEHENNI ne s’est pas réveiller un beau matin et a découvert que le peuple berbère, d’abord, et Kabyle ensuite pour s’apercevoir de cette réalité tangible. Il s’agit de la somme d’un combat et souffrance que ce pouvoir que soutient et défend cet « illustre » Ouyahia. Pour rappel le président du GPK a été des années durant le chantre d’une Algérie authentiqué fière de ses origines Amazigh. Son parcours est là pour témoigner de toutes les luttes qu’il a porté sans répit et sans jamais courber l’échine devant l’injustice qu’il n’a eu de cesse de subir. Harcèlements, arrestations, prisons et, en dernier, assassinats sont le lot que le pouvoir assassin d’Alger lui a toujours réservé. En vain ! Cet homme irréductible n’a jamais plié et poursuit dignement son combat.
M OUYAHIA, qu’a-t-il fait de si utile pour son peuple à mettre en avant, si ce n’est son parcours de supplétif au service de ceux qui ont opprimé le peuple Algérien, qui ont pillé les richesses de l’Algérie et - aujourd’hui pour rester au pouvoir - l’offre au moins disant et non pas au plus offrant comme c’est de tradition.
Toute honte bue, il accuse Ferhat MEHENNI de vendre l’Algérie aux juifs et à Israël. Formé à l’école du panarabisme et du baathisme, incapable de regarder les choses en face, son seul exutoire, comme ses semblables, est la haine de l’étranger, en particulier les juifs. Ainsi pour diaboliser un adversaire, le disqualifier et de le jeter en pâture aux charognards de tout bord, il suffit d’agiter le chiffon rouge de la division du pays, de collision avec la main de l’étranger, de collaboration avec les juifs et le sionisme et d’atteinte à la mémoire de martyres de novembre et la liste est longue encore. En somme tous les méfaits que ce système a occasionnés pour l’Algérie et son peuple, la clique d’OUYAHIA s’en lave les mains et cherche des boucs émissaires. Quand à ces vrais ennemis de l’Algérie ils poursuivent leur forfaiture en violation de tous les principes dont ils se proclament les dépositaires. En vrai, ils sont les vrais fossoyeurs de l’Algérie.
Pour conclure, il convient de rappeler à M OUYAHIA qui entretient, sciemment, l’amalgame entre être juif et l’Etat d’Israël, que ces juifs ont été les porteurs de valises d’hier et au péril de leurs vies pour soutenir la guerre de libération et d’indépendance de l’Algérie à la faveur desquelles ce dernier et sa clique se trouvent là où ils sont aujourd’hui .
A l’inverse de ces juifs nobles, le supplétif OUYAHIA et ses soutiens assurent l’acheminement de valises pleines de devises et d’or de l’Algérie vers les banques situées dans les paradis fiscaux en pillant les richesses de ce pays et de son peuple. Qu’il sache bien que les professionnels du mercenariat politique finissent, toujours, dan les poubelles de l’histoire des peuples et nations.
Ahcene Belkacemi