A La Place de la mairie de Tizi-Ouzou le 20/04/2010 (PH/A.Doudi)
« Le MAK va marcher le 1er novembre à Vgayet (Bejaia Ndlr), dans la capitale des Hammadides, pour la réappropriation de [notre] histoire confisquée par l’Algérie raciste, héritière de l’Algérie française », a affirmé le président du conseil régional du MAK de Bejaia Farid Djenadi.
Contacté sur le sujet, Bouaziz ait Chebib, secrétaire national à l'organique a déclaré que « Boutefika et ses parrains militaires dépensent des sommes colossales pour réhabiliter un homme, Messali Hadj, puisque c'est de lui qu'il s'agit, qui a pris les armes contre les hommes du 1er novembre 1954 ».
Il a ajouté que l'objectif du pouvoir est de « dékabyliser la paternité du Mouvement National ».
« L'histoire atteste que Messali Hadj n'a jamais participé à la création de l'ENA, et que le premier président de cette organisation indépendantiste n'était autre que Mohand Djeffal, un Kabyle originaire d'Irdjen. Décidément, les tenants du pouvoir ne glorifient que leurs semblables, à savoir les traitres et les criminels. » a-t-il dit.
Cette marche du MAK se veut aussi une action de protestation contre « l'insécurité et la violence entretenues par le régime d’Alger en Kabylie », a poursuivi le même responsable. On apprend qu'un affichage aura lieu d'ici là.
Avec l'appel du 1er novembre, le MAK est sa quatrième manifestation publique depuis la rentrée sociale après celles organisées successivement à Ain El Hammam, Tizi-Ouzou et Akbou.
uz
SIWEL 300051 SEPT 11
Contacté sur le sujet, Bouaziz ait Chebib, secrétaire national à l'organique a déclaré que « Boutefika et ses parrains militaires dépensent des sommes colossales pour réhabiliter un homme, Messali Hadj, puisque c'est de lui qu'il s'agit, qui a pris les armes contre les hommes du 1er novembre 1954 ».
Il a ajouté que l'objectif du pouvoir est de « dékabyliser la paternité du Mouvement National ».
« L'histoire atteste que Messali Hadj n'a jamais participé à la création de l'ENA, et que le premier président de cette organisation indépendantiste n'était autre que Mohand Djeffal, un Kabyle originaire d'Irdjen. Décidément, les tenants du pouvoir ne glorifient que leurs semblables, à savoir les traitres et les criminels. » a-t-il dit.
Cette marche du MAK se veut aussi une action de protestation contre « l'insécurité et la violence entretenues par le régime d’Alger en Kabylie », a poursuivi le même responsable. On apprend qu'un affichage aura lieu d'ici là.
Avec l'appel du 1er novembre, le MAK est sa quatrième manifestation publique depuis la rentrée sociale après celles organisées successivement à Ain El Hammam, Tizi-Ouzou et Akbou.
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La ligue algérienne de défense des droits de l’homme organise une conférence contre l'athéisme