Tout en dénonçant la poursuite par le gouvernement actuel de la politique de discrimination contre l’amazighité, politique qui est aux antipodes des dernières recommandations du Comité des droits économiques, sociaux et culturels auprès des Nations unies ainsi que des orientations royales insistant sur l’urgence d’accélérer la mise en œuvre du caractère officiel de l’amazighe, nous faisons endosser la responsabilité totale au gouvernement Benkirane quant aux conséquences de ses politiques.
D’un autre côté, nous dénonçons la poursuite du gouvernement Benkirane quant à son refus d’ériger le nouvel an amazighe en fête nationale fériée. Et nous sommes à quelques jours du nouvel an amazighe. Nous nous élevons aussi contre les déclarations du porte parole officiel du gouvernement fin décembre de l’année écoulée ; déclarations qui valorisent une langue officielle au détriment d’une autre, en contradiction avec la méthodologie constitutionnelle, et nous déclarons à l’opinion publique ce qui suit :
· Nous dénonçons vivement l’ignorance relative à la reconnaissance du nouvel an amazighe comme fête nationale officielle pour la quatrième fois par le gouvernement marocain actuel. En dépit de la constitution marocaine qui reconnaît l’identité amazighe et l’officialisation de la langue amazighe. Bien que l’année grégorienne soit reconnue. Nous dénonçons également le silence des différents partis politiques marocains représentés au sein du parlement sur cette question.
· Nous appelons tous les partis, associations, organisations et tribus marocaines ainsi que les citoyennes et les citoyens à boycotter le travail et l’école, le mercredi 13 janvier 2016, s’appuyant sur le principe de l’officialisation populaire pour arracher l’officialisation du nouvel an amazighe comme jour férié.
· Nous demandons à tous les cadres, activistes et citoyens à prendre l’initiative d’écrire au Chef du gouvernement, des lettres, des télégrammes ou des cartes postales, dont le contenu porte sur la nécessité de décréter le nouvel an amazighe comme fête officielle et nationale fériée.
Pour Assemblée Mondiale Amazighe
Le Président
Rachid Raha
SIWEL 032103 JAN 15
D’un autre côté, nous dénonçons la poursuite du gouvernement Benkirane quant à son refus d’ériger le nouvel an amazighe en fête nationale fériée. Et nous sommes à quelques jours du nouvel an amazighe. Nous nous élevons aussi contre les déclarations du porte parole officiel du gouvernement fin décembre de l’année écoulée ; déclarations qui valorisent une langue officielle au détriment d’une autre, en contradiction avec la méthodologie constitutionnelle, et nous déclarons à l’opinion publique ce qui suit :
· Nous dénonçons vivement l’ignorance relative à la reconnaissance du nouvel an amazighe comme fête nationale officielle pour la quatrième fois par le gouvernement marocain actuel. En dépit de la constitution marocaine qui reconnaît l’identité amazighe et l’officialisation de la langue amazighe. Bien que l’année grégorienne soit reconnue. Nous dénonçons également le silence des différents partis politiques marocains représentés au sein du parlement sur cette question.
· Nous appelons tous les partis, associations, organisations et tribus marocaines ainsi que les citoyennes et les citoyens à boycotter le travail et l’école, le mercredi 13 janvier 2016, s’appuyant sur le principe de l’officialisation populaire pour arracher l’officialisation du nouvel an amazighe comme jour férié.
· Nous demandons à tous les cadres, activistes et citoyens à prendre l’initiative d’écrire au Chef du gouvernement, des lettres, des télégrammes ou des cartes postales, dont le contenu porte sur la nécessité de décréter le nouvel an amazighe comme fête officielle et nationale fériée.
Pour Assemblée Mondiale Amazighe
Le Président
Rachid Raha
SIWEL 032103 JAN 15