Les policiers manifestants devant le siège de la présidence algérienne( Photo/TSA)
Dans une action aussi inédite que spectaculaire, les policiers algériens ont marché depuis la ville d'El Hamiz, à plus d'une dizaine de kilomètres d'Alger, vers le Palais du gouvernement pour exiger une rencontre avec le Premier ministre et aussi, et surtout,le départ d'El Hamel, DGSN.
Ils étaient plusieurs centaines à dire, " y'en a marre" d'être uniquement l’instrument répressif d'un régime aux abois. Devant le portail de l'édifice fermé, ils ont tenu un sit-in où tous les responsable de l'Etat ont été hués. Ils ont levé le camp à une heure tardive de la journée, pour se diriger ver le siège de la Présidence algérienne.
Cette manifestation de policier est une première en Algérie. Elle témoigne de l'imagination fertile des décideurs algériens. A coup sure, il se prépare quelque chose dans les coulisses de l'Etat. Les policiers-manifestants scandaient des slogans où ils demandaient que l'actuel directeur de la Sûreté de la wilaya d’Alger remplace Hamel.
Selon le journal algérien, TSA, après Ghardaia et Alger, les policiers algériens seraient aussi en train d'organiser une manifestation à Oran où "100 à 300 agents de l’ordre public ont entamé une marche du Front de mer en direction du siège de la wilaya"... Les policiers ont présenté un document au Premier ministre algérien dans lequel figurent 19 revendications parmi lesquelles "le départ de Hamel", la création d’un "syndicat autonome" , "une hausse de 100% du salaire de base pour le porter à 70 000 dinars", le droit au logement", "la réintégration de 6 000 policiers licenciés", "la réduction de la durée de service de 32 ans à 20 ans" et... "l’instauration d’une prime mensuelle à la femme au foyer de policier d’un montant de 10 000 dinars"
Le journal TSA affirme également que les policiers étaient agressifs avec les journalistes
avec TSA,
aai/zp
SIWEL 151555 OCT 14
Ils étaient plusieurs centaines à dire, " y'en a marre" d'être uniquement l’instrument répressif d'un régime aux abois. Devant le portail de l'édifice fermé, ils ont tenu un sit-in où tous les responsable de l'Etat ont été hués. Ils ont levé le camp à une heure tardive de la journée, pour se diriger ver le siège de la Présidence algérienne.
Cette manifestation de policier est une première en Algérie. Elle témoigne de l'imagination fertile des décideurs algériens. A coup sure, il se prépare quelque chose dans les coulisses de l'Etat. Les policiers-manifestants scandaient des slogans où ils demandaient que l'actuel directeur de la Sûreté de la wilaya d’Alger remplace Hamel.
Selon le journal algérien, TSA, après Ghardaia et Alger, les policiers algériens seraient aussi en train d'organiser une manifestation à Oran où "100 à 300 agents de l’ordre public ont entamé une marche du Front de mer en direction du siège de la wilaya"... Les policiers ont présenté un document au Premier ministre algérien dans lequel figurent 19 revendications parmi lesquelles "le départ de Hamel", la création d’un "syndicat autonome" , "une hausse de 100% du salaire de base pour le porter à 70 000 dinars", le droit au logement", "la réintégration de 6 000 policiers licenciés", "la réduction de la durée de service de 32 ans à 20 ans" et... "l’instauration d’une prime mensuelle à la femme au foyer de policier d’un montant de 10 000 dinars"
Le journal TSA affirme également que les policiers étaient agressifs avec les journalistes
avec TSA,
aai/zp
SIWEL 151555 OCT 14