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32 jeunes kabyles de Tuvirett (Bouira) ont reçu des convocations du tribunal afin de comparaître devant le procureur de la République algérienne "démocratique et populaire", ce 23 octobre. Les motifs de la convocation sont : Attroupement illégal, outrage et violence contre les agents de l’ordre public, dégradation de biens publics et obstruction de la route.
Arrêtés le jour même par les forces de répression, ce groupe de jeunes kabyles avait été relâché le jour-même suite aux pressions populaires
Pour rappel, en Kabylie, la dernière élection présidentielle d’avril dernier, avait provoqué des affrontements dans plusieurs localités kabyles, notamment à Chorfa, Raffour, Saharidj, Haizer, Mizrana, Tichy, Guendouze, Sidi Aich où plusieurs bureaux de vote avaient été investis par de nombreux manifestants, détruisant les urnes pour empêcher les nombreux corps constitués stationnés en Kabylie de voter à la place de la population locale.
L'Etat algérien laisse passer l'orage avant de revenir à la charge, une fois que ces incidents ont été oubliés par la population de Kabylie mais le régime mafieux de Bouteflika, lui n'oublie pas !
cdb,
SIWEL 081537 OCT 14
32 jeunes kabyles de Tuvirett (Bouira) ont reçu des convocations du tribunal afin de comparaître devant le procureur de la République algérienne "démocratique et populaire", ce 23 octobre. Les motifs de la convocation sont : Attroupement illégal, outrage et violence contre les agents de l’ordre public, dégradation de biens publics et obstruction de la route.
Arrêtés le jour même par les forces de répression, ce groupe de jeunes kabyles avait été relâché le jour-même suite aux pressions populaires
Pour rappel, en Kabylie, la dernière élection présidentielle d’avril dernier, avait provoqué des affrontements dans plusieurs localités kabyles, notamment à Chorfa, Raffour, Saharidj, Haizer, Mizrana, Tichy, Guendouze, Sidi Aich où plusieurs bureaux de vote avaient été investis par de nombreux manifestants, détruisant les urnes pour empêcher les nombreux corps constitués stationnés en Kabylie de voter à la place de la population locale.
L'Etat algérien laisse passer l'orage avant de revenir à la charge, une fois que ces incidents ont été oubliés par la population de Kabylie mais le régime mafieux de Bouteflika, lui n'oublie pas !
cdb,
SIWEL 081537 OCT 14