La question du Sahara doit être résolue par un "dialogue politique et un compromis constructif" (Djibouti)
New York (Nations-Unies), 16/10/2018 (MAP) – La république de Djibouti a affirmé, mardi devant la 4è Commission de l'Assemblée générale de l’ONU, que la question du Sahara doit être résolue par le biais d'un "dialogue politique et un compromis constructif", conformément aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité".
"Ma délégation voudrait rendre hommage aux efforts déployés par le Secrétaire général des Nations-Unies pour instituer un dialogue franc et constructif entre les parties sur la question du Sahara, avec la facilitation de son Envoyé personnel, M. Horst Kohler, afin de parvenir à une solution politique mutuellement acceptable et négociée à ce différend régional, telle que recommandée par les résolutions pertinentes du Conseil de Sécurité, depuis 2007 et réitérées en 2018 avec la résolution 2414", a déclaré la représentante de Djibouti à la réunion de la Commission.
A cet effet, a poursuivi la diplomate, Djibouti se félicite de la récente visite de M. Kohler au Sahara, et espère que la Table-ronde prévue à Genève début décembre pourra contribuer aux efforts visant à aboutir à une solution à ce différend régional. "Une telle issue est à même de renforcer la stabilité et la sécurité de la région du Maghreb et au-delà", a-t-elle conclu.
"Ma délégation voudrait rendre hommage aux efforts déployés par le Secrétaire général des Nations-Unies pour instituer un dialogue franc et constructif entre les parties sur la question du Sahara, avec la facilitation de son Envoyé personnel, M. Horst Kohler, afin de parvenir à une solution politique mutuellement acceptable et négociée à ce différend régional, telle que recommandée par les résolutions pertinentes du Conseil de Sécurité, depuis 2007 et réitérées en 2018 avec la résolution 2414", a déclaré la représentante de Djibouti à la réunion de la Commission.
A cet effet, a poursuivi la diplomate, Djibouti se félicite de la récente visite de M. Kohler au Sahara, et espère que la Table-ronde prévue à Genève début décembre pourra contribuer aux efforts visant à aboutir à une solution à ce différend régional. "Une telle issue est à même de renforcer la stabilité et la sécurité de la région du Maghreb et au-delà", a-t-elle conclu.