Revue des éditos quotidiens
Rabat - La Journée internationale des femmes, célébrée chaque année le 8 mars, est le principal sujet traité par les éditorialistes des quotidiens de ce vendredi.
Aujourd'hui Le Maroc indique que la société marocaine a toujours réservé une place importante à la femme, qui, de son côté, a toujours joué « un rôle déterminant » dans le progrès enregistré par le pays, relève l’éditorialiste.
Le pays a su également bien renvoyer l’ascenseur à ses femmes à travers l’adoption d’une batterie de mesures et de lois pour garantir les droits de la gent féminine, constate-t-il, appelant le parlement à jouer un rôle de premier choix en ouvrant le débat sur un certain nombre de questions liées directement ou indirectement aux femmes.
Le Maroc a réalisé des avancées notoires en termes de droits et de libertés relatifs au statut de la femme, mais le chemin est encore long pour parvenir à combler tous les vœux escomptés, car les poches de résistance continuent à entraver l’émancipation entière de la femme, écrit Al Bayane, notant que le combat n’est pas encore achevé.
L’Economiste relève que l’État, malgré toutes ses actions, ne protège pas suffisamment ses composantes les plus défavorisées, se demandant comment on peut survivre lorsqu’on est qualifié mais sans emploi ni revenu.
L’éditorialiste met en exergue, en revanche, « des femmes vecteurs de développement » qui, par leur engagement dans l'entrepreneuriat social, ont changé « la vie de centaines d’autres personnes qui ont retrouvé leur dignité grâce à un travail décent ».
Désormais actives, ces personnes sont intégrées dans les rouages du système, et paient des impôts censés leur garantir un meilleur cadre de vie, constate-t-il.
Aujourd'hui Le Maroc indique que la société marocaine a toujours réservé une place importante à la femme, qui, de son côté, a toujours joué « un rôle déterminant » dans le progrès enregistré par le pays, relève l’éditorialiste.
Le pays a su également bien renvoyer l’ascenseur à ses femmes à travers l’adoption d’une batterie de mesures et de lois pour garantir les droits de la gent féminine, constate-t-il, appelant le parlement à jouer un rôle de premier choix en ouvrant le débat sur un certain nombre de questions liées directement ou indirectement aux femmes.
Le Maroc a réalisé des avancées notoires en termes de droits et de libertés relatifs au statut de la femme, mais le chemin est encore long pour parvenir à combler tous les vœux escomptés, car les poches de résistance continuent à entraver l’émancipation entière de la femme, écrit Al Bayane, notant que le combat n’est pas encore achevé.
L’Economiste relève que l’État, malgré toutes ses actions, ne protège pas suffisamment ses composantes les plus défavorisées, se demandant comment on peut survivre lorsqu’on est qualifié mais sans emploi ni revenu.
L’éditorialiste met en exergue, en revanche, « des femmes vecteurs de développement » qui, par leur engagement dans l'entrepreneuriat social, ont changé « la vie de centaines d’autres personnes qui ont retrouvé leur dignité grâce à un travail décent ».
Désormais actives, ces personnes sont intégrées dans les rouages du système, et paient des impôts censés leur garantir un meilleur cadre de vie, constate-t-il.