Revue de presse hebdomadaire
Rabat - Voici les principaux titres développés par la presse hebdomadaire :
*La Vie éco. :
- Les grands opérateurs du transport urbain par autobus opérant dans les grandes villes du royaume sont sur le qui-vive. En 2019, les contrats les liant aux autorités arrivent à échéance, comme à Rabat, à Casablanca et à Marrakech, ou doivent être révisés, à l'instar de Fès et de Tanger. Dans un secteur dont l’image est généralement peu reluisante, cette échéance sera décisive. City Bus (Fès, Oujda, Meknès…), Alsa (Marrakech et Tanger) et Mdina Bus (Casablanca) sont directement concernées. Et leur tâche n’est pas du tout repos parce que l’attente des populations pour des services de qualité est immense.
- Les représentants de la PME continuent de plaider en faveur des petites entreprises. La Confédération marocaine de TPE-PME s’est réunie avec le directeur général de la Direction générale des impôts. Objectif : établir un partenariat entre les deux institutions particulièrement au niveau des régions. Par cette entrevue, la confédération souhaite avoir un rôle consultatif plus important au sujet des points qui concernent directement les TPE-PME.
*La Nouvelle Tribune. :
- Les exportations marocaines vers l’Espagne ont augmenté de 6,2% pendant les neufs premiers mois de l’année 2018 par rapport à la même période de l’année dernière pour atteindre les 4.985 millions d’euros, et ont connu une croissance de 6,1% vers l’Union européenne (UE) pendant la même période, pour un montant de 11.896 millions d’euros, selon les dernières données d’Eurostat. Les importations marocaines des biens d’origine espagnole ont, quant à elles, augmenté de 2,8% pour atteindre 6.142 millions d’euros, alors que les importations marocaines sur l’ensemble de l’UE ont enregistré une croissance de 4,9% durant la période de Janvier-Septembre 2018, soit 17.119 millions d’euros.
- Les sociétés financières et non financières ont créé 43,4% de la richesse nationale et ont disposé de 14,5% du revenu national brut disponible. Elles ont contribué pour 52% à l’épargne nationale et pour 56% à l’investissement, selon le HCP. Les ménages et les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) ont produit 29,7% de la richesse nationale et ont disposé de 62,5% du revenu national brut disponible. Ils ont participé à la création de 29,3% de l’épargne nationale et de 25,6% de l’investissement.
*Le Temps. :
- Santé. Les chiffres pour 2018 ne sont consolidés qu’en 2019, mais pour l’année dernière, ils sont formels : la population des salariés et des titulaires de pensions des secteurs public et privé couverte par l’AMO a atteint 9 millions de bénéficiaires en 2017, en évolution de 4,9% par rapport à 2016. Selon l’Autorité des assurances et de la prévoyance sociale, l’AMO-CNSS couvre 66,3% de l’effectif des bénéficiaires des deux régimes et 67,8% de celui des cotisants, qui a enregistré une augmentation de 6,5% pour atteindre 3,8 millions de personnes.
- Le Maroc et la Corée du sud sont sur un nouvel élan de coopération. Une volonté traduite dans les actes par les représentantes des deux pays, la secrétaire d’Etat aux affaires étrangères et à la coopération internationale Mounia Boucetta et la présidente de l’Agence sud-coréenne de la coopération internationale (KOICA) Mi-Kyung Lee. Les deux parties ont examiné les moyens de renforcer les liens de coopération et de collaboration dans divers domaines d’intérêt commun. La responsable coréenne a réitéré son intérêt pour le renforcement de la coopération dans le domaine des énergies renouvelables et pour le développement des partenariats public-privé.
*Le Reporter.:
- La campagne agricole 2017-2018 a enregistré des résultats exceptionnels qui dépassent largement les objectifs, avec une production céréalière record de 103 millions de quintaux, soit la troisième meilleure performance depuis le lancement du Plan Maroc en 2008. Au-delà de cette production céréalière, qui a progressé de 7% par rapport à la campagne 2016-2017, tous les indicateurs sont au vert pour l'agriculture marocaine, au terme de cette campagne sous l'effet d'une pluviométrie abondante et régulière et des conditions climatiques clémentes, favorables à la croissance des cultures.
- A fin septembre 2018, les produits de la pêche côtière et artisanale, commercialisés en première vente, se sont chiffrés à 884.019 tonnes, en diminution de 5% par rapport à la même période un an auparavant, selon l'Office national des pêches. La valeur marchande de ces produits, débarqués au titre des neuf premiers mois de 2018, s'est élevée à plus de 5,8 milliards de DH, en augmentation de 11% comparativement à la même période en 2017. Avec des prises atteignant plus d'un million de tonnes, le secteur représente entre 2 et 3% du PIB et génère près de 700.000 emplois directs et indirects.
*Challenge.:
- La maturité du système d'information de la Direction générale des impôts ainsi que le niveau d'informations et de recoupement dont elle dispose a permis de constater que la contribution de certains contribuables en matière d'IR ne reflétait pas la réalité de l'activité exercée, a indiqué le directeur de la direction général des Impôts, Omar Faraj dans un entretien, précisant que la DGI a privilégié l'approche à l'amiable et l'encouragement à la conformité. Évoquant la digitalisation en matière de gestion de l'assiette et du recouvrement, il a fait savoir que la direction a reçu à fin novembre 3.485.660 télé-déclarations et 90,65% des paiements ont été effectués par voie dématérialisée.
- Le drame d'Imlil n'a pas d'impact négatif sur le tourisme à Marrakech, a indiqué dans un entretien, le directeur du Conseil régional du Tourisme (CRT) de Marrakech, Hamid Bentahar, précisant qu'il n'y a pas eu d'annulation de réservation ni de vols même du côté des marchés scandinaves. Bentahar a souligné qu'actuellement, la majorité des établissements hôteliers affiche pour les fêtes de fin d'année un taux d'occupation record par rapport à l'année dernière. Le CRT va bientôt mettre en place de nouvelles solutions et idées pour développer ce tourisme de montagne qui a du potentiel, a-t-il dit.
*Maroc Hebdo.:
- L'Association marocaine des exportateurs a lancé la nouvelle version de la plateforme e-export Morocco. Le dispositif a été repensé comme une « market place » qui garantira une mise en relation entre les différents acteurs tout en mettant en avant l’offre exportable nationale. Les visiteurs de cette nouvelle version de cette plateforme interactive pourront effectuer des recherches multicritères par secteur, produit, région, ville ou raison sociale.
- Le rythme des réformes en 2018 reste en deçà des objectifs assignés aux politiques publiques. Ces politiques doivent cibler les ménages et les territoires. La dynamique de développement doit désormais conduire à réduire les inégalités sociales et territoriales. Dans cette perspective, la grande réforme de l'Etat doit être accélérée. Elle est représentée par la régionalisation avancée, par la prise en compte des spécificités et des atouts des territoires. Autre axe de réforme est celui de la relance de la machine économique. Promouvoir l'investissement et appuyer le secteur productif. Ainsi la Charte de la déconcentration, la nouvelle Charte de l'investissement, la réforme des CRI et l'adoption de textes juridiques visant l'amélioration du climat des affaires sont autant de réformes attendues. Une réflexion nationale féconde, stimulante et innovante est à mener afin de peser et formater les politiques publiques à long terme.
*La Vie éco. :
- Les grands opérateurs du transport urbain par autobus opérant dans les grandes villes du royaume sont sur le qui-vive. En 2019, les contrats les liant aux autorités arrivent à échéance, comme à Rabat, à Casablanca et à Marrakech, ou doivent être révisés, à l'instar de Fès et de Tanger. Dans un secteur dont l’image est généralement peu reluisante, cette échéance sera décisive. City Bus (Fès, Oujda, Meknès…), Alsa (Marrakech et Tanger) et Mdina Bus (Casablanca) sont directement concernées. Et leur tâche n’est pas du tout repos parce que l’attente des populations pour des services de qualité est immense.
- Les représentants de la PME continuent de plaider en faveur des petites entreprises. La Confédération marocaine de TPE-PME s’est réunie avec le directeur général de la Direction générale des impôts. Objectif : établir un partenariat entre les deux institutions particulièrement au niveau des régions. Par cette entrevue, la confédération souhaite avoir un rôle consultatif plus important au sujet des points qui concernent directement les TPE-PME.
*La Nouvelle Tribune. :
- Les exportations marocaines vers l’Espagne ont augmenté de 6,2% pendant les neufs premiers mois de l’année 2018 par rapport à la même période de l’année dernière pour atteindre les 4.985 millions d’euros, et ont connu une croissance de 6,1% vers l’Union européenne (UE) pendant la même période, pour un montant de 11.896 millions d’euros, selon les dernières données d’Eurostat. Les importations marocaines des biens d’origine espagnole ont, quant à elles, augmenté de 2,8% pour atteindre 6.142 millions d’euros, alors que les importations marocaines sur l’ensemble de l’UE ont enregistré une croissance de 4,9% durant la période de Janvier-Septembre 2018, soit 17.119 millions d’euros.
- Les sociétés financières et non financières ont créé 43,4% de la richesse nationale et ont disposé de 14,5% du revenu national brut disponible. Elles ont contribué pour 52% à l’épargne nationale et pour 56% à l’investissement, selon le HCP. Les ménages et les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) ont produit 29,7% de la richesse nationale et ont disposé de 62,5% du revenu national brut disponible. Ils ont participé à la création de 29,3% de l’épargne nationale et de 25,6% de l’investissement.
*Le Temps. :
- Santé. Les chiffres pour 2018 ne sont consolidés qu’en 2019, mais pour l’année dernière, ils sont formels : la population des salariés et des titulaires de pensions des secteurs public et privé couverte par l’AMO a atteint 9 millions de bénéficiaires en 2017, en évolution de 4,9% par rapport à 2016. Selon l’Autorité des assurances et de la prévoyance sociale, l’AMO-CNSS couvre 66,3% de l’effectif des bénéficiaires des deux régimes et 67,8% de celui des cotisants, qui a enregistré une augmentation de 6,5% pour atteindre 3,8 millions de personnes.
- Le Maroc et la Corée du sud sont sur un nouvel élan de coopération. Une volonté traduite dans les actes par les représentantes des deux pays, la secrétaire d’Etat aux affaires étrangères et à la coopération internationale Mounia Boucetta et la présidente de l’Agence sud-coréenne de la coopération internationale (KOICA) Mi-Kyung Lee. Les deux parties ont examiné les moyens de renforcer les liens de coopération et de collaboration dans divers domaines d’intérêt commun. La responsable coréenne a réitéré son intérêt pour le renforcement de la coopération dans le domaine des énergies renouvelables et pour le développement des partenariats public-privé.
*Le Reporter.:
- La campagne agricole 2017-2018 a enregistré des résultats exceptionnels qui dépassent largement les objectifs, avec une production céréalière record de 103 millions de quintaux, soit la troisième meilleure performance depuis le lancement du Plan Maroc en 2008. Au-delà de cette production céréalière, qui a progressé de 7% par rapport à la campagne 2016-2017, tous les indicateurs sont au vert pour l'agriculture marocaine, au terme de cette campagne sous l'effet d'une pluviométrie abondante et régulière et des conditions climatiques clémentes, favorables à la croissance des cultures.
- A fin septembre 2018, les produits de la pêche côtière et artisanale, commercialisés en première vente, se sont chiffrés à 884.019 tonnes, en diminution de 5% par rapport à la même période un an auparavant, selon l'Office national des pêches. La valeur marchande de ces produits, débarqués au titre des neuf premiers mois de 2018, s'est élevée à plus de 5,8 milliards de DH, en augmentation de 11% comparativement à la même période en 2017. Avec des prises atteignant plus d'un million de tonnes, le secteur représente entre 2 et 3% du PIB et génère près de 700.000 emplois directs et indirects.
*Challenge.:
- La maturité du système d'information de la Direction générale des impôts ainsi que le niveau d'informations et de recoupement dont elle dispose a permis de constater que la contribution de certains contribuables en matière d'IR ne reflétait pas la réalité de l'activité exercée, a indiqué le directeur de la direction général des Impôts, Omar Faraj dans un entretien, précisant que la DGI a privilégié l'approche à l'amiable et l'encouragement à la conformité. Évoquant la digitalisation en matière de gestion de l'assiette et du recouvrement, il a fait savoir que la direction a reçu à fin novembre 3.485.660 télé-déclarations et 90,65% des paiements ont été effectués par voie dématérialisée.
- Le drame d'Imlil n'a pas d'impact négatif sur le tourisme à Marrakech, a indiqué dans un entretien, le directeur du Conseil régional du Tourisme (CRT) de Marrakech, Hamid Bentahar, précisant qu'il n'y a pas eu d'annulation de réservation ni de vols même du côté des marchés scandinaves. Bentahar a souligné qu'actuellement, la majorité des établissements hôteliers affiche pour les fêtes de fin d'année un taux d'occupation record par rapport à l'année dernière. Le CRT va bientôt mettre en place de nouvelles solutions et idées pour développer ce tourisme de montagne qui a du potentiel, a-t-il dit.
*Maroc Hebdo.:
- L'Association marocaine des exportateurs a lancé la nouvelle version de la plateforme e-export Morocco. Le dispositif a été repensé comme une « market place » qui garantira une mise en relation entre les différents acteurs tout en mettant en avant l’offre exportable nationale. Les visiteurs de cette nouvelle version de cette plateforme interactive pourront effectuer des recherches multicritères par secteur, produit, région, ville ou raison sociale.
- Le rythme des réformes en 2018 reste en deçà des objectifs assignés aux politiques publiques. Ces politiques doivent cibler les ménages et les territoires. La dynamique de développement doit désormais conduire à réduire les inégalités sociales et territoriales. Dans cette perspective, la grande réforme de l'Etat doit être accélérée. Elle est représentée par la régionalisation avancée, par la prise en compte des spécificités et des atouts des territoires. Autre axe de réforme est celui de la relance de la machine économique. Promouvoir l'investissement et appuyer le secteur productif. Ainsi la Charte de la déconcentration, la nouvelle Charte de l'investissement, la réforme des CRI et l'adoption de textes juridiques visant l'amélioration du climat des affaires sont autant de réformes attendues. Une réflexion nationale féconde, stimulante et innovante est à mener afin de peser et formater les politiques publiques à long terme.