Revue de presse hebdomadaire
Rabat - Voici les principaux titres développés par la presse hebdomadaire .:
*La Vie éco. :
- Le gouvernement ambitionne d'accélérer le rythme des créations d’emplois en mettant au point un programme fondé davantage sur l’action volontaire que sur les retombées de la croissance économique. Le groupe de travail chargé de cette thématique prévoit un potentiel de 1,2 million d’emplois nets d’ici 2021, soit près de 270.000 postes par an en moyenne. Au cours des dix dernières années, c’est une moyenne de 73.000 emplois qui ont été créés chaque année, et seulement 43.000 par an cours des cinq dernières années.
*La Nouvelle Tribune. :
- Le nombre des jugements exécutés par les différents tribunaux de première instance ont atteint 235.182 affaires en 2017, soit une hausse de plus de 106% par rapport à l’année précédente, selon le ministre de la Justice Mohamed Aujjar. Le nombre de jugements exécutés par les juridictions administratives a connu une hausse de 111,04%, pour un montant de plus de 3,7 MMDH. Pour les tribunaux de commerce, ce taux avoisine les 105,18%. *Finances news hebdo. : - Un peu plus de trois mois après l’entrée en vigueur de la flexibilité du régime de changes, le niveau des réserves internationales nettes suit une tendance baissière. Najib Akesbi, économiste et professeur à l’Institut agronomique et vétérinaire de Rabat, a affirmé que cette réforme « est une erreur fondamentale, car le pays à travers la banque centrale n’a pas les moyens de défendre le cours de la monnaie et la bande de fluctuation fixée à plus au moins de 2,5% », précisant que la Banque centrale « défendra le cours fixé dans la limite de ses responsabilités en devises jusqu’à ce qu’elle ne soit plus en mesure de le faire. Arrivera alors la dépréciation de la monnaie ».
*Le Temps. :
- Une meilleure gouvernance budgétaire locale est en cours de mise en place. Le ministère de l’Intérieur planche en effet sur un dispositif de gestion intégrée des finances des collectivités territoriales. Ce projet porte sur une solution innovante de pilotage couvrant la gestion fiscale, budgétaire et financière. Il répond entre autres au besoin des collectivités territoriales d’assurer un meilleur suivi et un contrôle accru des dépenses et recettes, dont celles fiscales afin de pouvoir jouer pleinement son rôle, notamment le développent économique local.
*Le Reporter. :
- Le ministère en charge de la pêche maritime et les professionnels marocains « se sont mis d’accord sur le fait que toute pêche additionnelle dans le territoire marocain doit prendre en compte les pêcheries qui sont surexploitées », a indiqué Youssef Benjelloun, membre de la commission mixte maroco-européenne de la pêche. Dans le nouvel accord, « il faut donc respecter certaines pêcheries auxquelles on ne peut associer une deuxième partie. C’est le cas notamment de la pêche aux céphalopodes, ou encore des grands pélagiques comme le thon rouge, qui sont des pêcheries dont les quotas sont exploités dans leur intégralité par une flotte marocaine existante », a-t-il expliqué dans un entretien.
*Tel Quel. :
- Salima Bennani, directrice générale de la Caisse de compensation de 2013 à 2018, a souligné l’importance majeure de penser à des alternatives pour supporter les impacts d’une hausse des couts des produits pétroliers sur l’économie marocaine. « Il faudrait supporter le transport professionnel et logistique », pas « le transport urbain, mais plutôt le transport de marchandise, de matières premières …pour accompagner les secteurs d’activité très consommateurs d’énergie combustible ».
*La Vie éco. :
- Le gouvernement ambitionne d'accélérer le rythme des créations d’emplois en mettant au point un programme fondé davantage sur l’action volontaire que sur les retombées de la croissance économique. Le groupe de travail chargé de cette thématique prévoit un potentiel de 1,2 million d’emplois nets d’ici 2021, soit près de 270.000 postes par an en moyenne. Au cours des dix dernières années, c’est une moyenne de 73.000 emplois qui ont été créés chaque année, et seulement 43.000 par an cours des cinq dernières années.
*La Nouvelle Tribune. :
- Le nombre des jugements exécutés par les différents tribunaux de première instance ont atteint 235.182 affaires en 2017, soit une hausse de plus de 106% par rapport à l’année précédente, selon le ministre de la Justice Mohamed Aujjar. Le nombre de jugements exécutés par les juridictions administratives a connu une hausse de 111,04%, pour un montant de plus de 3,7 MMDH. Pour les tribunaux de commerce, ce taux avoisine les 105,18%. *Finances news hebdo. : - Un peu plus de trois mois après l’entrée en vigueur de la flexibilité du régime de changes, le niveau des réserves internationales nettes suit une tendance baissière. Najib Akesbi, économiste et professeur à l’Institut agronomique et vétérinaire de Rabat, a affirmé que cette réforme « est une erreur fondamentale, car le pays à travers la banque centrale n’a pas les moyens de défendre le cours de la monnaie et la bande de fluctuation fixée à plus au moins de 2,5% », précisant que la Banque centrale « défendra le cours fixé dans la limite de ses responsabilités en devises jusqu’à ce qu’elle ne soit plus en mesure de le faire. Arrivera alors la dépréciation de la monnaie ».
*Le Temps. :
- Une meilleure gouvernance budgétaire locale est en cours de mise en place. Le ministère de l’Intérieur planche en effet sur un dispositif de gestion intégrée des finances des collectivités territoriales. Ce projet porte sur une solution innovante de pilotage couvrant la gestion fiscale, budgétaire et financière. Il répond entre autres au besoin des collectivités territoriales d’assurer un meilleur suivi et un contrôle accru des dépenses et recettes, dont celles fiscales afin de pouvoir jouer pleinement son rôle, notamment le développent économique local.
*Le Reporter. :
- Le ministère en charge de la pêche maritime et les professionnels marocains « se sont mis d’accord sur le fait que toute pêche additionnelle dans le territoire marocain doit prendre en compte les pêcheries qui sont surexploitées », a indiqué Youssef Benjelloun, membre de la commission mixte maroco-européenne de la pêche. Dans le nouvel accord, « il faut donc respecter certaines pêcheries auxquelles on ne peut associer une deuxième partie. C’est le cas notamment de la pêche aux céphalopodes, ou encore des grands pélagiques comme le thon rouge, qui sont des pêcheries dont les quotas sont exploités dans leur intégralité par une flotte marocaine existante », a-t-il expliqué dans un entretien.
*Tel Quel. :
- Salima Bennani, directrice générale de la Caisse de compensation de 2013 à 2018, a souligné l’importance majeure de penser à des alternatives pour supporter les impacts d’une hausse des couts des produits pétroliers sur l’économie marocaine. « Il faudrait supporter le transport professionnel et logistique », pas « le transport urbain, mais plutôt le transport de marchandise, de matières premières …pour accompagner les secteurs d’activité très consommateurs d’énergie combustible ».