Pour la première fois au Maroc : 17 universités chinoises au 1-er forum des études en Chine
Dix-sept universités chinoises se sont réunies, vendredi à Casablanca, pour la première fois au Maroc, dans le cadre du forum des études en Chine.
Lancé à l'initiative de CUCAS (China's University and College Admission System) Maroc, plateforme qui gère les candidatures des étudiants marocains souhaitant poursuivre leur formation en chine, ce forum accueille des universités parmi les plus prestigieuses à l'échelle internationale et ouvre de nouveaux horizons académiques et culturels aux jeunes marocains, qui constituent l'une des plus importantes diasporas étudiantes au monde.
A cette occasion, le doyen de la faculté des Sciences sociales, économiques et juridique relevant de l'Université Hassan II, Abdellatif Koumat, a affirmé que ce salon s’inscrit dans le cadre des partenariats noués avec plusieurs institutions chinoises dont CUCAS/Maroc.
Ce Forum est précédé, durant les deux dernières années, par d’autres initiatives d'une vingtaine d'universités chinoises dans l'objectif d'attirer des étudiants marocains, particulièrement dans les domaines des technologies et de l’ingénierie.
Pour sa part, le directeur du CUCAS Maroc, Mohamed Amine Amhaouach, a indiqué que de plus en plus prisée par les étudiants étrangers, la Chine est devenue ''une destination à la mode'', qui fascine par la grandeur et la diversité de son système d’enseignement supérieur qui compte plus de 2.000 établissements.
La qualité de l'offre est reconnue par les plus grands palmarès qui sont désormais dominés par les universités chinoises opposant une concurrence farouche à leurs homologues américaines, a-t-il ajouté.
Cette édition, qui se tient le 22 mars à Casablanca et le 23 mars à Rabat, est une occasion pour offrir aux étudiants l'opportunité d’étudier, effectuer des stages ou travailler en chine, a-t-il indiqué, soulignant que le nombre des étudiants marocains en chine est passé de 50 au moment de la création de CUCAS/Maroc à 700 à fin 2018.
Ce chiffre pourrait dépasser en 2019 les 2000 dans les options de la Licence, master et doctorat et l’apprentissage du mandarin, a-t-il dit.
Lancé à l'initiative de CUCAS (China's University and College Admission System) Maroc, plateforme qui gère les candidatures des étudiants marocains souhaitant poursuivre leur formation en chine, ce forum accueille des universités parmi les plus prestigieuses à l'échelle internationale et ouvre de nouveaux horizons académiques et culturels aux jeunes marocains, qui constituent l'une des plus importantes diasporas étudiantes au monde.
A cette occasion, le doyen de la faculté des Sciences sociales, économiques et juridique relevant de l'Université Hassan II, Abdellatif Koumat, a affirmé que ce salon s’inscrit dans le cadre des partenariats noués avec plusieurs institutions chinoises dont CUCAS/Maroc.
Ce Forum est précédé, durant les deux dernières années, par d’autres initiatives d'une vingtaine d'universités chinoises dans l'objectif d'attirer des étudiants marocains, particulièrement dans les domaines des technologies et de l’ingénierie.
Pour sa part, le directeur du CUCAS Maroc, Mohamed Amine Amhaouach, a indiqué que de plus en plus prisée par les étudiants étrangers, la Chine est devenue ''une destination à la mode'', qui fascine par la grandeur et la diversité de son système d’enseignement supérieur qui compte plus de 2.000 établissements.
La qualité de l'offre est reconnue par les plus grands palmarès qui sont désormais dominés par les universités chinoises opposant une concurrence farouche à leurs homologues américaines, a-t-il ajouté.
Cette édition, qui se tient le 22 mars à Casablanca et le 23 mars à Rabat, est une occasion pour offrir aux étudiants l'opportunité d’étudier, effectuer des stages ou travailler en chine, a-t-il indiqué, soulignant que le nombre des étudiants marocains en chine est passé de 50 au moment de la création de CUCAS/Maroc à 700 à fin 2018.
Ce chiffre pourrait dépasser en 2019 les 2000 dans les options de la Licence, master et doctorat et l’apprentissage du mandarin, a-t-il dit.