Maghreb. Bulletin économique du 23/01/2019
Tunis Les investissements agricoles privés agréés par l'Agence tunisienne de promotion des investissements agricoles (APIA), durant l'année 2018,ont porté sur 5.199 opérations d'une valeur de 719,3 MD contre 4.898 opérations évaluées à 693,8 MD pendant la même période en 2017, soit une augmentation de 6,1 % en nombre et de 3,7 % en valeur.
D'après les données statistiques de l’APIA, les services agricoles ont mobilisé la grande partie des investissements, en réalisant une hausse de 45,8%, soit en valeur 116,2 MD, suivi du secteur de première transformation avec une part de 14,6% (64,5 MD), alors que le secteur agricole a connu une légère hausse de 0,1% (487 MD).
En revanche, le secteur de l’aquaculture a vu sa part baisser de 56,3% pour atteindre une valeur de 11,2 MD parallèlement au secteur de la pêche qui a engrangé 40,5 MD (-11,6%).
Pour ce qui concerne les crédits octroyés aux investisseurs, ils ont augmenté à 106 crédits d’une valeur de 14,8 MD pendant l’année 2018, contre 94 crédits d’une valeur de 10,9 MD en 2017.
Les investissements agricoles approuvés en 2018, permettront de créer 6654 postes d’emplois contre 5719 postes d’emplois en 2017, soit une progression de 16,3%.
.- La quatrième édition du salon international des technologies, de l’information et de la communication dédié à l’Afrique (SITIC AFRICA 2019) aura lieu, du 18 au 20 juin à Tunis, a affirmé, mardi à Tunis, l'organisateur du salon Férid Tounsi.
D’importantes délégations d’hommes d’affaires d’une trentaine de pays prendront part à cette plateforme internationale du business dans le numérique, a-t-il dit lors d’une conférence de presse, faisant remarquer que l’objectif est de faire de la Tunisie un Hub régional et international du numérique.
Férid Tounsi a indiqué que 10 mille visiteurs professionnels dont 1500 étrangers et plus de 300 africains sont attendus lors de cette édition.
Il a, en outre, indiqué que "SITIC AFRICA 2019" comporte trois volets importants, à savoir l’exposition et la présentation d’une offre complète des TIC, l’organisation des rencontres B2B et l’organisation de forums et Workshops.
Alger -. Les besoins annuels de l'Algérie en eau à l'horizon 2030 devront s'élever à 12,9 milliards de m3 contre 10,4 milliards de m3 actuellement, a indiqué le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib.
«Ces prévisions reposaient principalement sur la hausse attendue de la croissance démographique et de l'expansion urbaine", a déclaré M. Necib lors d'une journée sur "l'avenir des ressources en eau en Algérie», précisant que "le taux d'urbanisation devrait, en 2030, être supérieur à 87% pour une population avoisinant les 50 millions de personnes".
Le volume des besoins annuels prévus à l'horizon 2030 se compose de 4 milliards de m3 pour la consommation des ménages (contre 3,3 milliards de m3 actuellement), de 8,3 milliards de m3 pour l'agriculture (contre 6,8 milliards de m3 actuellement) et de 0,6 milliard de m3 pour l'industrie (contre 0,3 milliard de m3 actuellement), selon les chiffres avancés par le ministre.
Pour couvrir cette demande, il a été procédé à la mise en place d'un Plan national de l'eau à l'horizon 2030, basé sur la poursuite de la mobilisation des ressources en eau conventionnelles et non conventionnelles, en focalisant sur les régions enregistrant un déficit à travers l'exploitation de toutes les disponibilités offertes en vue d'intensifier et d’élargir le réseau de raccordement et de transfert entre grands complexes hydriques du pays.
Le responsable a, en outre, expliqué que 45% des besoins annuels prévus à l'horizon 2030 seront assurés par les barrages et 35% par les infrastructures de mobilisation et de production, qui ne sont pas affectées par les changements climatiques, notamment les stations de dessalement d'eau de mer et des eaux souterraines du Sud, alors que le reste, soit 20%, par les eaux souterraines du nord du pays et des Hauts plateaux, dont le niveau de renouvellement est tributaire des conditions météorologiques.
D'après les données statistiques de l’APIA, les services agricoles ont mobilisé la grande partie des investissements, en réalisant une hausse de 45,8%, soit en valeur 116,2 MD, suivi du secteur de première transformation avec une part de 14,6% (64,5 MD), alors que le secteur agricole a connu une légère hausse de 0,1% (487 MD).
En revanche, le secteur de l’aquaculture a vu sa part baisser de 56,3% pour atteindre une valeur de 11,2 MD parallèlement au secteur de la pêche qui a engrangé 40,5 MD (-11,6%).
Pour ce qui concerne les crédits octroyés aux investisseurs, ils ont augmenté à 106 crédits d’une valeur de 14,8 MD pendant l’année 2018, contre 94 crédits d’une valeur de 10,9 MD en 2017.
Les investissements agricoles approuvés en 2018, permettront de créer 6654 postes d’emplois contre 5719 postes d’emplois en 2017, soit une progression de 16,3%.
.- La quatrième édition du salon international des technologies, de l’information et de la communication dédié à l’Afrique (SITIC AFRICA 2019) aura lieu, du 18 au 20 juin à Tunis, a affirmé, mardi à Tunis, l'organisateur du salon Férid Tounsi.
D’importantes délégations d’hommes d’affaires d’une trentaine de pays prendront part à cette plateforme internationale du business dans le numérique, a-t-il dit lors d’une conférence de presse, faisant remarquer que l’objectif est de faire de la Tunisie un Hub régional et international du numérique.
Férid Tounsi a indiqué que 10 mille visiteurs professionnels dont 1500 étrangers et plus de 300 africains sont attendus lors de cette édition.
Il a, en outre, indiqué que "SITIC AFRICA 2019" comporte trois volets importants, à savoir l’exposition et la présentation d’une offre complète des TIC, l’organisation des rencontres B2B et l’organisation de forums et Workshops.
Alger -. Les besoins annuels de l'Algérie en eau à l'horizon 2030 devront s'élever à 12,9 milliards de m3 contre 10,4 milliards de m3 actuellement, a indiqué le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib.
«Ces prévisions reposaient principalement sur la hausse attendue de la croissance démographique et de l'expansion urbaine", a déclaré M. Necib lors d'une journée sur "l'avenir des ressources en eau en Algérie», précisant que "le taux d'urbanisation devrait, en 2030, être supérieur à 87% pour une population avoisinant les 50 millions de personnes".
Le volume des besoins annuels prévus à l'horizon 2030 se compose de 4 milliards de m3 pour la consommation des ménages (contre 3,3 milliards de m3 actuellement), de 8,3 milliards de m3 pour l'agriculture (contre 6,8 milliards de m3 actuellement) et de 0,6 milliard de m3 pour l'industrie (contre 0,3 milliard de m3 actuellement), selon les chiffres avancés par le ministre.
Pour couvrir cette demande, il a été procédé à la mise en place d'un Plan national de l'eau à l'horizon 2030, basé sur la poursuite de la mobilisation des ressources en eau conventionnelles et non conventionnelles, en focalisant sur les régions enregistrant un déficit à travers l'exploitation de toutes les disponibilités offertes en vue d'intensifier et d’élargir le réseau de raccordement et de transfert entre grands complexes hydriques du pays.
Le responsable a, en outre, expliqué que 45% des besoins annuels prévus à l'horizon 2030 seront assurés par les barrages et 35% par les infrastructures de mobilisation et de production, qui ne sont pas affectées par les changements climatiques, notamment les stations de dessalement d'eau de mer et des eaux souterraines du Sud, alors que le reste, soit 20%, par les eaux souterraines du nord du pays et des Hauts plateaux, dont le niveau de renouvellement est tributaire des conditions météorologiques.