Le Kenya au troisième rang des 66 économies affichant le meilleur potentiel en termes de croissance future du commerce (Rapport)
Nairobi - Le Kenya s'est classé au troisième rang des 66 économies affichant le meilleur potentiel en termes de croissance future du commerce, indique un nouveau rapport publié par le financier multinational Standard Chartered Plc.
Le rapport qui a étudié les améliorations à apporter à l'infrastructure physique et numérique, au commerce électronique et à la facilité des affaires, place la Côte d'Ivoire en tête, suivie de l’Inde sur la liste des 20 principales économies dominées par les pays d’Afrique et d’Asie.
Le classement tient compte d'une gamme de variables regroupées en trois piliers: le dynamisme économique, la disposition au commerce et la diversité des exportations. «La Côte d’Ivoire et le Kenya mènent le peloton en Afrique et le Ghana se comporte également bien. La Côte d’Ivoire et le Kenya sont particulièrement bien préparés au commerce et sont motivés par l’amélioration de leur environnement commercial, l’amélioration de leur infrastructure physique et numérique et l’amélioration de leur facilité à faire des affaires», souligne Stanchart dans son rapport relayé vendredi par les médias kényans.
«Bien que ces économies plus petites ne puissent pas égaler le potentiel commercial global des grandes puissances commerciales, notre indice montre qu'elles progressent rapidement, même à partir d'un point de départ bas», explique le rapport. La Banque mondiale a signalé cette année dans son rapport sur la facilité de faire des affaires que le Kenya était parmi les plus améliorés au cours de la dernière année.
L'institution de Bretton Woods a classé le Kenya à la 61e position mondiale en 2019 - une amélioration de 19 positions en un an et de 31 positions en deux ans - et parmi les sept premières améliorations annuelles en grande partie grâce aux progrès enregistrés dans l'enregistrement de la propriété, la protection des investisseurs minoritaires, le paiement d'impôts et l'accès au crédit.
Le Kenya a également introduit une nouvelle loi sur l'insolvabilité, modernisant son ancienne loi afin de permettre aux entreprises de résoudre plus facilement leurs problèmes financiers.
Le rapport qui a étudié les améliorations à apporter à l'infrastructure physique et numérique, au commerce électronique et à la facilité des affaires, place la Côte d'Ivoire en tête, suivie de l’Inde sur la liste des 20 principales économies dominées par les pays d’Afrique et d’Asie.
Le classement tient compte d'une gamme de variables regroupées en trois piliers: le dynamisme économique, la disposition au commerce et la diversité des exportations. «La Côte d’Ivoire et le Kenya mènent le peloton en Afrique et le Ghana se comporte également bien. La Côte d’Ivoire et le Kenya sont particulièrement bien préparés au commerce et sont motivés par l’amélioration de leur environnement commercial, l’amélioration de leur infrastructure physique et numérique et l’amélioration de leur facilité à faire des affaires», souligne Stanchart dans son rapport relayé vendredi par les médias kényans.
«Bien que ces économies plus petites ne puissent pas égaler le potentiel commercial global des grandes puissances commerciales, notre indice montre qu'elles progressent rapidement, même à partir d'un point de départ bas», explique le rapport. La Banque mondiale a signalé cette année dans son rapport sur la facilité de faire des affaires que le Kenya était parmi les plus améliorés au cours de la dernière année.
L'institution de Bretton Woods a classé le Kenya à la 61e position mondiale en 2019 - une amélioration de 19 positions en un an et de 31 positions en deux ans - et parmi les sept premières améliorations annuelles en grande partie grâce aux progrès enregistrés dans l'enregistrement de la propriété, la protection des investisseurs minoritaires, le paiement d'impôts et l'accès au crédit.
Le Kenya a également introduit une nouvelle loi sur l'insolvabilité, modernisant son ancienne loi afin de permettre aux entreprises de résoudre plus facilement leurs problèmes financiers.
Source : https://www.mafrique.info/Le-Kenya-au-troisieme-ra...