Le Parti populaire (PP, droite) et Ciudadanos (centre droit) ont obtenu mercredi le soutien du parti d’extrême droite Vox, qui leur était indispensable pour pouvoir gouverner l’Andalousie. À l’issue d’un accord conclu avec le PP, Vox – qui a fait son entrée au Parlement de la région la plus peuplée d’Espagne le 2 décembre – a accepté de soutenir cette coalition sans y participer.
Ce compromis compte 37 points, et ne reprend pas les propositions les plus polémiques du Vox. “Et maintenant ? interroge ABC. La présidente du Parlement andalou, Marta Bosquet, doit entamer jeudi les négociations pour désigner un candidat à l’investiture. “Si tout se passe comme prévu”, celle-ci aura lieu le 16 janvier.
Mais avec l’appui de l’extrême droite, le nom du vainqueur est déjà connu, explique le quotidien espagnol, à l’instar des autres grands médias du royaume : “Les mathématiques dictent que c’est (le candidat du PP Juan Manuel) Moreno qui deviendra président” de l’Andalousie. L’alternance mettra fin à trente-six ans de règne du Parti socialiste. “Un changement historique”, relève le journal, puisque la région n’a connu aucune autre formation à sa tête depuis l’avènement de la démocratie.
Ce compromis compte 37 points, et ne reprend pas les propositions les plus polémiques du Vox. “Et maintenant ? interroge ABC. La présidente du Parlement andalou, Marta Bosquet, doit entamer jeudi les négociations pour désigner un candidat à l’investiture. “Si tout se passe comme prévu”, celle-ci aura lieu le 16 janvier.
Mais avec l’appui de l’extrême droite, le nom du vainqueur est déjà connu, explique le quotidien espagnol, à l’instar des autres grands médias du royaume : “Les mathématiques dictent que c’est (le candidat du PP Juan Manuel) Moreno qui deviendra président” de l’Andalousie. L’alternance mettra fin à trente-six ans de règne du Parti socialiste. “Un changement historique”, relève le journal, puisque la région n’a connu aucune autre formation à sa tête depuis l’avènement de la démocratie.