Doing Business 2020: Le Maroc gagne 4 places dans l'indice du Commerce transfrontalier
Rabat – Dans l'édition 2020 du rapport Doing Business, publiée jeudi par la Banque mondiale, le Maroc a enregistré une amélioration de 4 places par rapport à l’année précédente, passant du 62ème au 58ème rang au niveau mondial.
Depuis l’édition 2016 du rapport, date à laquelle la méthodologie de calcul de l’indicateur a été complétement révisée, impactant négativement le classement du Maroc qui a marqué un recul exceptionnel et injuste de plus de 70 places (du 31ème dans l’édition 2015 au 102ème rang dans l’édition 2016), d’importants efforts de corrections des données et de réformes de simplification et de dématérialisation par les différentes administrations impliquées dans le processus d’import/Export ont été menées, indique une note du Département du Chef du gouvernement.
Ces efforts ont permis au Maroc de rétablir son classement et d’enregistrer un saut important de 44 rangs depuis l’édition de 2016 pour atteindre le 58ème rang, contre le 102ème rang, ajoute la même source.
L’indicateur "commerce transfrontalier" répertorie les délais et les coûts liés à la logistique des exportations et des importations de marchandises.
Parmi les 7 pays africains de comparaison, le Maroc a pu maintenir un bon positionnement continental en se classant 2ème derrière le Botswana (55ème place au monde).
S’agissant des pays de comparaison de la région MENA, à l’exception d’Oman et du Maroc qui ont pu améliorer leur classement par rapport à la situation en 2009, les autres pays ont connu une dégringolade dans le classement sur cet indicateur sur la période considérée. Le Maroc devance tous les pays de comparaison, y compris les Emirats Arabes Unis qui occupent le 92ème rang mondial.
Parmi les réformes de simplification et de dématérialisation initiées ces dernières années au niveau des procédures Import/Export, figurent la mise en place d’un système d’analyse des risques par la Douane et l’élimination d’un certain nombre de documents aussi bien à l’import qu’à l’export, selon la note du Département du Chef du gouvernement.
L’année 2019 a été marquée par la mise en place du paiement électronique des redevances portuaires au niveau de Tanger Med, relève la même source, ajoutant que l’administration des douanes a aussi engagé un certain nombre de mesures importantes telles que le chantier de dématérialisation du circuit de dédouanement à l’échelle nationale et l’allongement des heures de fonctionnement des MEAD (magasins et aires de dédouanement), ce qui a permis d’améliorer les délais de traitement des opérations et de renforcer la transparence.
Depuis l’édition 2016 du rapport, date à laquelle la méthodologie de calcul de l’indicateur a été complétement révisée, impactant négativement le classement du Maroc qui a marqué un recul exceptionnel et injuste de plus de 70 places (du 31ème dans l’édition 2015 au 102ème rang dans l’édition 2016), d’importants efforts de corrections des données et de réformes de simplification et de dématérialisation par les différentes administrations impliquées dans le processus d’import/Export ont été menées, indique une note du Département du Chef du gouvernement.
Ces efforts ont permis au Maroc de rétablir son classement et d’enregistrer un saut important de 44 rangs depuis l’édition de 2016 pour atteindre le 58ème rang, contre le 102ème rang, ajoute la même source.
L’indicateur "commerce transfrontalier" répertorie les délais et les coûts liés à la logistique des exportations et des importations de marchandises.
Parmi les 7 pays africains de comparaison, le Maroc a pu maintenir un bon positionnement continental en se classant 2ème derrière le Botswana (55ème place au monde).
S’agissant des pays de comparaison de la région MENA, à l’exception d’Oman et du Maroc qui ont pu améliorer leur classement par rapport à la situation en 2009, les autres pays ont connu une dégringolade dans le classement sur cet indicateur sur la période considérée. Le Maroc devance tous les pays de comparaison, y compris les Emirats Arabes Unis qui occupent le 92ème rang mondial.
Parmi les réformes de simplification et de dématérialisation initiées ces dernières années au niveau des procédures Import/Export, figurent la mise en place d’un système d’analyse des risques par la Douane et l’élimination d’un certain nombre de documents aussi bien à l’import qu’à l’export, selon la note du Département du Chef du gouvernement.
L’année 2019 a été marquée par la mise en place du paiement électronique des redevances portuaires au niveau de Tanger Med, relève la même source, ajoutant que l’administration des douanes a aussi engagé un certain nombre de mesures importantes telles que le chantier de dématérialisation du circuit de dédouanement à l’échelle nationale et l’allongement des heures de fonctionnement des MEAD (magasins et aires de dédouanement), ce qui a permis d’améliorer les délais de traitement des opérations et de renforcer la transparence.
Source : https://www.mafrique.info/notes/Doing-Business-202...