Bulletin quotidien de l'écologie en Afrique

Vendredi 9 Juillet 2021

​Dakar - Voici le bulletin de l'écologie en Afrique pour la journée du vendredi 9 juillet :


Afrique :

-- Une série de rencontres virtuelles consacrées au renforcement des capacités et à la sensibilisation des journalistes environnementaux en Afrique sur les questions liées à la gouvernance environnementale sont organisées par le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) en collaboration avec le réseau africain des journalistes de l’environnement (ANEJ).

Cette formation est dédiée à la gestion des produits chimiques, des déchets et des processus multilatéraux connexes, tels que les conventions de Bâle, de Rotterdam et de Stockholm (Conventions BRS), rapporte l’agence d’information d’Afrique centrale.

Ouganda :

L’organisation Grow-Trees (GT) prévoit de planter plus de 50.000 arbres à travers l’Ouganda, dans le cadre d’un projet écologique financé par l'Agence des États-Unis pour le développement international (Usaid).

Selon Grow-Trees, ce projet renforcera les moyens de subsistance de 1,4 million de réfugiés en Ouganda à travers la réduction de la pression exercée sur les forêts et l’amélioration de la santé écologique et de la biodiversité.

«Notre projet de plantation aidera les réfugiés et les communautés locales à répondre à leurs besoins, à réduire les conflits liés aux ressources naturelles et à alléger la pression sur l’environnement. Les activités de plantation amélioreront également le sol et la couverture végétale dans les zones arides et dépourvues d’arbres», explique Bikrant Tiwary, le PDG de Grow-Trees.

Angola:

L'Angola produit environ 6,4 millions de tonnes de déchets solides par an, a déclaré le directeur général de l'Institut national de gestion de l'environnement, Nascimento Soares.

Selon le responsable qui s'exprimait lors du séminaire sur la gestion environnementale et les déchets solides en Angola, la capitale Luanda produit 2,6 millions de déchets solides, soit un ratio de 45% de la quantité totale enregistrée au niveau national.

"Sur la base des études réalisées, 45% de ces déchets vont au recyclage et à diverses industries, 35% peuvent être utilisés comme engrais et 20% pour la production d'énergie", a-t-il déclaré.

M. Soares a ajouté qu'avec ces données, la capitale du pays dispose d'un potentiel de valorisation des déchets d'environ 550 millions de dollars par an.

MAP