Bulletin quotidien d'informations économiques africaines du 12/06/2018
Côte d'Ivoire-OCDE
Le Gouvernement de Côte d’Ivoire, en partenariat avec le Centre de développement de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), a initié à Abidjan, un atelier de travail sur les mécanismes destinés à stimuler le développement du secteur agro-industriel dans le pays. Les différentes communications, ponctuées de travaux de groupes, sont centrées essentiellement sur le développement du potentiel agricole, des filières clés et la stratégie globale de soutien à la filière agro-industrielle, a affirmé le chef des examens multidimensionnels par pays de l’OCDE, Jan Rielaender.
L’objet de l’atelier est de passer en revue ce qui a été fait, déterminer les défis à relever, ainsi que les différents axes susceptibles de favoriser le développement industriel de la Côte d’Ivoire. M. Rielaender a fait savoir que les assises s’inscrivent dans le cadre du partenariat de suivi de la mise en œuvre des réformes 2016-2020 entre la Côte d’Ivoire et l’OCDE. +++++ Côte d'Ivoire-BCEAO
La direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique, en collaboration avec la direction nationale de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), a procédé jeudi au lancement pour la collecte des données nécessaires à l’établissement de la balance des paiements 2017, une première en Côte d’Ivoire. L’objectif recherché est d’informer les différents acteurs sur l’importance de l’enquête de la balance des paiements et de les sensibiliser sur la nécessité de leur contribution à la réussite de l’enquête.
Cette rencontre réunit environ 120 participants issus de l’administration publique, des organismes régionaux de supervision du secteur bancaire, des partenaires au développement, des organisations internationales et représentations diplomatiques et du secteur privé bancaire et non bancaire. Ouvrant les travaux, le directeur général du Trésor et de la Comptabilité publique, Assahoré Konan Jacques, par ailleurs président du Comité de la balance des paiements a précisé que cette enquête constitue une des mesures innovatrices dont la réussite devrait permettre au pays de relever le défi de la fiabilité des données et de la réduction des délais de production tant voulues par les autorités compétentes.
Mali-économie
Un projet d'insertion économique de jeunes ruraux soutenu par le Fonds international de développement agricole (FIDA) et la Coordination nationale des organisations paysannes (CNOP) a officiellement démarré ses activités, récemment dans la ville de Sikasso, selon la presse locale.
Doté d’un financement de 1,435 milliard fcfa provenant du Programme mondial d’Agriculture et de Sécurité alimentaire (GAFSP), le projet cible les jeunes ruraux des cercles de Sikasso et Yanfolila (3e région), de Kati et de Dioïla (2è région) désirant s’investir dans les activités avicoles et piscicoles.
Le projet entend offrir l’opportunité de s’insérer économiquement et de bénéficier, en ce qui concerne les femmes, d’une bonne formation dans les bonnes pratiques nutritionnelles, a expliqué le coordinateur national de l’Association des organisations professionnelles paysannes (AOPP), Seydou Tangara.
Le Gouvernement de Côte d’Ivoire, en partenariat avec le Centre de développement de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), a initié à Abidjan, un atelier de travail sur les mécanismes destinés à stimuler le développement du secteur agro-industriel dans le pays. Les différentes communications, ponctuées de travaux de groupes, sont centrées essentiellement sur le développement du potentiel agricole, des filières clés et la stratégie globale de soutien à la filière agro-industrielle, a affirmé le chef des examens multidimensionnels par pays de l’OCDE, Jan Rielaender.
L’objet de l’atelier est de passer en revue ce qui a été fait, déterminer les défis à relever, ainsi que les différents axes susceptibles de favoriser le développement industriel de la Côte d’Ivoire. M. Rielaender a fait savoir que les assises s’inscrivent dans le cadre du partenariat de suivi de la mise en œuvre des réformes 2016-2020 entre la Côte d’Ivoire et l’OCDE. +++++ Côte d'Ivoire-BCEAO
La direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique, en collaboration avec la direction nationale de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), a procédé jeudi au lancement pour la collecte des données nécessaires à l’établissement de la balance des paiements 2017, une première en Côte d’Ivoire. L’objectif recherché est d’informer les différents acteurs sur l’importance de l’enquête de la balance des paiements et de les sensibiliser sur la nécessité de leur contribution à la réussite de l’enquête.
Cette rencontre réunit environ 120 participants issus de l’administration publique, des organismes régionaux de supervision du secteur bancaire, des partenaires au développement, des organisations internationales et représentations diplomatiques et du secteur privé bancaire et non bancaire. Ouvrant les travaux, le directeur général du Trésor et de la Comptabilité publique, Assahoré Konan Jacques, par ailleurs président du Comité de la balance des paiements a précisé que cette enquête constitue une des mesures innovatrices dont la réussite devrait permettre au pays de relever le défi de la fiabilité des données et de la réduction des délais de production tant voulues par les autorités compétentes.
Mali-économie
Un projet d'insertion économique de jeunes ruraux soutenu par le Fonds international de développement agricole (FIDA) et la Coordination nationale des organisations paysannes (CNOP) a officiellement démarré ses activités, récemment dans la ville de Sikasso, selon la presse locale.
Doté d’un financement de 1,435 milliard fcfa provenant du Programme mondial d’Agriculture et de Sécurité alimentaire (GAFSP), le projet cible les jeunes ruraux des cercles de Sikasso et Yanfolila (3e région), de Kati et de Dioïla (2è région) désirant s’investir dans les activités avicoles et piscicoles.
Le projet entend offrir l’opportunité de s’insérer économiquement et de bénéficier, en ce qui concerne les femmes, d’une bonne formation dans les bonnes pratiques nutritionnelles, a expliqué le coordinateur national de l’Association des organisations professionnelles paysannes (AOPP), Seydou Tangara.