Bulletin économique du Maghreb
En valeur, les exportations alimentaires ont régressé de 11,5% pour se situer à 2,69 MMD, alors que les importations ont progressé de 15,5% pour atteindre 3,77 MMD.
Selon l'ONAGRI, le déficit enregistré est le résultat de l'accroissement du rythme des importations des céréales (+21,6%) d'une part et la baisse des exportations de l'huile d'olive (-27,5%) d'autre part.
La part des exportations alimentaires par rapport aux échanges commerciaux extérieurs du pays a baissé de 4,2 points de pourcentage par rapport à fin juin 2020 affichant 10,7% en 2021.
La part des importations alimentaires par rapport aux échanges commerciaux extérieurs du pays a baissé de 4,0 points de pourcentage avec 10,2% enregistré à fin juillet 2021.
A fin juillet 2021, les achats des produits céréaliers ont augmenté de 21,6% en valeur contre une hausse de 0,7% en volume.
Concernant les autres produits, l'ONAGRI a noté une baisse en valeur et en quantité à l'exception des huiles végétales qui ont enregistré une hausse de 5,5% en volume et de 35,3% en valeur.
-. Le marché Boursier a clôturé la séance de jeudi, 26 août 2021, sur une note quasi-stable (+0,07%) à 7317,02 points, dans un volume de 2,4 millions de dinars (MD)", selon l'analyse de l'intermédiaire en Bourse "Tunisie Valeurs".
Le titre SOPAT s'est placé au top line. Sans faire l'objet de transactions, la valeur s'est pliée de 2,9% à 1,440 dinar (D). Le volailler qui a, récemment, publié ses états financiers de l'exercice 2020, a affiché, sur l'année écoulée, une croissance de son chiffre d'affaires de 7,5% à 118,3MD et un allègement de ses pertes à -4,1MD (contre un déficit de -7,3MDt).
Dans un volume de 15 mille dinars, la BH a terminé la séance dans le vert. Le cours de l'action s'est apprécié de 2,3% à 10,470D faisant savoir qu'à ce niveau de cours, la banque étatique affiche une performance annuelle de 20,5%. Du côté des baisses, le titre BTE a accusé la moins bonne performance de la séance. Sans drainer de flux, l'action a reculé de 2,9% à 7,280D.
Sur fond de prise de bénéfices, le titre Euro-Cycles a légèrement baissé de 0,5% à 31,700 D. L'action a mobilisé des capitaux de 76 mille dinars sur la séance.
SAH Lilas a été la valeur la plus dynamique de la séance. Dans un volume de 910 mille dinars, l'action a dévissé de 1,3% à 12,060 D.
-. Nouakchott, Un accord définitif a été trouvé avec le Koweït pour le règlement du dossier de sa dette accumulée sur la Mauritanie, à travers la restructuration de la dette, a annoncé jeudi le ministre mauritanien des Affaires étrangères, de la Coopération et des Mauritaniens de l'Extérieur, M. Ismaël Ould Cheikh Ahmed, lors d’une conférence de presse.
Pour sa part, le ministre des Finances, M. Mohamed Lemine Ould Dhehbi, a précisé que cet accord porte sur la restructuration de la dette koweïtienne et l’annulation de 95% des intérêts accumulés sur plus de trois décennies et l’investissement du reste dans des actifs présentant des opportunités d’investissement profitables aux deux pays.
Il a ajouté que le principal de la dette soit 82,70 millions de dollars sera remboursé sur une période de 20 ans, y compris un délai de grâce de deux ans, et à un taux d'intérêt annuel de 0,5 %.
M. Dhehbi a, également, cité les avantages de l’accord, en comparaison avec d’autres initiatives, avantages qui résultent dans le fait que la valeur réside d’abord dans le taux d'annulation de 95 %, qui dépasse celui des deux initiatives de restructuration de la dette les plus connues en l'occurrence l'initiative d'allègement de la dette des pays les plus pauvres (PPTE) survenue au début du millénaire dont le taux d’annulation était de 67% et l'initiative d'annulation de la dette multilatérale lancée en 2006, dont le taux d’annulation était de 90 %.
"Cette dette passive a aussi affecté la confiance dans la capacité du pays à faire face à ses obligations et a affaibli les indicateurs de capacité d'endettement de notre pays", a-t-il rappelé.
S’agissant des origines de la créance, le ministre des finances a précisé qu’elle a été contractée dans les années soixante-dix du siècle dernier, et se compose de deux prêts et d'un dépôt auprès de la Banque centrale de Mauritanie .
Alger, Le groupe sud-coréen Hyundai a décidé de sursoir à sa présence en Algérie en raison de l'incertitude qui plane actuellement sur le secteur automobile dans le pays, selon les médias algériens.
Cette décision de Hyundai Motors Company (HMC) concerne surtout le volet commercialisation, autrement dit les concessionnaires de véhicules neufs, a précisé "Le Soir d’Algérie", qui ajoute que les représentants du groupe coréen auraient décidé de surseoir même à cette opération.
En effet, "compte tenu de l’indécision des pouvoirs publics face à la question de la relance des importations de véhicules et les reports, sans cesse renouvelés, de la libération de la délivrance des agréments aux candidats à cette activité, le géant coréen a opté pour le gel de sa présence en Algérie, tout au moins durant l’année 2021", a fait savoir la même source.
Cette démarche de Hyundai Motors Company (HMC) de se retirer du marché algérien va lui permettre de se concentrer sur des marchés internationaux bien plus stables d’un point de vue réglementaire et beaucoup plus prometteurs en matière de débouchés commerciaux, a-t-elle fait savoir.
Elle a indiqué que le retour de Hyundai dépendra des décisions du gouvernement algérien.
Pour sa part, "ObservAlgerie" signale que cette attitude de gel d’activités en Algérie n’est pas l’apanage de Hyundai, mais semble être aussi observée par d’autres groupes automobiles qui attendent un dénouement salutaire aussi bien pour l’importation de véhicules neufs que pour le volet industriel, pour envisager un repositionnement à travers des opérateurs locaux.
Il a rappelé que le groupe allemand "Volkswagen" a décidé de rompre son partenariat avec le groupe Sovac, son représentant officiel en Algérie, faisant savoir que les deux entreprises ont, en effet, décidé de rompre leurs relations après plusieurs années de partenariat.
Selon l'ONAGRI, le déficit enregistré est le résultat de l'accroissement du rythme des importations des céréales (+21,6%) d'une part et la baisse des exportations de l'huile d'olive (-27,5%) d'autre part.
La part des exportations alimentaires par rapport aux échanges commerciaux extérieurs du pays a baissé de 4,2 points de pourcentage par rapport à fin juin 2020 affichant 10,7% en 2021.
La part des importations alimentaires par rapport aux échanges commerciaux extérieurs du pays a baissé de 4,0 points de pourcentage avec 10,2% enregistré à fin juillet 2021.
A fin juillet 2021, les achats des produits céréaliers ont augmenté de 21,6% en valeur contre une hausse de 0,7% en volume.
Concernant les autres produits, l'ONAGRI a noté une baisse en valeur et en quantité à l'exception des huiles végétales qui ont enregistré une hausse de 5,5% en volume et de 35,3% en valeur.
-. Le marché Boursier a clôturé la séance de jeudi, 26 août 2021, sur une note quasi-stable (+0,07%) à 7317,02 points, dans un volume de 2,4 millions de dinars (MD)", selon l'analyse de l'intermédiaire en Bourse "Tunisie Valeurs".
Le titre SOPAT s'est placé au top line. Sans faire l'objet de transactions, la valeur s'est pliée de 2,9% à 1,440 dinar (D). Le volailler qui a, récemment, publié ses états financiers de l'exercice 2020, a affiché, sur l'année écoulée, une croissance de son chiffre d'affaires de 7,5% à 118,3MD et un allègement de ses pertes à -4,1MD (contre un déficit de -7,3MDt).
Dans un volume de 15 mille dinars, la BH a terminé la séance dans le vert. Le cours de l'action s'est apprécié de 2,3% à 10,470D faisant savoir qu'à ce niveau de cours, la banque étatique affiche une performance annuelle de 20,5%. Du côté des baisses, le titre BTE a accusé la moins bonne performance de la séance. Sans drainer de flux, l'action a reculé de 2,9% à 7,280D.
Sur fond de prise de bénéfices, le titre Euro-Cycles a légèrement baissé de 0,5% à 31,700 D. L'action a mobilisé des capitaux de 76 mille dinars sur la séance.
SAH Lilas a été la valeur la plus dynamique de la séance. Dans un volume de 910 mille dinars, l'action a dévissé de 1,3% à 12,060 D.
-. Nouakchott, Un accord définitif a été trouvé avec le Koweït pour le règlement du dossier de sa dette accumulée sur la Mauritanie, à travers la restructuration de la dette, a annoncé jeudi le ministre mauritanien des Affaires étrangères, de la Coopération et des Mauritaniens de l'Extérieur, M. Ismaël Ould Cheikh Ahmed, lors d’une conférence de presse.
Pour sa part, le ministre des Finances, M. Mohamed Lemine Ould Dhehbi, a précisé que cet accord porte sur la restructuration de la dette koweïtienne et l’annulation de 95% des intérêts accumulés sur plus de trois décennies et l’investissement du reste dans des actifs présentant des opportunités d’investissement profitables aux deux pays.
Il a ajouté que le principal de la dette soit 82,70 millions de dollars sera remboursé sur une période de 20 ans, y compris un délai de grâce de deux ans, et à un taux d'intérêt annuel de 0,5 %.
M. Dhehbi a, également, cité les avantages de l’accord, en comparaison avec d’autres initiatives, avantages qui résultent dans le fait que la valeur réside d’abord dans le taux d'annulation de 95 %, qui dépasse celui des deux initiatives de restructuration de la dette les plus connues en l'occurrence l'initiative d'allègement de la dette des pays les plus pauvres (PPTE) survenue au début du millénaire dont le taux d’annulation était de 67% et l'initiative d'annulation de la dette multilatérale lancée en 2006, dont le taux d’annulation était de 90 %.
"Cette dette passive a aussi affecté la confiance dans la capacité du pays à faire face à ses obligations et a affaibli les indicateurs de capacité d'endettement de notre pays", a-t-il rappelé.
S’agissant des origines de la créance, le ministre des finances a précisé qu’elle a été contractée dans les années soixante-dix du siècle dernier, et se compose de deux prêts et d'un dépôt auprès de la Banque centrale de Mauritanie .
Alger, Le groupe sud-coréen Hyundai a décidé de sursoir à sa présence en Algérie en raison de l'incertitude qui plane actuellement sur le secteur automobile dans le pays, selon les médias algériens.
Cette décision de Hyundai Motors Company (HMC) concerne surtout le volet commercialisation, autrement dit les concessionnaires de véhicules neufs, a précisé "Le Soir d’Algérie", qui ajoute que les représentants du groupe coréen auraient décidé de surseoir même à cette opération.
En effet, "compte tenu de l’indécision des pouvoirs publics face à la question de la relance des importations de véhicules et les reports, sans cesse renouvelés, de la libération de la délivrance des agréments aux candidats à cette activité, le géant coréen a opté pour le gel de sa présence en Algérie, tout au moins durant l’année 2021", a fait savoir la même source.
Cette démarche de Hyundai Motors Company (HMC) de se retirer du marché algérien va lui permettre de se concentrer sur des marchés internationaux bien plus stables d’un point de vue réglementaire et beaucoup plus prometteurs en matière de débouchés commerciaux, a-t-elle fait savoir.
Elle a indiqué que le retour de Hyundai dépendra des décisions du gouvernement algérien.
Pour sa part, "ObservAlgerie" signale que cette attitude de gel d’activités en Algérie n’est pas l’apanage de Hyundai, mais semble être aussi observée par d’autres groupes automobiles qui attendent un dénouement salutaire aussi bien pour l’importation de véhicules neufs que pour le volet industriel, pour envisager un repositionnement à travers des opérateurs locaux.
Il a rappelé que le groupe allemand "Volkswagen" a décidé de rompre son partenariat avec le groupe Sovac, son représentant officiel en Algérie, faisant savoir que les deux entreprises ont, en effet, décidé de rompre leurs relations après plusieurs années de partenariat.