Bulletin de l'écologie de l'Afrique du 26/02/2018
Dakar - Voici le bulletin de l'écologie de l'Afrique pour la journée du lundi 26 février:
Sénégal
L'idée de l’Association internationale des Maires Francophones (AMIF) d’instaurer un groupe de plaidoyer sur le changement climatique est une réponse à un problème des collectivités territoriales, a soutenu l’expert sénégalais et consultant en économie du changement climatique, Antoine Faye, cité par l’agence APS.
"Le plaidoyer initié par les maires relève du fait que le changement climatique est également un problème territorial dans la mesure où les vulnérabilités d’un pays à un autre sont différentes comme elles sont aussi différentes d’un territoire à un autre", a souligné M. Faye, dans le cadre des travaux du groupe de plaidoyer lors de la Conférence annuelle de l’AIMF à Ouagadougou.
Côte d'Ivoire Le ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable (MINSEDD), en collaboration avec ONU Environnement et le Comité national de développement durable (CNDD), travaillent à une protection durable des forêts et de la biodiversité en Côte d’Ivoire.
Le directeur de cabinet du MINSEDD, Fofana Brahima, a procédé récemment à Abidjan, au lancement d’un atelier de la phase de préparation du projet, "durabilité et approches de développement pour la gestion transformationnelle, la restauration, la conservation des forêts et la biodiversité en Côte d’Ivoire".
Il a, au nom de la ministre de tutelle, expliqué que des facteurs tels que l’urbanisation, la population galopante, la mauvaise gestion du couvert forestier et la pratique des cultures extensives, qui ont des effets directs sur le maintien de la diversité biologique, sont à la base de la perte des forêts. "Avec la forte dégradation de la flore, la faune est gravement menacée. C’est ici le lieu d’exhorter chacun et chacune d’entre nous à une implication à la mise en œuvre de cette phase car le temps joue contre nous", a-t-il lancé.
Burkina
Le ministre burkinabè de l’Eau et de l’Assainissement, Ambroise Niouga Ouédrago, a lancé un projet d’hydraulique villageoise et d’assainissement en milieu rural au Burkina Faso qui permettra d’ici la fin de l’année 2019, de réaliser 120 forages équipés de pompes à motricité humaine.
Financé par la BID (Banque islamique de développement) à hauteur de 6 250 000 000 francs CFA sous forme de prêt, et 35 000 000 francs CFA par l’UEMOA, l’Etat burkinabè contribue pour 1 475 000 000 francs CFA pour un montant global de 7 760 000 000francs CFA.
Kenya
La centrale solaire d’une capacité de 55 MW en cours de construction dans le comté de Garissa, au Kenya, devrait entrer en service en décembre prochain, ont rapporté des médias locaux.
Réalisée par "China Jiangxi", pour un coût estimé à 135,7 millions dollars financés par prêt de l’"Exim Bank" de Chine, cette centrale solaire, la plus importante du genre en Afrique de l’Est, devrait permettre d’approvisionner 625.000 ménages en électricité.
Le lancement des travaux de construction de cette usine avait accusé du retard en raison des négociations prolongées sur l’accord de rachat d’électricité conclu entre la "China Jiangxi" et le distributeur "Kenya Power", selon la même source.
Mali
"Il n'y aura pas de délestage, ni de coupures d’électricité permanentes cette année», estiment les responsables de la société de l’énergie du mali, cités par la presse locale.
L’information a été donnée suite à la coupure intempestive d’électricité survenue dans la ville de Bamako la nuit du lundi dernier, précise la même source.
Sénégal
L'idée de l’Association internationale des Maires Francophones (AMIF) d’instaurer un groupe de plaidoyer sur le changement climatique est une réponse à un problème des collectivités territoriales, a soutenu l’expert sénégalais et consultant en économie du changement climatique, Antoine Faye, cité par l’agence APS.
"Le plaidoyer initié par les maires relève du fait que le changement climatique est également un problème territorial dans la mesure où les vulnérabilités d’un pays à un autre sont différentes comme elles sont aussi différentes d’un territoire à un autre", a souligné M. Faye, dans le cadre des travaux du groupe de plaidoyer lors de la Conférence annuelle de l’AIMF à Ouagadougou.
Côte d'Ivoire Le ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable (MINSEDD), en collaboration avec ONU Environnement et le Comité national de développement durable (CNDD), travaillent à une protection durable des forêts et de la biodiversité en Côte d’Ivoire.
Le directeur de cabinet du MINSEDD, Fofana Brahima, a procédé récemment à Abidjan, au lancement d’un atelier de la phase de préparation du projet, "durabilité et approches de développement pour la gestion transformationnelle, la restauration, la conservation des forêts et la biodiversité en Côte d’Ivoire".
Il a, au nom de la ministre de tutelle, expliqué que des facteurs tels que l’urbanisation, la population galopante, la mauvaise gestion du couvert forestier et la pratique des cultures extensives, qui ont des effets directs sur le maintien de la diversité biologique, sont à la base de la perte des forêts. "Avec la forte dégradation de la flore, la faune est gravement menacée. C’est ici le lieu d’exhorter chacun et chacune d’entre nous à une implication à la mise en œuvre de cette phase car le temps joue contre nous", a-t-il lancé.
Burkina
Le ministre burkinabè de l’Eau et de l’Assainissement, Ambroise Niouga Ouédrago, a lancé un projet d’hydraulique villageoise et d’assainissement en milieu rural au Burkina Faso qui permettra d’ici la fin de l’année 2019, de réaliser 120 forages équipés de pompes à motricité humaine.
Financé par la BID (Banque islamique de développement) à hauteur de 6 250 000 000 francs CFA sous forme de prêt, et 35 000 000 francs CFA par l’UEMOA, l’Etat burkinabè contribue pour 1 475 000 000 francs CFA pour un montant global de 7 760 000 000francs CFA.
Kenya
La centrale solaire d’une capacité de 55 MW en cours de construction dans le comté de Garissa, au Kenya, devrait entrer en service en décembre prochain, ont rapporté des médias locaux.
Réalisée par "China Jiangxi", pour un coût estimé à 135,7 millions dollars financés par prêt de l’"Exim Bank" de Chine, cette centrale solaire, la plus importante du genre en Afrique de l’Est, devrait permettre d’approvisionner 625.000 ménages en électricité.
Le lancement des travaux de construction de cette usine avait accusé du retard en raison des négociations prolongées sur l’accord de rachat d’électricité conclu entre la "China Jiangxi" et le distributeur "Kenya Power", selon la même source.
Mali
"Il n'y aura pas de délestage, ni de coupures d’électricité permanentes cette année», estiment les responsables de la société de l’énergie du mali, cités par la presse locale.
L’information a été donnée suite à la coupure intempestive d’électricité survenue dans la ville de Bamako la nuit du lundi dernier, précise la même source.