Un journal mexicain met à nu les violations graves des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf
Mexico - Un journal mexicain a mis à nu les violations graves des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf et les restrictions à la liberté d'expression et de déplacement imposées par le polisario aux populations sahraouies séquestrées dans ces camps.
"Les camps de Tindouf ont connu ces derniers mois une campagne de répression sans précédent, marquée par l'usage excessif de la force, des disparitions forcées, des arrestations et de la torture, qui ont fait plusieurs victimes parmi les habitants de ces camps", a souligné EmbajadasTV dans un article portant sur "les violations des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf".
Pour l'auteur de l'article, Gerardo Yong, les restrictions à la liberté d'expression et de déplacement imposées par le Polisario sont devenues une pratique quotidienne pour les populations sahraouies séquestrées.
En agissant de la sorte, le polisario viole clairement les conventions et le droit international humanitaire, a-t-il dit, faisant savoir que les séparatistes ont imposé récemment des restrictions de déplacement aux personnes et aux véhicules à Tindouf. Un état de fait qui a paralysé la mobilité à l'intérieur des camps, soutient-il.
Selon le support médiatique mexicain, ces mesures répressives ont poussé les populations à organiser des sit-in et à manifester pour revendiquer la liberté de déplacement, relevant que ces manifestations ont été réprimées dans le sang par les milices du polisario à travers le recours excessif à la force et la démolition des propriétés privées des habitants des camps.
Lors de ces manifestations pacifiques, des journalistes, des blogueurs et des manifestants ont été intimidés et arrêtés, et des pressions ont été exercées sur leurs familles pour les obliger à garder le silence, a indiqué l’auteur de l’article, soulignant que trois opposants sahraouis sont actuellement détenus et poursuivis pour des actes de "trahison".
Les activistes Moulay Abba Bouzid et Fadel Mohamed Breica, et le journaliste Mahmoud Zeidan sont détenus dans la prison de Dhaibiya pour diverses accusations, a-t-il relevé, notant que ces chefs d'accusation retenues sont passibles de peines de prison allant de cinq ans à la perpétuité.
"Ces arrestations viennent s’ajouter à la disparition forcée d’El Khalil Ahmed, enlevé en 2009 à Alger, alors qu’il se préparait à dénoncer lors d’une conférence les violations des droits de l’homme commises par le polisario", assure la publication.
L'organisation Human Rights Watch vient de rappeler l'Algérie à ses responsabilités, devant les violations des droits humains dont le polisario est l'auteur, a conclu le journal, précisant que l'ONG américaine a affirmé qu'Alger ne peut pas "sous-traiter la protection des droits humains sur son territoire, et fermer les yeux si le polisario les viole".
"Les camps de Tindouf ont connu ces derniers mois une campagne de répression sans précédent, marquée par l'usage excessif de la force, des disparitions forcées, des arrestations et de la torture, qui ont fait plusieurs victimes parmi les habitants de ces camps", a souligné EmbajadasTV dans un article portant sur "les violations des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf".
Pour l'auteur de l'article, Gerardo Yong, les restrictions à la liberté d'expression et de déplacement imposées par le Polisario sont devenues une pratique quotidienne pour les populations sahraouies séquestrées.
En agissant de la sorte, le polisario viole clairement les conventions et le droit international humanitaire, a-t-il dit, faisant savoir que les séparatistes ont imposé récemment des restrictions de déplacement aux personnes et aux véhicules à Tindouf. Un état de fait qui a paralysé la mobilité à l'intérieur des camps, soutient-il.
Selon le support médiatique mexicain, ces mesures répressives ont poussé les populations à organiser des sit-in et à manifester pour revendiquer la liberté de déplacement, relevant que ces manifestations ont été réprimées dans le sang par les milices du polisario à travers le recours excessif à la force et la démolition des propriétés privées des habitants des camps.
Lors de ces manifestations pacifiques, des journalistes, des blogueurs et des manifestants ont été intimidés et arrêtés, et des pressions ont été exercées sur leurs familles pour les obliger à garder le silence, a indiqué l’auteur de l’article, soulignant que trois opposants sahraouis sont actuellement détenus et poursuivis pour des actes de "trahison".
Les activistes Moulay Abba Bouzid et Fadel Mohamed Breica, et le journaliste Mahmoud Zeidan sont détenus dans la prison de Dhaibiya pour diverses accusations, a-t-il relevé, notant que ces chefs d'accusation retenues sont passibles de peines de prison allant de cinq ans à la perpétuité.
"Ces arrestations viennent s’ajouter à la disparition forcée d’El Khalil Ahmed, enlevé en 2009 à Alger, alors qu’il se préparait à dénoncer lors d’une conférence les violations des droits de l’homme commises par le polisario", assure la publication.
L'organisation Human Rights Watch vient de rappeler l'Algérie à ses responsabilités, devant les violations des droits humains dont le polisario est l'auteur, a conclu le journal, précisant que l'ONG américaine a affirmé qu'Alger ne peut pas "sous-traiter la protection des droits humains sur son territoire, et fermer les yeux si le polisario les viole".
Source : https://www.mafrique.info/notes/Un-journal-mexicai...