Revue de presse économique hebdomadaire
Casablanca - La presse économique hebdomadaire paraissant vendredi focalise son attention sur les secteurs de l'aéronautique et du tourisme au Maroc ainsi que sur l'opération de privatisation de Maroc de Telecom.
"Challenge" consacre un dossier au secteur aéronautique marocain dans lequel il souligne que le Royaume a réussi en 18 ans à s'imposer comme puissance montante de l’aéronautique.
Sous le titre "Aéronautique, le Maroc désormais courtisé", la publication écrit que le Maroc est aujourd'hui considéré comme la base la plus compétitive à la porte de l’Europe qui est le deuxième marché mondial dans la construction aéronautique après les Etat-Unis, précisant que cette base affiche 16.700 emplois et près de 140 sociétés qui réalisent à fin 2018 un chiffre d’affaires à l’export de 13,9 milliards de dirhams, soit 5,6% du total des exportations du Royaume.
L'hebdomadaire note à ce propos que l’émergence de cette base marocaine s’explique d’une part par la qualité du partenariat tissé depuis quelques années entre l’Etat et les industriels dans le cadre d’une stratégie partagée et concertée et d’autre part par le système de formation innovant et adapté aux besoins du secteur mis en place par le Royaume, relevant qu’en conséquences, de plus en plus d’entreprises aéronautiques européennes ou américaines s’intéressent au marché marocain comme base de production.
"Challenge" s’intéresse d’autre part au tourisme et aux nouveaux enjeux de ce secteur, relevant que les marchés émetteurs traditionnels connaissent une véritable embellie, grâce à la reprise économique, mais nos concurrents enregistrent des progressions plus importantes à l’image de la Tunisie dont les réservations pour l’été ont grimpé de 25%.
Les deux marchés émetteurs que les professionnels s’arrachent sont l’Inde et la Chine, souligne la publication, faisant observer qu’il y a 300 millions de Chinois qui voyagent chaque année, mais le Maroc n’en a reçu que 120.000 en 2018.
Sur ce même registre, "La Vie Eco" écrit sous le titre "le plan Biladi, un autre passif de la vision 2020", que ce plan avait été conçu par le gouvernement afin d'offrir aux touristes nationaux un produit adapté qui tienne compte de leurs habitudes de consommation et de voyages avec comme objectif de créer 8 stations touristiques, notant qu'aujourd'hui, deux stations Biladi sont opérationnelles (Imi Oudar et Ifrane) trois autres (Sidi Abed, Ras El Ma et Benslimane) ne sont pas encore entamées, celle de Mehdia est en cours de réalisation et deux autres dans les régions de Tanger-Tetouan et Marrakech semblent avoir été "jetées aux oubliettes".
"Finances News" focalise pour sa part son attention sur la privatisation de Maroc Telecom, soulignant à ce propos que le gouvernement vise à atteindre le plus grand nombre de souscripteurs pour la cession des 2% des parts de l’Etat dans le capital de Maroc Télécom à travers une offre publique de vente en bourse.
Dans un article intitulé "Bourse : l’électrochoc Maroc Télécom", la publication écrit que cette opération apportera à l’Etat 2,18 milliards de dirhams, auxquels s’ajoutent 6,7 milliards de dirhams levés le 17 juin auprès d’investisseurs institutionnels locaux, soit un peu moins de 6 milliards de dirhams pour 8% du capital de Maroc Telecom.
L'hebdomadaire ajoute à cet égard que l’opération fait consensus chez les professionnels et que tous les bons papiers d’analystes recommandent de souscrire à l’offre à un moment où l’entreprise entre dans une période favorable de croissance.
"Challenge" consacre un dossier au secteur aéronautique marocain dans lequel il souligne que le Royaume a réussi en 18 ans à s'imposer comme puissance montante de l’aéronautique.
Sous le titre "Aéronautique, le Maroc désormais courtisé", la publication écrit que le Maroc est aujourd'hui considéré comme la base la plus compétitive à la porte de l’Europe qui est le deuxième marché mondial dans la construction aéronautique après les Etat-Unis, précisant que cette base affiche 16.700 emplois et près de 140 sociétés qui réalisent à fin 2018 un chiffre d’affaires à l’export de 13,9 milliards de dirhams, soit 5,6% du total des exportations du Royaume.
L'hebdomadaire note à ce propos que l’émergence de cette base marocaine s’explique d’une part par la qualité du partenariat tissé depuis quelques années entre l’Etat et les industriels dans le cadre d’une stratégie partagée et concertée et d’autre part par le système de formation innovant et adapté aux besoins du secteur mis en place par le Royaume, relevant qu’en conséquences, de plus en plus d’entreprises aéronautiques européennes ou américaines s’intéressent au marché marocain comme base de production.
"Challenge" s’intéresse d’autre part au tourisme et aux nouveaux enjeux de ce secteur, relevant que les marchés émetteurs traditionnels connaissent une véritable embellie, grâce à la reprise économique, mais nos concurrents enregistrent des progressions plus importantes à l’image de la Tunisie dont les réservations pour l’été ont grimpé de 25%.
Les deux marchés émetteurs que les professionnels s’arrachent sont l’Inde et la Chine, souligne la publication, faisant observer qu’il y a 300 millions de Chinois qui voyagent chaque année, mais le Maroc n’en a reçu que 120.000 en 2018.
Sur ce même registre, "La Vie Eco" écrit sous le titre "le plan Biladi, un autre passif de la vision 2020", que ce plan avait été conçu par le gouvernement afin d'offrir aux touristes nationaux un produit adapté qui tienne compte de leurs habitudes de consommation et de voyages avec comme objectif de créer 8 stations touristiques, notant qu'aujourd'hui, deux stations Biladi sont opérationnelles (Imi Oudar et Ifrane) trois autres (Sidi Abed, Ras El Ma et Benslimane) ne sont pas encore entamées, celle de Mehdia est en cours de réalisation et deux autres dans les régions de Tanger-Tetouan et Marrakech semblent avoir été "jetées aux oubliettes".
"Finances News" focalise pour sa part son attention sur la privatisation de Maroc Telecom, soulignant à ce propos que le gouvernement vise à atteindre le plus grand nombre de souscripteurs pour la cession des 2% des parts de l’Etat dans le capital de Maroc Télécom à travers une offre publique de vente en bourse.
Dans un article intitulé "Bourse : l’électrochoc Maroc Télécom", la publication écrit que cette opération apportera à l’Etat 2,18 milliards de dirhams, auxquels s’ajoutent 6,7 milliards de dirhams levés le 17 juin auprès d’investisseurs institutionnels locaux, soit un peu moins de 6 milliards de dirhams pour 8% du capital de Maroc Telecom.
L'hebdomadaire ajoute à cet égard que l’opération fait consensus chez les professionnels et que tous les bons papiers d’analystes recommandent de souscrire à l’offre à un moment où l’entreprise entre dans une période favorable de croissance.
