Revue de la presse belge du 28/05/2018
Voici les principales informations à la Une des quotidiens belges parus lundi :
HET LAATSE NIEUWS (Les Dernières Nouvelles)
Le sort des parents de l'enfant en bas âge atteinte mortellement par une balle de la police, Mawda , divise le gouvernement Michel. Le vice-premier ministre Peeters (CD&V) veut leur donner un permis de séjour temporaire, la N-va et l'Open VLD demander à la famille de d'abord collaborer à la recherche des organisateurs de la contrebande impliquée. C'est Theo Francken (N-va) qui a annoncé hier que les parents de Mawda ont présenté une demande de régularisation pour des raisons humanitaires à Bruxelles.
SUDPRESSE
Maggie De Block débloque 9,1 millions d'euros pour financer des tests modernes auprès de 20.000 patients souffrant du cancer. Ils permettront de choisir le meilleur traitement possible. "Il s'agit d'un projet pilote de trois ans qui sera mis en oeuvre dès le mois de novembre", précise sa porte-parole. A la tête de ce projet, on retrouve Marc Van den Bulcke, de Sciensano. "Ces nouvelles techniques existent déjà mais jusqu'ici elles n'étaient pas utilisées de manière structurelle. Bon nombre d'entre elles n'étaient pas remboursées", nous apprend l'expert. C'est le cas notamment pour les patients atteints d'un cancer du poumon.
DE MORGEN (Le Matin)
Les avocats des parents de la fillette Mawda, atteinte mortellement par une balle de la police, envisagent de porter plainte au civil contre Theo Francken et Bart De Wever pour divulgation d'informations confidentielles. La défense met en cause les informations livrées fin de la semaine dernière par le président de la N-VA, Bart De Wever, sur le parcours de la famille Shawri, précisant que les parents et leurs enfants avaient été interceptés dans notre pays à plusieurs reprises, notamment dans un camion frigorifique.
GAZET VAN ANTWERPEN (La Gazette d'Anvers)
Les procureurs généraux ont fait part dans une lettre adressée au ministre des Affaires intérieures, Jan Jambon (N-VA) de leur "grande inquiétude" au sujet du recours aux tasers par les agents de police. "Les pistolets à impulsion électrique nécessitent un cadre juridique spécifique qui n'existe pas aujourd'hui". "C'est donc illégal", commentent les syndicats. Le syndicat policier ACV souhaite que le projet test d'utilisation des tasers dans quatorze zones de police soit immédiatement mis en suspens. Il agite même la menace d'une grève.
LE SOIR
Quelque 550 soins ont été prodigués dimanche dans le cadre des 20 km de Bruxelles, a indiqué la porte-parole de la Croix-Rouge de Belgique, Nancy Ferroni, en fin d'après-midi. Une vingtaine de cas étaient liés à la chaleur et à l'effort intense. Sur les 550 interventions, il y a eu 15 évacuations vers les hôpitaux. Environ 330 interventions ont eu lieu tout au long du parcours et 220 au poste de secours de l'arrivée.
LA LIBRE BELGIQUE
Pour débuter sa présidence à la tête de la Ligue des droits de l'Homme (LDH), Olivia Venet met sur la table une revendication qui a de bonnes chances de souffler sur les braises du débat migratoire : dépénaliser le séjour irrégulier. "Il faut que le séjour illégal cesse d'être une infraction pénale. Ce n'est pas un délit de nature pénale mais un problème administratif", entame l'avocate.
HET LAATSE NIEUWS (Les Dernières Nouvelles)
Le sort des parents de l'enfant en bas âge atteinte mortellement par une balle de la police, Mawda , divise le gouvernement Michel. Le vice-premier ministre Peeters (CD&V) veut leur donner un permis de séjour temporaire, la N-va et l'Open VLD demander à la famille de d'abord collaborer à la recherche des organisateurs de la contrebande impliquée. C'est Theo Francken (N-va) qui a annoncé hier que les parents de Mawda ont présenté une demande de régularisation pour des raisons humanitaires à Bruxelles.
SUDPRESSE
Maggie De Block débloque 9,1 millions d'euros pour financer des tests modernes auprès de 20.000 patients souffrant du cancer. Ils permettront de choisir le meilleur traitement possible. "Il s'agit d'un projet pilote de trois ans qui sera mis en oeuvre dès le mois de novembre", précise sa porte-parole. A la tête de ce projet, on retrouve Marc Van den Bulcke, de Sciensano. "Ces nouvelles techniques existent déjà mais jusqu'ici elles n'étaient pas utilisées de manière structurelle. Bon nombre d'entre elles n'étaient pas remboursées", nous apprend l'expert. C'est le cas notamment pour les patients atteints d'un cancer du poumon.
DE MORGEN (Le Matin)
Les avocats des parents de la fillette Mawda, atteinte mortellement par une balle de la police, envisagent de porter plainte au civil contre Theo Francken et Bart De Wever pour divulgation d'informations confidentielles. La défense met en cause les informations livrées fin de la semaine dernière par le président de la N-VA, Bart De Wever, sur le parcours de la famille Shawri, précisant que les parents et leurs enfants avaient été interceptés dans notre pays à plusieurs reprises, notamment dans un camion frigorifique.
GAZET VAN ANTWERPEN (La Gazette d'Anvers)
Les procureurs généraux ont fait part dans une lettre adressée au ministre des Affaires intérieures, Jan Jambon (N-VA) de leur "grande inquiétude" au sujet du recours aux tasers par les agents de police. "Les pistolets à impulsion électrique nécessitent un cadre juridique spécifique qui n'existe pas aujourd'hui". "C'est donc illégal", commentent les syndicats. Le syndicat policier ACV souhaite que le projet test d'utilisation des tasers dans quatorze zones de police soit immédiatement mis en suspens. Il agite même la menace d'une grève.
LE SOIR
Quelque 550 soins ont été prodigués dimanche dans le cadre des 20 km de Bruxelles, a indiqué la porte-parole de la Croix-Rouge de Belgique, Nancy Ferroni, en fin d'après-midi. Une vingtaine de cas étaient liés à la chaleur et à l'effort intense. Sur les 550 interventions, il y a eu 15 évacuations vers les hôpitaux. Environ 330 interventions ont eu lieu tout au long du parcours et 220 au poste de secours de l'arrivée.
LA LIBRE BELGIQUE
Pour débuter sa présidence à la tête de la Ligue des droits de l'Homme (LDH), Olivia Venet met sur la table une revendication qui a de bonnes chances de souffler sur les braises du débat migratoire : dépénaliser le séjour irrégulier. "Il faut que le séjour illégal cesse d'être une infraction pénale. Ce n'est pas un délit de nature pénale mais un problème administratif", entame l'avocate.