Maroc. Revue des éditos quotidiens du 09/02/2018
Rabat - Les éditorialistes des quotidiens de ce vendredi ont centré leurs commentaires sur la problématique du chômage au Maroc et la gestion des intempéries.
Al Alam aborde la problématique du chômage au Maroc. S'appuyant sur la dernière enquête du HCP, qui a affirmé qu’entre 2016 et 2017, le taux de chômage est passé de 9,9% à 10,2% au niveau national, l’éditorialiste indique que le gouvernement n’avait pas cessé tout au long de l’année de souligner une amélioration constante de tous les indicateurs économiques dans les secteurs de l’agriculture, de l’industrie et de services, mais le problème est que cette amélioration n’est absolument pas perceptible dans la vie des citoyens.
Ces statistiques révélées par le HCP, mettent en question l’efficacité des politiques publiques adoptées par le gouvernement et révèlent son impuissance à relever les grands défis auxquels est confronté le pays, juge-t-il.
Assabah revient sur les conséquences des dernières chutes de neige sur certaines zones, qui ont bloqué des citoyens dans leurs localités, paralysé le transport dans certains axes routiers et causé la fermeture de nombreux établissements scolaires.
L’éditorialiste estime qu’il ne faudrait pas porter toute la responsabilité sur le gouvernement, car il y a également des institutions élues (communes, assemblées préfectorales et provinciales, et conseils régionaux), qui sont restés spectateurs ou se sont contentés dans le meilleur des cas de mettre en garde contre la gravité de la situation, laissant ainsi induire que les élus ne sont pas en mesure de traduire les visions communale et régionale sur le terrain.
Quoique bénéficiant des subventions publiques, aucune association n’a annoncé une mobilisation générale ou pris des initiatives pour désenclaver les régions, déplore-t-il, soulignant la nécessité pour le gouvernement de réaliser des études et des programmes afin de ne pas laisser se reproduire les mêmes souffrances auxquelles ont fait face les populations rurales et des zones de montagnes
Al Alam aborde la problématique du chômage au Maroc. S'appuyant sur la dernière enquête du HCP, qui a affirmé qu’entre 2016 et 2017, le taux de chômage est passé de 9,9% à 10,2% au niveau national, l’éditorialiste indique que le gouvernement n’avait pas cessé tout au long de l’année de souligner une amélioration constante de tous les indicateurs économiques dans les secteurs de l’agriculture, de l’industrie et de services, mais le problème est que cette amélioration n’est absolument pas perceptible dans la vie des citoyens.
Ces statistiques révélées par le HCP, mettent en question l’efficacité des politiques publiques adoptées par le gouvernement et révèlent son impuissance à relever les grands défis auxquels est confronté le pays, juge-t-il.
Assabah revient sur les conséquences des dernières chutes de neige sur certaines zones, qui ont bloqué des citoyens dans leurs localités, paralysé le transport dans certains axes routiers et causé la fermeture de nombreux établissements scolaires.
L’éditorialiste estime qu’il ne faudrait pas porter toute la responsabilité sur le gouvernement, car il y a également des institutions élues (communes, assemblées préfectorales et provinciales, et conseils régionaux), qui sont restés spectateurs ou se sont contentés dans le meilleur des cas de mettre en garde contre la gravité de la situation, laissant ainsi induire que les élus ne sont pas en mesure de traduire les visions communale et régionale sur le terrain.
Quoique bénéficiant des subventions publiques, aucune association n’a annoncé une mobilisation générale ou pris des initiatives pour désenclaver les régions, déplore-t-il, soulignant la nécessité pour le gouvernement de réaliser des études et des programmes afin de ne pas laisser se reproduire les mêmes souffrances auxquelles ont fait face les populations rurales et des zones de montagnes