Maroc. Revue des éditos quotidiens du 01/06/2018
Rabat - Les enjeux de la gouvernance et la gestion du Fonds d'appui à la cohésion sociale sont les principaux sujets traités par les éditorialistes des quotidiens de ce vendredi.
Abordant la gouvernance, Aujourd’hui le Maroc, qui s’appuie sur les confessions faites par un haut responsable, affirme que des milliers de jeunes stagiaires qui ont bénéficié de l’accompagnement de l’Anapec durant plusieurs mois "disparaissaient étrangement au moment de devoir prendre leur premier emploi".
La cause : ces jeunes ne pouvaient pas subvenir aux frais de transport, explique l’éditorialiste.
L’Etat dépense depuis des années des "milliards de dirhams" pour combattre le chômage des jeunes "et l’on s’arrange pour tout faire capoter à cause des quelques dirhams du ticket de transport", déplore-t-il.
L’Economiste s’intéresse au Fonds d’appui à la cohésion sociale. L’éditorialiste relève que cette structure intervient sur l’aide médicale, les cartables, Tayssir, les veuves et les handicapés, dénonçant les retards de paiement, voire les "pas-de-paiement-du-tout", pour les cartables et tout dernièrement pour Tayssir.
Les fournisseurs de cartables, livres et cahiers qui relèvent du Fonds ne sont pas tous payés, alors que plus de 4 millions d’enfants ont besoin de ces fournitures, explique l’éditorialiste.
Même situation sur Tayssir, mis en panne il y a trois ans : plus de 700.000 enfants ont été abandonnés sur la route de l’école, ajoute-t-il.
Abordant la gouvernance, Aujourd’hui le Maroc, qui s’appuie sur les confessions faites par un haut responsable, affirme que des milliers de jeunes stagiaires qui ont bénéficié de l’accompagnement de l’Anapec durant plusieurs mois "disparaissaient étrangement au moment de devoir prendre leur premier emploi".
La cause : ces jeunes ne pouvaient pas subvenir aux frais de transport, explique l’éditorialiste.
L’Etat dépense depuis des années des "milliards de dirhams" pour combattre le chômage des jeunes "et l’on s’arrange pour tout faire capoter à cause des quelques dirhams du ticket de transport", déplore-t-il.
L’Economiste s’intéresse au Fonds d’appui à la cohésion sociale. L’éditorialiste relève que cette structure intervient sur l’aide médicale, les cartables, Tayssir, les veuves et les handicapés, dénonçant les retards de paiement, voire les "pas-de-paiement-du-tout", pour les cartables et tout dernièrement pour Tayssir.
Les fournisseurs de cartables, livres et cahiers qui relèvent du Fonds ne sont pas tous payés, alors que plus de 4 millions d’enfants ont besoin de ces fournitures, explique l’éditorialiste.
Même situation sur Tayssir, mis en panne il y a trois ans : plus de 700.000 enfants ont été abandonnés sur la route de l’école, ajoute-t-il.