Maroc. Revue des éditos hebdomadaires du 26/01/2019
Rabat - Les relations entre le Maroc et l'Union européenne (UE), la compétence de la classe politique, l’enseignement et les efforts visant à éradiquer la pauvreté constituent l'essentiel des sujets traités par les éditorialistes de la presse hebdomadaire.
Finances News Hebdo s'intéresse aux relations de partenariat entre le Maroc et l’UE, assurant qu’un saut qualitatif important a été franchi la semaine dernière avec l’adoption de l’accord agricole qui lie les deux parties, suivi aussitôt d’une visite de travail au Maroc de Federica Mogherini, reçue à l’occasion par SM le Roi Mohammed VI.
Tout roule sur des roulettes. Avec en toile de fond une constante sur laquelle le Royaume ne transige pas : le respect des intérêts supérieurs du Maroc et la préservation de son intégrité territoriale, souligne l’éditorialiste.
Challenge qui aborde la compétence de la classe politique dans la gestion de la chose publique, relève qu’il n’est point besoin de démontrer que le choix des élites qui gouvernent, détermine la capacité de maitriser le gouvernail de la gestion économique et sociale.
Heureusement que le Maroc avance grâce à l’action soutenue de ceux qui élèvent la responsabilité au rang de devoir sacré, écrit l’éditorialiste.
Il note ainsi que l’aptitude à bâtir un nouveau modèle de développement exige au préalable un nouveau modèle de l’exercice de la politique qui doit bloquer la voie aux incompétents et aux rentiers de la politique.
L’Observateur du Maroc et d’Afrique qui se penche sur les dysfonctionnements de l’enseignement, souligne que les citoyens s’adressent au privé dès qu’ils ne sont plus dans la précarité absolue, sans aucune garantie de résultat, puisque ce même privé est souvent fondamentalement très fiable et peu concurrentiel au niveau international.
Selon l’éditorialiste, le ministre de l’éducation nationale nous annonce deux directions : il veut combattre le surnombre dans les classes et arriver à des moyennes de 34 élèves, dans cinq ans. Il a aussi soutenu l’enseignement des matières scientifiques en Français.
Toutefois, il déplore que nous n’avons aucune vision du rôle du système éducatif, assurant que ce que les Marocains attendent, c’est une vraie réforme, remettant l’école au centre de la Nation.
Le Reporter s’intéresse au problème de la pauvreté, qui selon l’éditorialiste, a toujours existé, ici, et ailleurs. Même chez les plus grandes puissances, elle reste une plaie, soutient-il.
Chez nous, de nombreuses initiatives, notamment royales, sont prises dans ce sens, rappelle l’éditorialiste, soulignant qu’il s’agit d’un combat de Titans, tant les disparités sociales et écarts entre munis et démunis sont criants.
Il faut remettre en marche l’ascenseur social et l’ouvrir à tous… Il faut encourager l’émergence de « modèles », de « cursus réussis » et d’exemples de vie qui donnent envie d’être suivis, suggère-t-il.
Finances News Hebdo s'intéresse aux relations de partenariat entre le Maroc et l’UE, assurant qu’un saut qualitatif important a été franchi la semaine dernière avec l’adoption de l’accord agricole qui lie les deux parties, suivi aussitôt d’une visite de travail au Maroc de Federica Mogherini, reçue à l’occasion par SM le Roi Mohammed VI.
Tout roule sur des roulettes. Avec en toile de fond une constante sur laquelle le Royaume ne transige pas : le respect des intérêts supérieurs du Maroc et la préservation de son intégrité territoriale, souligne l’éditorialiste.
Challenge qui aborde la compétence de la classe politique dans la gestion de la chose publique, relève qu’il n’est point besoin de démontrer que le choix des élites qui gouvernent, détermine la capacité de maitriser le gouvernail de la gestion économique et sociale.
Heureusement que le Maroc avance grâce à l’action soutenue de ceux qui élèvent la responsabilité au rang de devoir sacré, écrit l’éditorialiste.
Il note ainsi que l’aptitude à bâtir un nouveau modèle de développement exige au préalable un nouveau modèle de l’exercice de la politique qui doit bloquer la voie aux incompétents et aux rentiers de la politique.
L’Observateur du Maroc et d’Afrique qui se penche sur les dysfonctionnements de l’enseignement, souligne que les citoyens s’adressent au privé dès qu’ils ne sont plus dans la précarité absolue, sans aucune garantie de résultat, puisque ce même privé est souvent fondamentalement très fiable et peu concurrentiel au niveau international.
Selon l’éditorialiste, le ministre de l’éducation nationale nous annonce deux directions : il veut combattre le surnombre dans les classes et arriver à des moyennes de 34 élèves, dans cinq ans. Il a aussi soutenu l’enseignement des matières scientifiques en Français.
Toutefois, il déplore que nous n’avons aucune vision du rôle du système éducatif, assurant que ce que les Marocains attendent, c’est une vraie réforme, remettant l’école au centre de la Nation.
Le Reporter s’intéresse au problème de la pauvreté, qui selon l’éditorialiste, a toujours existé, ici, et ailleurs. Même chez les plus grandes puissances, elle reste une plaie, soutient-il.
Chez nous, de nombreuses initiatives, notamment royales, sont prises dans ce sens, rappelle l’éditorialiste, soulignant qu’il s’agit d’un combat de Titans, tant les disparités sociales et écarts entre munis et démunis sont criants.
Il faut remettre en marche l’ascenseur social et l’ouvrir à tous… Il faut encourager l’émergence de « modèles », de « cursus réussis » et d’exemples de vie qui donnent envie d’être suivis, suggère-t-il.