Maroc. Revue des éditos hebdomadaires du 02/06/2018
Rabat - Le dialogue social, la reddition des comptes et le nouveau modèle de développement sont les principaux sujets traités par les éditorialistes des hebdomadaires parus ce samedi.
Abordant le dialogue social, "Finance News Hebdo" écrit qu'« entre gouvernement et syndicat, il semble pour l’instant difficile de rapprocher les vues », notant que si pour le chef du gouvernement le dialogue social enregistre des résultats « positifs », ce n’est visiblement pas la lecture qu’en font les observateurs, encore moins les syndicats.
Quand bien même sur le plan économique le Maroc affiche globalement des fondamentaux « corrects » pour l’instant, il y a une constante à laquelle l’Exécutif a toujours veillé : le respect des équilibres macroéconomiques, précise l’éditorialiste, concluant que « le gouvernement n’a pas les coudées franches ».
"Challenge" s’arrête sur le principe de la reddition des comptes. Il relève que la Constitution a élevé ce concept à un très haut niveau et l’a considéré comme la première pierre de l’édification d’un Maroc nouveau et plein d’espoirs en un avenir meilleur.
L’auteur relève, dans ce sens, que les disparités sociales et spatiales sont la résultante d’une gestion économique publique et privée qui s’est déroulée loin des principes de bonne gouvernance, faisant valoir que la paix sociale requiert un contrôle permanent des pratiques des différents acteurs sur le marché, dans l’administration et dans la sphère politique.
Concernant l’élaboration du nouveau modèle de développement, "La Vie Eco" souligne que les chefs de la majorité ont pris l’engagement d’« accélérer » ce chantier.
Le gouvernement se devait d’agir en urgence face à un sentiment d’injustice sociale qui s’exprime à haute voix, précise l’éditorialiste, signalant que cela nécessite, au-delà de la remise en question et des bonnes intentions, des mesures concrètes aujourd’hui clairement formulées par les citoyens.
Sur un autre registre, "le Temps" indique que le Crédit Agricole du Maroc œuvre à porter le monde rural à bout de bras, notant que la banque assume ce rôle depuis très longtemps, et le fait « encore mieux au fil du temps ».
Abordant le dialogue social, "Finance News Hebdo" écrit qu'« entre gouvernement et syndicat, il semble pour l’instant difficile de rapprocher les vues », notant que si pour le chef du gouvernement le dialogue social enregistre des résultats « positifs », ce n’est visiblement pas la lecture qu’en font les observateurs, encore moins les syndicats.
Quand bien même sur le plan économique le Maroc affiche globalement des fondamentaux « corrects » pour l’instant, il y a une constante à laquelle l’Exécutif a toujours veillé : le respect des équilibres macroéconomiques, précise l’éditorialiste, concluant que « le gouvernement n’a pas les coudées franches ».
"Challenge" s’arrête sur le principe de la reddition des comptes. Il relève que la Constitution a élevé ce concept à un très haut niveau et l’a considéré comme la première pierre de l’édification d’un Maroc nouveau et plein d’espoirs en un avenir meilleur.
L’auteur relève, dans ce sens, que les disparités sociales et spatiales sont la résultante d’une gestion économique publique et privée qui s’est déroulée loin des principes de bonne gouvernance, faisant valoir que la paix sociale requiert un contrôle permanent des pratiques des différents acteurs sur le marché, dans l’administration et dans la sphère politique.
Concernant l’élaboration du nouveau modèle de développement, "La Vie Eco" souligne que les chefs de la majorité ont pris l’engagement d’« accélérer » ce chantier.
Le gouvernement se devait d’agir en urgence face à un sentiment d’injustice sociale qui s’exprime à haute voix, précise l’éditorialiste, signalant que cela nécessite, au-delà de la remise en question et des bonnes intentions, des mesures concrètes aujourd’hui clairement formulées par les citoyens.
Sur un autre registre, "le Temps" indique que le Crédit Agricole du Maroc œuvre à porter le monde rural à bout de bras, notant que la banque assume ce rôle depuis très longtemps, et le fait « encore mieux au fil du temps ».