"Les Femmes et le Terrorisme" : Une lecture sur l’adhésion féminine à des groupes terroristes
Tunis - L’adhésion des femmes tunisiennes à des groupes terroristes est un sujet qui suscite plusieurs interrogations et mérite un traitement approfondi, a affirmé Dalenda Larguèche, directrice générale du Centre de recherches, d' études, de documentation et d'information sur la femme (CREDIF), mettant en valeurla nouvellepublication de Amel Grami et Monia Arfaoui intitulée "Ennissa wel Irhab" (Les Femmes et le terrorisme). Présenté, mercredi, au CREDIF en présence de femmes chercheurs et universitaires, cet ouvrageédité, en langue arabe,par la maison « Masciliana » pour l’édition et la distribution, dévoile un phénomène socio-politique préoccupant la société.
Un phénomène qui exige, selon Largueche, une analyse théorique mais aussi, un travail de terrain en se focalisant sur des témoignages expressifs.
L’auteur de cette publication, Amel Grami a affirmé que celivre estné suite à "une attaque" injuste à l'encontre des études de genre, précisant que cet ouvrage s’inscrit dans le cadre de cette approche.
L’évènement déclencheur de la rédaction de ce livre consiste, a-t-elle ajouté, en des manifestations organisées, après la révolution,par des femmes portant le niqab. Grami a insisté, dans ce même cadre,sur le rôle que doivent jouer les femmes tunisiennes, notamment les intellectuelles dans l’analyse de tel phénomène, s’interrogeant sur les causes de l'adoption des jeunes de la pensée extrémiste.
Concernant laco-écriture du livre, Grami a précisé que c’est une expérience fructueuse qui permettra l’ouverture sur d’autres perspectives d’écriture et de nouvelles idées de travail collectif. Et d’ajouter quel’élaboration de ce livre a été entamée en 2011 et achevée en 2016.
Dans sa réponse à certaines critiques, Grami a émis des remarques sur la photo de couverture du livre et évoqué la difficulté du travail de terrain et les risques qu’elle avait affronté en essayant de rencontrer des femmes adhérant à des groupes terroristes.
Le livre a été traité selon une approche genre en se focalisant sur le phénomène du terrorisme. Composé de sept chapitres et de 540 pages, le livre aprésenté une analyse des études sur le terrorisme et l’approche genre, lestechnologies de communication et le « djihadisme », les souffrances des familles des terroristes, le terrorisme et la construction de l’identité ainsi que desportraits de femmes maghrébines terroristes.
Les participants à cette rencontreontfait le point surla nécessitéd’un nouveau discoursqui permet desauver les nouvelles générations du phénomène du terrorisme,évoquant notamment l’obligation d'introduire des réformes au niveau des programmes scolaires.
Un phénomène qui exige, selon Largueche, une analyse théorique mais aussi, un travail de terrain en se focalisant sur des témoignages expressifs.
L’auteur de cette publication, Amel Grami a affirmé que celivre estné suite à "une attaque" injuste à l'encontre des études de genre, précisant que cet ouvrage s’inscrit dans le cadre de cette approche.
L’évènement déclencheur de la rédaction de ce livre consiste, a-t-elle ajouté, en des manifestations organisées, après la révolution,par des femmes portant le niqab. Grami a insisté, dans ce même cadre,sur le rôle que doivent jouer les femmes tunisiennes, notamment les intellectuelles dans l’analyse de tel phénomène, s’interrogeant sur les causes de l'adoption des jeunes de la pensée extrémiste.
Concernant laco-écriture du livre, Grami a précisé que c’est une expérience fructueuse qui permettra l’ouverture sur d’autres perspectives d’écriture et de nouvelles idées de travail collectif. Et d’ajouter quel’élaboration de ce livre a été entamée en 2011 et achevée en 2016.
Dans sa réponse à certaines critiques, Grami a émis des remarques sur la photo de couverture du livre et évoqué la difficulté du travail de terrain et les risques qu’elle avait affronté en essayant de rencontrer des femmes adhérant à des groupes terroristes.
Le livre a été traité selon une approche genre en se focalisant sur le phénomène du terrorisme. Composé de sept chapitres et de 540 pages, le livre aprésenté une analyse des études sur le terrorisme et l’approche genre, lestechnologies de communication et le « djihadisme », les souffrances des familles des terroristes, le terrorisme et la construction de l’identité ainsi que desportraits de femmes maghrébines terroristes.
Les participants à cette rencontreontfait le point surla nécessitéd’un nouveau discoursqui permet desauver les nouvelles générations du phénomène du terrorisme,évoquant notamment l’obligation d'introduire des réformes au niveau des programmes scolaires.