Le Bitcoin, une calamité écologique ? Il consommerait autant d’électricité que le Maroc

Mercredi 29 Novembre 2017

New York : Selon la plateforme d’information Digiconomist, le Bitcoin, serait un gros énergivore. Il serait une grosse catastrophe environnementale.


Le Bitcoin est une crypto-monnaie. C'est-à-dire une monnaie électronique dématérialisée, libre parce que non émise par aucune institution financière ou banque centrale.

Son fonctionnement s’effectue sur le réseau internet par le biais d’un processus informatique appelé : Le minage. Et les informaticiens qui le font fonctionner sont : des ‘mineurs’.

Il s’agit de suites complexes d’opérations informatiques et mathématiques qui assurent la création du Bitcoin et son utilisation, sensée sécurisée, dans les transactions commerciales ou de services sur le net.

UNE CALAMITE ENVIRONNEMENTALE

Or, indique la plateforme d’information spécialisée dans les crypto-monnaies, Digiconomist, ce ‘minage’ pour le Bitcoin, effectué à l’aide de gros ordinateurs, des supercalculateurs gros consommateurs d’électricité, serait une calamité écologique.

Dans une étude intitulée ‘Bitcoin Energy Consumption Index ’, les analystes de Digiconomist, ont indiqué que vu qu’en 2017 le cours international du Bitcoin a explosé pour atteindre plus de 6000 euros, les transactions en cette cryptomonnaie ont flambé en volume.

AUTANT D’ELECTRICITE QUE LE MAROC 

Plus de transactions, avec et sur, le Bitcoin, ca veut dire plus d’opérations de minage. Ce qui veut dire plus de gros ordinateurs, qui fonctionnent 24 h sur 24, et qui ne cessent d’engloutir des quantités faramineuses d’électricité.

Selon l’indice de Digiconomist, les opérations en Bitcoint en 2017, ont consommé autant d’électricité qu’un grand pays comme le Maroc.


Le Bitcoin est une crypto-monnaie. C'est-à-dire une monnaie électronique dématérialisée, libre parce que non émise par aucune institution financière ou banque centrale.

Son fonctionnement s’effectue sur le réseau internet par le biais d’un processus informatique appelé : Le minage. Et les informaticiens qui le font fonctionner sont : des ‘mineurs’.

Il s’agit de suites complexes d’opérations informatiques et mathématiques qui assurent la création du Bitcoin et son utilisation, sensée sécurisée, dans les transactions commerciales ou de services sur le net.

UNE CALAMITE ENVIRONNEMENTALE

Or, indique la plateforme d’information spécialisée dans les crypto-monnaies, Digiconomist, ce ‘minage’ pour le Bitcoin, effectué à l’aide de gros ordinateurs, des supercalculateurs gros consommateurs d’électricité, serait une calamité écologique.

Dans une étude intitulée ‘Bitcoin Energy Consumption Index ’, les analystes de Digiconomist, ont indiqué que vu qu’en 2017 le cours international du Bitcoin a explosé pour atteindre plus de 6000 euros, les transactions en cette cryptomonnaie ont flambé en volume.

AUTANT D’ELECTRICITE QUE LE MAROC 

Plus de transactions, avec et sur, le Bitcoin, ca veut dire plus d’opérations de minage. Ce qui veut dire plus de gros ordinateurs, qui fonctionnent 24 h sur 24, et qui ne cessent d’engloutir des quantités faramineuses d’électricité.

Selon l’indice de Digiconomist, les opérations en Bitcoint en 2017, ont consommé autant d’électricité qu’un grand pays comme le Maroc.


Cela revient à dire que chaque transaction de Bitcoin consomme autant d’énergie qu’une maison, durant une semaine.

En matière d’émission de CO2, chaque Bitcoin serait responsable d’une émission de 8.000 à 13.000 kilogrammes de CO2 dans l’air, ce qui conduit à aggraver le dangereux phénomène de réchauffement climatique.

Tant que l’électricité est produite dans le monde, majoritairement à partir de ressources polluantes comme le charbon et les hydrocarbures, le Bitcoin serait une catastrophe écologique.


Adam Sfali - LeMag