La ville de Dakhla est devenue le "symbole de la constance" de la projection multiforme du Maroc en Afrique (Président du Bridge Tank)
Washington - La ville de Dakhla, où se tient la 4è édition du Forum de Crans Montana (FCM), est devenue le "symbole la constance" de la projection multiforme du Maroc en Afrique, ainsi qu'un "espace connu et reconnu de l’implication du Royaume dans le Continent", a déclaré, samedi à MAP-Washington, Joël Ruet, Président du think tank international, The Bridge.
"Pour servir de modèle, il faut être capable de montrer cette constance. Je pense que le Maroc a démontré cette constance puisque la ville de Dakhla accueille la 4è édition du FCM", a souligné cet expert, notant que la ville marocaine, qui accueille "énormément d’événements de portée internationale est devenue un espace connu et reconnu de l’implication du Maroc en Afrique".
Joël Ruet a relevé que "la constance marocaine peut servir de modèle à d’autres coopérations sud-sud, comme en témoigne la participation de centaines de délégations africaines de très haut niveau, d’anciens chefs d’Etat et de ministres qui viennent à Dakhla et qui sont à juste titre des fidèles de ce forum".
Evoquant le thème de cette 4è édition, le Président du Bridge Tank a noté qu’il s’agit d’une thématique récurrente qui nécessite un travail de fond, dans la mesure où elle ne se limite pas à la discussion, mais va au delà pour s'inscrire dans une politique de longue haleine, à la faveur d'un engagement personnel et interpersonnel, et en termes d’investissements dans le cadre d’une logique inscrite dans la durée.
"La scène internationale vivait trop longtemps au rythme des grands rendez-vous qu’accueillent New York, Genève, Paris, Londres, New Delhi et Pékin, entre autres", a souligné M. Ruet, en se réjouissant de voir une trentaine de conclaves internationaux organisés en Afrique, notamment à Dakhla et à Tanger, au Maroc, "un grand pays africain".
Il a fait observer que "cela contribue à ce que ces débats soient africanisés, dans un cadre où l’Afrique devient elle même une puissance organisatrice", en se félicitant de voir "le Maroc avancer sur cette voie".
Evoquant la qualité des débats du FCM, il a relevé "un parler franc et clair notamment sur les questions intéressant la région d’Afrique de l’ouest", citant à titre d’exemple les discussions "très concrètes" de maires ou vice maires de grandes villes africaines qui "s’exprimaient, mutualisaient et partageaient leurs expériences".
"C’est pour cette raison aussi qu’il y a des observateurs internationaux qui viennent entendre les voix de l’Afrique dans un cadre qui est un hymne à la diversité, à partir d’un événement sur le sol africain, dans la ville marocaine de Dakhla", a soutenu Joël Ruet, pour qui le Forum de Dakhla a acquis ses titres de noblesse en tant que "force de proposition".
"Pour servir de modèle, il faut être capable de montrer cette constance. Je pense que le Maroc a démontré cette constance puisque la ville de Dakhla accueille la 4è édition du FCM", a souligné cet expert, notant que la ville marocaine, qui accueille "énormément d’événements de portée internationale est devenue un espace connu et reconnu de l’implication du Maroc en Afrique".
Joël Ruet a relevé que "la constance marocaine peut servir de modèle à d’autres coopérations sud-sud, comme en témoigne la participation de centaines de délégations africaines de très haut niveau, d’anciens chefs d’Etat et de ministres qui viennent à Dakhla et qui sont à juste titre des fidèles de ce forum".
Evoquant le thème de cette 4è édition, le Président du Bridge Tank a noté qu’il s’agit d’une thématique récurrente qui nécessite un travail de fond, dans la mesure où elle ne se limite pas à la discussion, mais va au delà pour s'inscrire dans une politique de longue haleine, à la faveur d'un engagement personnel et interpersonnel, et en termes d’investissements dans le cadre d’une logique inscrite dans la durée.
"La scène internationale vivait trop longtemps au rythme des grands rendez-vous qu’accueillent New York, Genève, Paris, Londres, New Delhi et Pékin, entre autres", a souligné M. Ruet, en se réjouissant de voir une trentaine de conclaves internationaux organisés en Afrique, notamment à Dakhla et à Tanger, au Maroc, "un grand pays africain".
Il a fait observer que "cela contribue à ce que ces débats soient africanisés, dans un cadre où l’Afrique devient elle même une puissance organisatrice", en se félicitant de voir "le Maroc avancer sur cette voie".
Evoquant la qualité des débats du FCM, il a relevé "un parler franc et clair notamment sur les questions intéressant la région d’Afrique de l’ouest", citant à titre d’exemple les discussions "très concrètes" de maires ou vice maires de grandes villes africaines qui "s’exprimaient, mutualisaient et partageaient leurs expériences".
"C’est pour cette raison aussi qu’il y a des observateurs internationaux qui viennent entendre les voix de l’Afrique dans un cadre qui est un hymne à la diversité, à partir d’un événement sur le sol africain, dans la ville marocaine de Dakhla", a soutenu Joël Ruet, pour qui le Forum de Dakhla a acquis ses titres de noblesse en tant que "force de proposition".