La presse officielle algérienne porte-parole des truands polisariens

Samedi 29 Août 2020

Désolé, mais dans aucun pays démocratique et féru des Droits de l’Homme il n’a été constaté que la presse officielle puisse accorder la moindre feuille à une organisation terroriste en publiant un article faisant sa propre éloge.


La presse officielle algérienne porte-parole des truands polisariens
C’est ce que vient de faire l’agence de presse officielle algérienne, l’APS, en consacrant, le 26 août 2020, sa une suite à l’annonce faite par le polisario relative à la mise en place d’un soi-disant mécanisme de défense des Droits de l’Homme dans le but de documenter et de mettre à nu les violations commises par le Maroc à l’encontre des Sahraouis depuis 1975. De quoi se tordre de rire !

Aussi, le prétendu chef des terropolisariens, Brahim Ghali, et son acolyte, dit premier ministre, auraient l’intention, s’il vous plaît, de traduire le Maroc devant les juridictions internationales pour crimes contre l’Humanité.

Une annonce qui ferait rire les oiseaux du Palais de la Mouradia d’Alger étant donné que seuls les polisariens sont poursuivis pour ces mêmes délits en Espagne et sont interdits de poser leurs pieds dans nombre de pays sous peine d’être arrêtés et d’y être transférés pour répondre de leurs crimes.

Une nouvelle manœuvre du criminel Brahim Ghali qui ne dupera quiconque et qui reflète l’échec cuisant de la diplomatie algérienne qui a vainement tenté ces dernières années de faire des Droits de l’Homme un cheval de bataille contre le Maroc.

Ainsi, après avoir échoué à étendre les prérogatives de la mission onusienne au Sahara chargée de la surveillance du cessez-le-feu (MINURSO) aux Droits de l’Homme dans les Provinces du Sud du Maroc, c’est finalement au polisario lui-même que le régime algérien ordonne aujourd’hui de créer une énième coquille vide.

Ce tour de passe-passe intervient quelques semaines seulement après que des centaines d’organisations de la société civile et des Droits de l’Homme dans les Provinces du Sud du Maroc aient saisi le Haut-Commissaire des Nations-Unies aux Droits de l'Homme, Michelle Bachelet, pour la mettre en garde contre les mensonges colportés par le polisario et l’Algérie quant aux prétendues violations de Droits de l’Homme au Sahara marocain, eux qui traînent un lourd passif dans le domaine des violations des Droits de l’Homme et la répression des libertés.

Finalement, l’objectif principal de l’Algérie à travers cette fixation, auréolée de propagande et de mensonge, sur les Droits de l’Homme dans le Sahara marocain n’est autre que de détourner les regards quant aux violations manifestes de ces Droits élémentaires dans les camps des séquestrés Sahraouis marocains de Tindoufet surtout en Algérie.

De l’avis même de certains médias proches du polisario, le nombre d’enterrements quotidiens va actuellement crescendo et à un rythme infernal, sous l’effet conjugué de la pandémie du COVID-19, de la malnutrition, d'actes de torture et autres maltraitances des opposants politiques dans les nombreux centres de détention du polisario sis à Tindouf et mais aussi dans les geôles de la sécurité militaire algériennesans parler des procès expéditifs de ressortissants algériens condamnés à de lourdes peines par les tribunaux à la solde du régime d’Alger.