La France condamne le massacre d'une centaine de civils en Éthiopie
Plus de 100 personnes ont été tuées et 36 autres blessées par des hommes armés dans cette attaque, selon la Commission éthiopienne des droits de l’Homme.
"Les auteurs de ces crimes devront être poursuivis et traduits devant la justice", a déclaré la porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
"La France exprime sa solidarité et présente ses sincères condoléances aux familles des victimes (...) et appelle à un retour à la coexistence pacifique et à l’État de droit, seule voie permettant de briser le cycle des violences en Éthiopie", a ajouté la porte-parole du Quai d’Orsay.
Jeudi, le gouvernement de l’Etat régional de Benishangul Gumuz a annoncé que l'armée fédérale éthiopienne a tué 42 éléments armés soupçonnés d’avoir participé à ce massacre.
La mi-novembre, dans cette même région, une attaque d’un bus par des hommes armés avait fait 34 morts.
Le 13 octobre dernier, 12 personnes avaient trouvé la mort dans une attaque armée dans la localité de Mandura, relevant également de l’Etat régional de Benishangul Gumuz.
"Les auteurs de ces crimes devront être poursuivis et traduits devant la justice", a déclaré la porte-parole du ministère des Affaires étrangères.
"La France exprime sa solidarité et présente ses sincères condoléances aux familles des victimes (...) et appelle à un retour à la coexistence pacifique et à l’État de droit, seule voie permettant de briser le cycle des violences en Éthiopie", a ajouté la porte-parole du Quai d’Orsay.
Jeudi, le gouvernement de l’Etat régional de Benishangul Gumuz a annoncé que l'armée fédérale éthiopienne a tué 42 éléments armés soupçonnés d’avoir participé à ce massacre.
La mi-novembre, dans cette même région, une attaque d’un bus par des hommes armés avait fait 34 morts.
Le 13 octobre dernier, 12 personnes avaient trouvé la mort dans une attaque armée dans la localité de Mandura, relevant également de l’Etat régional de Benishangul Gumuz.