Une solution politique négociée, sur la base de l’initiative marocaine, permettra également de prendre en charge la question des réfugiés dans les camps de Tindouf, en application du droit international humanitaire, a encore estimé le représentant sénégalais. M. Barro a relevé les "progrès considérables sur le terrain dans la région, progrès qui sont à l’actif du Maroc, non seulement en matière de promotion des droits de l’Homme et démocratiques mais aussi en termes de développement socio-économique".
A ce sujet, a-t-il dit, il convient de relever la tenue, respectivement, le 04 septembre 2015 et le 7 octobre 2016, dans une atmosphère calme et démocratique, des élections municipales et législatives, avec "une participation effective de la population du Sahara marocain qui a pu ainsi élire ses propres représentants à la fois au niveau local et national".
II en est de même des efforts considérables déployés par le Royaume du Maroc destinés à favoriser le développement économique et social de la région du Sahara, en particulier le lancement, le 7 Novembre 2015, du nouveau Modèle de développement des Provinces du Sud, a encore rappelé le représentant du Sénégal devant la Commission.