FT : Le Maroc, 3e plus grand investisseur mondial, en Afrique, en 2016

Jeudi 24 Août 2017

Londres : Le royaume dépasse en volumes de capitaux investis en Afrique, des mastodontes comme les USA, le Japon ou le Royaume-Uni.

Le Maroc s’est consacré comme l’un des plus grands investisseurs mondiaux en Afrique, en 2016.

C’est ce qui ressort d’un rapport édité, il y a quelque jours, par le groupe médiatique britannique, Financial Times.

EN VOLUME DE CAPITAUX

En effet, dans ce rapport intitulé ‘The Africa Investment Report 2017 ’, il est indiqué que durant l’exercice 2016, le Maroc a réussi à se hisser au troisième rang mondial, des investisseurs en capitaux, en Afrique.

Avec un volume capitalistique de 4.8 milliards de dollars, et une part de marché de 5%, le Maroc est arrivé à la troisième place mondiale, après, la Chine 1ère avec 36.1 milliards de dollars et les Emirats Arabes Unis, 2e, avec 11 milliards de dollars.


FT : Le Maroc, 3e plus grand investisseur mondial, en Afrique, en 2016

EN NOMBRE DE PROJETS

Dans le même rapport, il est expliqué qu’en nombre de projets lancés en Afrique, le Maroc arrive à la 10e place mondiale, avec une augmentation de 21% par rapport à l’année 2015.

Les USA, la France et la Chine occupent les trois premières places du classement dans cette catégorie de comptage.


FT : Le Maroc, 3e plus grand investisseur mondial, en Afrique, en 2016

IDE VERS L’AFRIQUE 

Dans l’autre sens, le classement des pays africains bénéficiaires des IDE  en 2016 place aussi le Maroc dans le top 10.

Ainsi en nombres de projets lancés par des investisseurs étrangers, le Maroc est arrivé à la 2e place, avec 80 projets.


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En volume de capitaux investis, le Maroc recule à la 5e place avec 6.6 milliards de dollars.

FT : Le Maroc, 3e plus grand investisseur mondial, en Afrique, en 2016
Pour cette catégorie, le Maroc a été devancé par l’Egypte, l’Algérie, l’Afrique du Sud et l’Ethiopie. Les deux premiers pays ont reçu essentiellement des investissements dans le domaine des hydrocarbures, alors qu’au Maroc les FDI concerne plus le secteur industriel. 

Adam Sfali - LeMag