L’Economiste rappelle d’ailleurs qu’un bras de fer avait eu lieu entre les autorités marocaines et égyptiennes concernant le blocage, par les services douaniers égyptiens, d’un lot de 250 à 300 véhicules produits par Renault Tanger. Tous ces efforts ont ainsi permis à la partie marocaine de faire valoir des arguments à la fois techniques et réglementaires, surtout que l’usine de Renault Tanger n’a plus le statut de zone franche.