Persistance d'une requête de l'année écoulée en matière de dotation en eau du centre de santé Oued Lahjer et ses conséquences pour ses bénéficiaires et la population desservie.
Entre droit à l’accès à l’eau potable à 16 km de la ville de Marrakech, l’exposition aux dangers d’hygiène et aux conséquences de l’absence d’eau (la vie) au cours des cette période aride.
Depuis novembre 2013, un ensemble de moyens ont été utilisés pour régler la situation de dotation en eau du centre de santé Oued Lahjer, de sa seule habitante et des agents des forces auxiliaires assurant la garde à la Kiada (contacts physiques des responsables locaux et de la santé, articles comprenant une lettre ouverte au wali et une sensibilisation relativement aux châtiments vécus par les bénéficiaires :
Il est à signaler que la solution du problème ne demande qu’une intervention auprès auprès de l’entrepreneur qui a n’a pas été suivi pour la mise en route du puit de la kiada. En effet, la Kiada est doté d’un puit avec pompe immergée et deux vases d’expansion qui n’a jamais été fonctionnel plus de quelques minutes, heures vu la non-conformité de la tuyauterie. Depuis, le problème de la dotation en eau n’a été réglé que par un tuyau d’eau venant de la structure du ministère de l’agriculture de la région qui apparemment est entrain de se dissoudre. Il apparaît insensé de mettre en « réforme » un investissement qui n’a jamais donné ses fruits ne serait ce que le temps de l’amortissement du budget alloué.
Dans ce contexte dont toute personne ne peut nier l’importance de l’eau dans la vie de chacun en ouvrant son robinet pour laver ses mains, se laver, laver son linge, irriguer son espace vert, etc…, je prie Dieu pour que les responsables écoutent notre voix, sentent note requête et répondent à ce besoin exprimé qui va à l’encontre de tous les discours et s’inscrit dans les priorités territoriales, la protection de la population et le droit de chaque citoyen.
Entre droit à l’accès à l’eau potable à 16 km de la ville de Marrakech, l’exposition aux dangers d’hygiène et aux conséquences de l’absence d’eau (la vie) au cours des cette période aride.
Depuis novembre 2013, un ensemble de moyens ont été utilisés pour régler la situation de dotation en eau du centre de santé Oued Lahjer, de sa seule habitante et des agents des forces auxiliaires assurant la garde à la Kiada (contacts physiques des responsables locaux et de la santé, articles comprenant une lettre ouverte au wali et une sensibilisation relativement aux châtiments vécus par les bénéficiaires :
- Lettre ouverte à Monsieur le Wali de Marrakech
- Le châtiment de la dotation en eau du centre de santé Oued Lahjer et de sa seule habitante
Il est à signaler que la solution du problème ne demande qu’une intervention auprès auprès de l’entrepreneur qui a n’a pas été suivi pour la mise en route du puit de la kiada. En effet, la Kiada est doté d’un puit avec pompe immergée et deux vases d’expansion qui n’a jamais été fonctionnel plus de quelques minutes, heures vu la non-conformité de la tuyauterie. Depuis, le problème de la dotation en eau n’a été réglé que par un tuyau d’eau venant de la structure du ministère de l’agriculture de la région qui apparemment est entrain de se dissoudre. Il apparaît insensé de mettre en « réforme » un investissement qui n’a jamais donné ses fruits ne serait ce que le temps de l’amortissement du budget alloué.
Dans ce contexte dont toute personne ne peut nier l’importance de l’eau dans la vie de chacun en ouvrant son robinet pour laver ses mains, se laver, laver son linge, irriguer son espace vert, etc…, je prie Dieu pour que les responsables écoutent notre voix, sentent note requête et répondent à ce besoin exprimé qui va à l’encontre de tous les discours et s’inscrit dans les priorités territoriales, la protection de la population et le droit de chaque citoyen.